Le recrutement pour un poste est structuré par trop de règle prédéfinies que ce soit du coté du recruteur mais aussi du "recrutable".
Bien souvent est occulté une valeur importante : le mérite.
Synonyme d’ascension social, grand idéal prôné par nos politiciens (notamment en début de cette année lors de l’élection présidentielle), c'est une notion qui semble remise en cause par la société actuelle.
Que faut il y voir ? Une incompréhension du besoin par rapport à la demande ?
Beaucoup de jeunes aujourd’hui semblent lassés de constater que les études qu’ils suivent ne leur donnent pas les moyens de leurs ambitions.
Pourquoi, ce sésame validant un cursus ( qui soit dit en passant n’est pas des plus évident quel qu’en soit la filière) serait si important? Est-ce vraiment nécessaire d'avoir le joli diplôme?
N’exagérons pas, les jeunes savent pertinemment que cela leur ouvre des portes. Toutefois, à leurs yeux, il est trop subjectif et empêche certains de pouvoir postuler à des postes particulier.
Je m’explique :
Les recruteurs se basent sur les diplômes pour la majorité des emplois.
Or, un diplôme ne reflète pas la compétence. Le savoir être, le savoir-faire, la capacité de compréhension ainsi que la personnalité d’un candidat n’est en effet pas reflétée dans un diplôme. A leurs yeux, le mérite doit se baser sur la notion concrète que représente la valeur du diplôme mais pas sur celles bien plus abstraites que sont le don de soi et la capacité à relever des challenges très complexes.
Toutefois, une contradiction persiste. Les futurs (ou déjà) diplômés considèrent que, plus un diplôme est difficile à obtenir, plus le salaire exigé en début de carrière doit être élevé . L’ambivalence de ces deux idées met en exergue leur manque de confiance mutuelle dans le monde du travail d’aujourd’hui.
Le format actuel des techniques de recrutement est-il capable de les rassurer ?
Oui, en ce qui concerne la prise en compte grandissante de la valeur humaine des candidats ( notion importante en terme de recrutement aujourd’hui).
Non, car les diplômes de « grandes écoles » sont toujours vu comme la garantie qu’un candidat réponde à un sacrosaint format idéal.
Force est de constater que chacun des acteurs ( diplômés et recruteurs) ont encore beaucoup de chemin à faire afin que la situation s’améliore.
Ce constat ouvre la porte à une autre question : L’idéalisme et l’élitisme dans notre société capitaliste exigeante en terme de résultat et le fossé qui se creuse entre les exigences des recruteurs et l’anxiété des postulants ne sont-ils pas intimement liés?
Le problème ne viens donc pas que des recruteurs mais d'un écart idéologique entre le candidat (quelque soit son expérience) et le recruteur ... à mon sens.
Bien souvent est occulté une valeur importante : le mérite.
Synonyme d’ascension social, grand idéal prôné par nos politiciens (notamment en début de cette année lors de l’élection présidentielle), c'est une notion qui semble remise en cause par la société actuelle.
Que faut il y voir ? Une incompréhension du besoin par rapport à la demande ?
Beaucoup de jeunes aujourd’hui semblent lassés de constater que les études qu’ils suivent ne leur donnent pas les moyens de leurs ambitions.
Pourquoi, ce sésame validant un cursus ( qui soit dit en passant n’est pas des plus évident quel qu’en soit la filière) serait si important? Est-ce vraiment nécessaire d'avoir le joli diplôme?
N’exagérons pas, les jeunes savent pertinemment que cela leur ouvre des portes. Toutefois, à leurs yeux, il est trop subjectif et empêche certains de pouvoir postuler à des postes particulier.
Je m’explique :
Les recruteurs se basent sur les diplômes pour la majorité des emplois.
Or, un diplôme ne reflète pas la compétence. Le savoir être, le savoir-faire, la capacité de compréhension ainsi que la personnalité d’un candidat n’est en effet pas reflétée dans un diplôme. A leurs yeux, le mérite doit se baser sur la notion concrète que représente la valeur du diplôme mais pas sur celles bien plus abstraites que sont le don de soi et la capacité à relever des challenges très complexes.
Toutefois, une contradiction persiste. Les futurs (ou déjà) diplômés considèrent que, plus un diplôme est difficile à obtenir, plus le salaire exigé en début de carrière doit être élevé . L’ambivalence de ces deux idées met en exergue leur manque de confiance mutuelle dans le monde du travail d’aujourd’hui.
Le format actuel des techniques de recrutement est-il capable de les rassurer ?
Oui, en ce qui concerne la prise en compte grandissante de la valeur humaine des candidats ( notion importante en terme de recrutement aujourd’hui).
Non, car les diplômes de « grandes écoles » sont toujours vu comme la garantie qu’un candidat réponde à un sacrosaint format idéal.
Force est de constater que chacun des acteurs ( diplômés et recruteurs) ont encore beaucoup de chemin à faire afin que la situation s’améliore.
Ce constat ouvre la porte à une autre question : L’idéalisme et l’élitisme dans notre société capitaliste exigeante en terme de résultat et le fossé qui se creuse entre les exigences des recruteurs et l’anxiété des postulants ne sont-ils pas intimement liés?
Le problème ne viens donc pas que des recruteurs mais d'un écart idéologique entre le candidat (quelque soit son expérience) et le recruteur ... à mon sens.
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