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dimanche 22 octobre 2017

Boostez votre CV avec la certification Digital Active de Google.

Une initiative de Google France

Animée par des experts en marketing digital, une formation en présentiel est proposée dans les universités partenaires pour aider les jeunes à multiplier leurs opportunités professionnelles et à enrichir leur CV avec des compétences clefs pour leur avenir.

lundi 18 septembre 2017

Les métiers qui recrutent


Les métiers de la comptabilité et de la finance proposeront près de 240 000 postes à pourvoir à tous niveaux de compétence et dans de multiples secteurs d’activités.
Les métiers de la vente et du marketing sont très porteurs et largement représentés dans l’offre Cnam: des diplômes nationaux* et un très grand nombre de certificats reconnus et appréciés par les professionnels  (210 000 postes courant 2020).
Toujours bien placés, les métiers d’ingénieurs en informatique proposeront plus de 190 000 postes. Ces professions imposent une mise à jour permanente des connaissances. L’offre de formation sur les titres d’ingénieur en informatique du Cnam est diversifiée. Elle répond ainsi aux différents besoins des personnes et des entreprises en recherche de compétences pointues.
Le secteur de l’énergie renouvelable avec 128 000 postes, comme les métiers du bâtiment ou encore ceux du transport et de la logistique avec plus de 83 000 postes, sont porteurs sur le territoire. Pour chacun de ces domaines, le Cnam propose un panel de formations et de certificats adaptés aux complexités et à la réalité de ces métiers.
http://formation.cnam.fr/comment-se-former-/des-metiers-qui-resistent-a-la-crise--795196.kjsp?RH=1396335695243

lundi 17 février 2014

Action d'insertion professionnelle par une mission à l'étranger

f i c h e e x p é r i e n c e -

la présentation d’une action expérimentée depuis deux ans, menée par le service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) du Val d’Oise en lien avec plusieurs collectivités locales, visant à renforcer le caractère formateur des mesures de Travaux d’Intérêt Général à exécuter par de jeunes majeurs,
- la parution de l’ouvrage « Le décrochage scolaire. Enjeux, acteurs et politiques de lutte contre la scolarisation », Thierry Berthet et Joël Zaffran, (sous la dir.) éd. Presses Universitaires de Rennes, février 2014, 190 p....

Est Val d’Oise
 





Une action d’insertion professionnelle déclinée à l’international par la mission locale de l’est du Val d’Oise et ses partenaires.



Sénégal, ville de Louga, : depuis 2 mois, 12 jeunes de l’est du Val d’Oise y ont monté une unité de production de conditionnement de produits alimentaires, et formé les acteurs locaux à son utilisation. Sur leur carnet de bord d’avril, on peut lire : mise en place de commissions étude de marché, gestion, commercialisation… « Ces
jeunes (10 garçons, 2 filles), sont accompagnés par la mission locale. Leur action s’inscrit dans le programme TRACE, dont l’objectif est d’accueillir des jeunes de 16 à 25 ans en très grande difficulté, avec une visée d’emploi au bout de 18 mois », explique Amaria Sékouri, directrice de la mission locale. Loin d’une simple action humanitaire, " Agir et apprendre à l’international " est
l’aboutissement d’un projet initié par la commission emploi, l’une des instances créées dans le cadre de TRACE.
Motivation, mobilisation, ténacité

Cette commission, composée notamment des directeurs des agences pour l’emploi, d’un représentant du comité de bassin d’emploi du Val d’Oise, de la mission locale, des services économiques des villes…, a été créée pour imaginer des réponses spécifiques pour un public qui ne dispose généralement pas de projet professionnel. Au cours des échanges, le principe d’une action à l’étranger est lancée. Agroform, organisme de formation et membre de la commission a déjà mené une expérience au Sénégal.

L’idée intéresse mais deux conditions préalables sont définies : l’action doit répondre à un besoin identifié des acteurs sénégalais, et surtout, s’inscrire dans une dynamique professionnelle pour les jeunes. Or, une demande, émanant du comité des femmes de Louga,
existe : la région dispose de ressources alimentaires, mais
aucune installation ne permet de conditionner les surplus
pour prévenir la disette. Commande est alors passée à Agroform. L’organisme propose une formation pour les jeunes sur les métiers de l’agro-alimentaire, le montage et l’utilisation d’une unité de production. Autant de compétences qu’ils pourront mettre en pratique à Louga.
La formule du chantier-école est retenue.

Il s’agit ensuite de formaliser le dossier et de rechercher les financements. Celui-ci est coproduit de A à Z par tous les membres de la commission emploi. Mais l’obtention des financements est compliquée, le projet prend beaucoup de retard. L’enthousiasme de la commission et sa ténacité vont tout de même finir par porter leurs fruits. Le projet peut démarrer.

Un renversement des rôles

Des entreprises industrielles agro-alimentaires franciliennes sont contactées et sollicitées pour accueillir les jeunes en stage et pour des dons de matériel, afin de monter l’unité de production. Sur les 30 jeunes initialement sélectionnés, les 12 qui ont résisté aux aléas
du montage financier du projet vont bénéficier en février et mars 2000 d’ateliers découverte de métiers, de stages en entreprises, de formation sur la prévention santé…
Pôle de ressources départemental Ville et développement social - 8, place de France - 95200 Sarcelles tél. 01.34.04.12.12 - fax. 01.34.04.12.13

mél. poleressources.95@wanadoo.fr - site. http//www.poleressources95.org
« Nous avons toujours eu à l’esprit qu’au-delà du chantier

au Sénégal, l’action devait apporter une qualification ou un

emploi aux jeunes, et qu’elle pouvait être un facteur

déclencheur positif pour eux. Nous en sommes à présent

convaincus. Le projet a modifié leurs comportements,

transformé leurs perceptions de la vie, de leur vie, de leur

avenir. Tous aujourd’hui, ont un projet professionnel ».

mercredi 27 novembre 2013

Mobilité professionnelle et satisfaction ?

. Analyse de certains critères de satisfaction et d’adéquation
Nous interrogeons ici différents critères de satisfaction déclarés par les anciens chômeurs,
certains font référence à la correspondance avec la formation et l’expérience de la personne,
d’autres expriment leur satisfaction – ou non – sur un certain nombre d’items (tableau 5).
La correspondance avec la formation : toutes choses égales statistiquement par ailleurs, les
chômeurs embauchés par des entreprises de travail temporaire considèrent plus souvent que
l’emploi retrouvé ne correspond pas à leur formation. Au niveau des secteurs d’activité, cette
inadéquation ressort peu par rapport au commerce, hormis dans l’IAA. Dans les secteurs de
l’industrie automobile, des biens d’équipement, de l’énergie, de la construction, des
transports, des activités financières, des services aux entreprises et aux particuliers ou encore
de la santé, de l’éducation et de l’action sociale, les chances d’obtenir un emploi qui
correspond à la formation augmentent significativement par rapport au commerce. Les
anciens chômeurs dont la trajectoire est la plus éloignée de l’emploi stable, soit par leurs
parcours précaires et/ou marqués par le chômage, soit par l’exercice d’activités réduites de
courte durée ou encore car « non indemnisés » sont les plus touchés par cette cause
d’inadéquation. Il en est de même pour les jeunes, pour les manoeuvres et ENQ. En revanche,
les techniciens et les cadres ont plus de chances de trouver un emploi qui correspond à leur
formation.
La correspondance avec l’expérience professionnelle : les chances d’être embauché sur un
emploi qui correspond à l’expérience professionnelle antérieure diminue si l’employeur est
une entreprise de travail temporaire, dans le secteur d’activité des IAA ou de l’agriculture. En
revanche, dans les secteurs de l’énergie, des biens intermédiaires, de la construction, des
services aux particuliers et de la santé, de l’éducation et de l’action sociale, ces chances
augmentent. Le fait d’être indemnisé exerce le même effet tandis que les jeunes et ceux de
niveau Bac voient leurs chances diminuer. Un parcours marqué par le chômage ou l’absence
d’emploi joue aussi négativement.
La correspondance avec le secteur d’activité : les chances que l’emploi retrouvé soit dans
le secteur d’activité où la personne souhaite travailler augmentent si elle s’est mise à son
compte ou a été embauchée par l’État et elles diminuent si l’employeur est une ETT. Cette
correspondance augmente si la personne était indemnisée. Un parcours marqué par l’emploi
stable avant le chômage est ici aussi discriminant. Les personnes non qualifiées (manoeuvres,
OS et ENQ) ont moins de chances de trouver un emploi dans le secteur souhaité. Il en est de
même pour les jeunes et ceux de niveau Bac. Les activités réduites de courte durée réduisent
aussi cette probabilité.
La correspondance avec le métier : les chances trouver un métier qui correspond à celui que
l’on souhaite exercer augmentent lors des « mises à son compte » et se réduisent si
l’employeur est une ETT. Ce motif d’insatisfaction est plus fort dans les secteurs de
l’agriculture et de l’IAA par rapport au commerce (la correspondance est meilleure dans les
autres secteurs). Les anciens chômeurs qui étaient indemnisés ont plus de chances de trouver
un métier qui leur convient. L’effet du parcours « hors emploi stable » est ici aussi négatif, de
même pour les activités réduites de courte durée. Les jeunes retrouvent moins souvent un
métier qui leur convient.
La satisfaction en termes de type de contrat : les personnes à leur compte ne sont pas
satisfaites de leur statut, de même pour ceux embauchés en intérim ou par l’État. Le contrat de
travail correspond plus souvent aux attentes dans l’industrie, la construction ou les services
aux particuliers que dans le commerce. Les parcours chaotiques ont aussi un effet négatif. Les
chômeurs indemnisés sont plus satisfaits de leur contrat de travail. Il en est de même pour
ceux ayant exercé des activités réduites longues, pour les hommes et les jeunes. À partir des
Documents de Travail du Centre d'Economie de la Sorbonne - 2013.71 halshs-00881202, version 1



vendredi 22 novembre 2013

Mobilité internationale des demandeurs d’emploi,quel impact ?

La mobilité internationale des demandeurs d'emploi connaît un fort développement. Les témoignages empiriques, au retour, prouvent qu'elle peut être un puissant levier vers l'insertion professionnelle.
Nous ne disposons pourtant à ce jour d'aucune étude méthodique, scientifique, rationnelle démontrant la valeur ajoutée d'un stage à l'étranger.
L'agence 2e2f a lancé avec plusieurs partenaires[1], une enquête longitudinale sur 24 mois (2011-2013) pour mesurer la plus-value de cette mobilité sur les parcours d'insertion et d'évolution professionnelle des demandeurs d'emploi. L'ensemble des dispositifs de mobilité est étudié.
La société Kaleido'Scop, entreprise coopérative positionnée sur le montage de projets de coopération et les processus de partenariats internationaux réalise actuellement cette étude dont les résultats seront publiés fin 2013.

 Trois hypothèses sont testées 

  1. La mobilité transnationale favorise une insertion et/ou une réinsertion professionnelle plus rapide des demandeurs d'emploi ;
  2. La mobilité transnationale favorise une insertion et/ou une réinsertion professionnelle plus qualitative des demandeurs d'emploi ;
  3. Le coût de l'organisation et de la réalisation des périodes de mobilité transnationale est inférieur au coût d'accompagnement des demandeurs d'emploi dans le cadre des dispositifs de droit commun.

 La population visée

  • Les personnes en situation déclarée de recherche active d'emploi, les personnes inscrites formellement dans une démarche de mobilité transnationale : séjours en mobilité de toute durée (quelques semaines à plusieurs mois), toute destination (Europe et hors Europe) ou cadre de financement (financement national, bilatéral, régional, privé, européen, autre).
  • Les personnes sorties du système scolaire depuis au moins 6 mois, sans condition d'âge, de niveau, de domaine de qualification réalisant une période de mobilité transnationale structurée.
L'enquête sera appliquée à une population test en situation effective de mobilité transnationale structurée et à une population témoin n'ayant pu réaliser la période de mobilité prévue.
400 individus au total seront questionnés.

[1]La Délégation Générale pour l'Emploi et la Formation Professionnelle (DGEFP), le Pôle Emploi, le Conseil National des Missions Locales (CNML), le Conseil National de la Formation Professionnelle Tout au Long de la Vie (CNFPTLV), l'Association des Régions de France (ARF), le Conseil régional Ile-de-France, la Direction Générale de l'Enseignement Scolaire (DGESCO) du ministère de l'Education nationale, l'Office Franco-Allemand pour la Jeunesse (OFAJ), l'Office Franco-Québécois pour la Jeunesse (OFQJ), l'Institut National de la Jeunesse et de l'Education Populaire (INJEP).

http://www.europe-education-formation.fr/actualite/581/mobilite-internationale-des-demandeurs-d-emploi-quel-impact

mercredi 6 novembre 2013

Du chômage à la reconversion des cadres

Les plans sociaux, les licenciements, les restructurations d’entreprises et les sièges d’usines font la une des médias. Mais que savons-nous de la vie d’après le chômage de la population des cadres naufragés de notre époque? Dans « Pour nous la vie va commencer » (Les Arènes), un récit fictionnel porté par l’optimisme, Carine Hahn, coach et psychanalyste, leur donne chair dans les coulisses d’un cabinet de Ressources Humaines et montre que la rupture avec l’emploi peut être, pour eux, l’occasion d’un vrai nouveau départ. 

Hannah Blumm, la narratrice de « Pour nous la vie va commencer », est consultante en transition de carrière dans un grand cabinet de conseil en Ressources Humaines à Paris. Elle accompagne des femmes et des hommes brisés par le chômage. Ils sont cadres, cadres supérieurs ou dirigeants. Comme les autres, ils sont aujourd’hui licenciés économiques ou volontaires au départ, crise économique et nouvelle stratégie d’entreprise obligent. Antoine, Jean, Sylvie et les autres sont issus de milieux privilégiés, ont fait une bonne école et ont suivi un parcours sans faute dans la hiérarchie de grands groupes internationaux. Mais un jour, leur entreprise les a remerciés et s’est dédouanée en leur finançant un accompagnement dans un cabinet spécialisé.

Un récit humain et optimiste
Alors, Hannah les reçoit, écoute leur souffrance, celle d’être du jour au lendemain jeté par le système qu’ils ont si bien servi pendant de longues années. Et la souffrance n’est pas moindre, loin de là, parce qu’ils sont cadres et, que sur le papier, ils ont tout pour s’en sortir rapidement. Beaucoup ont fait de grandes écoles et ont un carnet d’adresses fourni. Mais l’incompréhension, la perte de l’estime de soi, l’angoisse du lendemain bouchent leur horizon. Et puis, une fois le deuil de leur vie d’avant fait, accompagnés pas à pas dans un questionnement qu’ils n’avaient jamais pris le temps de mener, ils construisent le projet de leur nouvelle vie, souvent à 360 degrés de la précédente. Ils retrouvent sens à leur existence. Mais la roue tourne toujours et Hannah, elle aussi, va traverser la tourmente dans sa propre entreprise. Mise en abîme d’itinéraires initiatiques.
Le sujet est inédit. Les livres théoriques sur le « Comment être un bon manager ? », sur le bonheur dans l’entreprise pullulent. Mais la voix de ceux qui en sont éjectés n’avait jamais été portée avec autant de force et sincérité. Pourquoi ? Sans doute parce qu’évoquer le sort des « privilégiés » du système en ces temps de froidure économique peut faire sourire la masse salariale. Sans doute aussi parce qu’ils représentent les piliers du même système et que si eux aussi sont atteints, c’est dire s’il est mal en point. Mais enfin, à 50 ans, eux aussi sont condamnés à la précarité. Ceux qui retrouvent une activité professionnelle ne la pratiquent d’ailleurs souvent plus qu’en tant que manager de transition pour des contrats à durée déterminée.
Plutôt que de sombrer dans le pessimisme actuel, Carine Hahn, forte de ses expériences exceptionnelles avec ces profils, choisit de faire porter à ses personnages, une histoire résolument positive. Elle prend sciemment le parti de dire que rien n’est jamais fini, même à 50 ans. Même par ces temps de crise dans une entreprise vidée de sa fibre humaine. Car la vie d’un être humain commence, s’arrête moult fois, se poursuit, se fissure, se reconstruit et recommence. Comme l’écrivait Ralph Waldo Emerson, « L’homme est grand, non par ses buts, mais par ses transitions. »

Pour un nouveau contrat social
Ce livre donne aussi l’occasion de réfléchir à l’entreprise de demain. Une entreprise plus humaine. Et, sans tomber dans un angélisme primaire qui ne ferait que prôner la naissance de « boîtes » où le dialogue s’instaurerait à nouveau entre la tête et les jambes, il invite à prendre le temps de poser les jalons d’une entreprise carrefour d’un nouveau contrat social entre employeur et salarié.
Et si nous récupérions le bébé jeté avec l’eau du bain des entreprises des années 70 ? Celles qu’on qualifie aisément aujourd’hui de paternalistes, celles où le patron parlait directement à ses salariés. Sans revenir à cette époque, nous pourrions en effet opter pour une nouvelle entreprise où le « patron » dirait à celui qu’il embauche : « Vous signez pour trois ans chez nous, vous vous engagez à nous donner le meilleur de vous-même pour atteindre les objectifs et je m’engage à vous accompagner pendant ces trois années dans votre développement professionnel. Vous pourrez vous former et monter en compétences pour atteindre vos propres objectifs. » Et, trois ans plus tard, chacune des parties se prononcerait pour la reconduite ou non du contrat.
A l’heure où la question de l’engagement professionnel se pose dans les plus grandes « boîtes », qui plus est avec les générations montantes, l’entreprise aurait tout à y gagner et ne renoncerait plus aussi facilement à ses salariés, qu’ils soient jeunes porteurs d’espoir ou seniors porteurs d’expérience.
Quant aux DRH, souvent contraints aujourd’hui à mener des plans sociaux et à se licencier dans la foulée, managers de transition chargés de faire le sale boulot dans le cadre de fusions, ils retrouveraient sens au métier qu’ils ont choisi avec cœur et humanité : celui d’accompagner le salarié dans son évolution professionnelle. Forts, eux aussi, de leur belle expérience de senior.

Par RH info

http://www.rhinfo.com/actualites/article/details-articles/enm/21056_79-du-chomage-a-la-reconversion-des-cadres

mardi 8 octobre 2013

Viadeo lance son nouvel espace « Jobs & Formations »

Avec une refonte complète et de nouvelles fonctionnalités de la rubrique « Jobs & Formations », le réseau social professionnel, qui compte désormais 8 millions de membres en France, enrichit son offre « Recruteurs » pour mieux accompagner les entreprises.

Parmi toutes les entreprises présentes sur Viadeo, nombreuses sont celles utilisant l’espace « Jobs & Formations » pour diffuser leurs offres d’emploi et adresser ainsi plus de candidats potentiels. Viadeo a rénové sa rubrique afin de mieux valoriser ces offres et ce, pour être encore plus efficace et plus proche des besoins de recrutement des structures présentes sur le premier réseau social professionnel français.
La refonte de l’espace compte en effet des innovations en termes de fonctionnalités et d’ergonomie :
- Toujours plus près ? Les entreprises qui renseigneront leur adresse verront celle-ci automatiquement publiée sur les offres d’emploi et géolocalisées. Sur le détail de l’offre, les candidats pourront visualiser en simultané le temps de trajet, une carte interactive par rapport à leur domicile et le meilleur itinéraire pour s’y rendre. Alors que 46 % des français actifs seraient prêts à changer de travail pour se rapprocher de chez eux[1] et que pour 80 % des membres sondés² la situation géographique est un critère déterminant dans leur recherche d’emploi, Viadeo permet donc aux recruteurs de recevoir des candidatures toujours plus qualifiées. De quoi considérer sérieusement l’envie de faire un bout de chemin ensemble…
- Toucher plus de candidats ? C’est possible grâce à la possibilité de postuler directement via son profil. On sait que certains candidats en poste n’ont pas forcément le temps de refaire un CV détaillé. En postulant via leur profil numérique, ils peuvent se positionner facilement et rapidement. C’est donc l’occasion pour les recruteurs de sourcer de nouveaux profils.
- Enfin, pour aller plus loin dans la mise en avant de la rubrique emploi sur Viadeo, les nouvelles offres bénéficient d’un meilleur référencement sur Viadeo ainsi que sur les moteurs de recherche. Une passerelle relie désormais la page Entreprise et les offres que cette même entreprise publie dans l’espace Jobs & Formation, ce qui multiplie la visibilité de la structure qui recrute. Le bénéfice est double : la marque employeur est consolidée, et les candidats ont un accès immédiat à toutes les informations délivrées par la Page Entreprise.
L’objectif de cette refonte ? Mettre toujours plus d’outils au service d’une plus grande fluidification du marché du travail en multipliant les possibilités de prises de contact. Des évolutions supplémentaires sont à venir dans les prochains mois offrant de nouvelles perspectives en faveur de l’emploi.

lundi 30 septembre 2013

VIDEOS. Tous pour l'emploi : «Le Parisien»- «Aujourd'hui en France» se mobilise

«Le Parisien»-«Aujourd'hui en France» se mobilise pour l'emploi. Avec l'opération Tous pour l'emploi, en collaboration avec BFM Tv, chaque jour de la semaine retrouvez reportages, témoignages, conseils pratiques qui vous donnent les pistes pour identifier les secteurs, les métiers et les régions qui recrutent.

Catherine Gasté | Publié le 30.09.2013, 06h49
Chelles (Seine-et-Marne), le 8 novembre 2012. François Hollande à l’occasion de la signature des premiers contrats emplois d’avenir, destinés à lutter contre le chômage des jeunes.

Chelles (Seine-et-Marne), le 8 novembre 2012. François Hollande à l’occasion de la signature des premiers contrats emplois d’avenir, destinés à lutter contre le chômage des jeunes. | MaxPPP / Chesnot

Zoom
Inverser la courbe du à la fin de l’année… Tout juste élu en juillet 2012, a fait cette promesse. Malgré la hausse inexorable des demandeurs d’emploi, un chômage à plus de 10% explosant tous les records, lui et ses ministres s’entêtent. Chaque mois, ils martèlent : « On va y arriver car toutes nos forces sont tendues vers ce seul but. » Un message en boucle, comme pour conjurer le sort. Et faire taire les économistes rabat-joie, qui répètent à l’envi depuis des mois : pas de croissance, pas de baisse du chômage.

Alors s’inversera, s’inversera pas? Dans deux mois, une chose est sûre, François Hollande aura des comptes à rendre. « On est tout près du but », assure le chef de l’Etat. Et les 50000 chômeurs de moins en août sont « un chiffre encourageant » vu de l’Elysée.

Des métiers et des filières embauchent encore !

Hollande serait-il en train de gagner son pari? Une hirondelle ne fait pas le ont rétorqué les sceptiques. Pour qu’une inversion soit durable il faut qu’elle dure plusieurs mois. Et rien n’est moins sûr. Car le fait est que l’économie n’est pas en mesure, aujourd’hui, de faire baisser le chômage.

Alors d’où vient cette certitude présidentielle? Croissance ou pas, le gouvernement dispose d’un atout majeur : les contrats aidés qui vont tourner à plein régime d’ici à la fin de l’année. Une recette centrée sur le secteur non marchand (collectivités locales ou associations) et censée absorber une partie de la hausse du chômage quand les entreprises privées continuent à détruire des emplois. Mais ces fameux emplois aidés, de quoi s’agit-il précisément? Emplois d’avenir, contrat unique d’insertion, contrat de professionnalisation, contrat de génération, emplois francs… Comment ces dispositifs fonctionnent-ils? A qui s’adressent-ils? Dans le cadre de notre opération Tous pour l’emploi, menée avec BFMTV, notre journal vous aide à y voir plus clair et vous présentera tout au long de la semaine les diplômes, les métiers ou les filières qui constituent aujourd’hui un passeport pour l’emploi.

http://www.leparisien.fr/une/tous-pour-l-emploi-le-parisien-aujourd-hui-en-france-se-mobilise-30-09-2013-3182313.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter 

Le chantier de la formation professionnelle est ouvert

Le gouvernement veut réformer en profondeur la formation professionnelle. Un système considéré comme injuste et qui coûte 32 milliards d’euros à l’État. Les négociations avec les partenaires sociaux ont débuté ce mercredi 24 septembre. Elles seront longues.


 
Seul un chômeur sur cinq a pu bénéficier d'une formation professionnelle en 2011.  (Mathias Garibean - CC - Flickr)
Seul un chômeur sur cinq a pu bénéficier d'une formation professionnelle en 2011. (Mathias Garibean - CC - Flickr)
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Beaucoup d'argent pour très peu de résultats. C'est le constat partagé par le gouvernement et les partenaires sociaux. Patronat et syndicats se sont d'ailleurs réunis ce mardi 24 septembre pour dessiner les contours d'une réforme. Un projet de loi est attendu avant la fin de l'année.

Près de 32 milliards d'euros sont, en effet, dépensés chaque année pour financer la formation professionnelle. Une somme considérable pour des résultats décevants. Seulement 566.000 chômeurs ont suivi une formation en 2011 sur les plus de 3 millions que compte le pays, soit moins d'un chômeur sur cinq !

12% des fonds pour les chômeurs

C'est en fait toute la philosophie du système qui est à revoir. Le système a été créé en période de plein emploi avec pour objectif d'améliorer les compétences des salariés en poste. Et dans les faits, c'est toujours ce qui se passe : 62% des fonds de la formation vont aux salariés, et seulement 12,5% pour les chômeurs. Paradoxalement, ce sont les demandeurs d'emploi les plus qualifiés qui décrochent une formation.
C'est sur ce point que le gouvernement veut des résultats. La formation doit devenir un outil efficace de lutte contre le chômage. François Hollande s'est fixé un objectif chiffré : un chômeur sur deux doit se voit proposer une formation dans un délai de deux mois.

http://www.bfmtv.com/economie/l-executif-veut-revoir-profondeur-systeme-formation-professionnelle-609512.html 
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