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mercredi 12 février 2014

Twitter rêve-t-il de ressembler à Facebook ?

Technologie : Confronté à un ralentissement du nombre de ses utilisateurs, Twitter a promis de nouvelles fonctionnalités. Une interface refondue est en préparation et elle reprend des éléments de l’interface de Facebook.
Twitter est-il en train de plancher sur une refonte très en profondeur de l’interface de son service en ligne ? Selon Mashable, dont un des journalistes a eu accès à une nouvelle page de profil Twitter, la réponse est oui.
Oui et Twitter tendrait, au travers de cette refonte graphique, à se rapprocher du design de page appliqué par Facebook sur sa propre plate-forme avec par exemple une biographie placée dans le coin supérieur gauche et surtout une grande image s’étirant sur toute la longueur.
Simplifier l'arrivée des nouveaux utilisateurs
Selon Mashable, cette refonte n’affecte pour le moment que la version PC de Twitter. Elle s’accompagne en outre de messages, tweets, plus grands. Une façon d’accorder plus d’importance aux contenus. Et accessoirement de rendre les messages sponsorisés plus visibles ?
Confronté à un ralentissement de l’inscription de nouveaux abonnés, Twitter s’efforce peut-être avant tout de rendre son interface plus accueillante et plus lisible, notamment auprès d’utilisateurs d’autres services, comme Facebook.
Conscient des difficultés rencontrées par les nouveaux utilisateurs, Twitter annonçait récemment sa volonté d’y répondre par l’ajout de nouvelles fonctionnalités destinées à améliorer l’expérience.
http://www.zdnet.fr/actualites/ui-twitter-reve-t-il-de-ressembler-a-facebook-39797759.htm

mercredi 30 octobre 2013

Comment faire des salariés les ambassadeurs de votre marque employeur ?

Par Olivier Fécherolle, Chief Strategy & Development Officer au sein de Viadeo

mercredi 30 octobre 2013
L’importance de la marque employeur n’est plus à démontrer dans un environnement où le « social » tient une place de plus en plus grande. Ces nouveaux usages numériques obligent l’entreprise à aborder autrement la question de sa représentation par ses salariés. Les ressources humaines seront au cœur d’un processus de mutation qui, s’il est mené à bien, permettra de créer des ambassadeurs qualifiés. Gérer sa marque employeur, c’est aussi construire une relation de confiance avec ses salariés pour servir le développement de l’ensemble de la structure.

Le paradoxe persistant d’un chômage élevé et d’une pénurie de compétences sur des talents de plus en plus diversifiés impose une réflexion sur la nécessité pour une entreprise de gérer son attractivité. Sans traiter le vaste sujet de la marque employeur, intéressons-nous aux rapports entre la DRH et les salariés, ambassadeurs nés de cette marque employeur.

Il existe encore, ici ou là, la tentation d’une communication statutaire et verticale ; « à l’ancienne ». On inventerait une communauté d’ambassadeurs salariés, comme on investirait un nouveau média sur lequel on déclinerait un message adapté aux réseaux sociaux professionnels et à la généralisation de leur usage sur terminal mobile.

La proposition est séduisante, mais irréaliste. Le numérique modifie le rapport des individus entre eux, mais aussi celui qu’ils entretiennent avec les structures : ils sont libres de leurs commentaires, se construisent leurs propres réseaux de contacts, et sont sollicités pour décrire au quotidien leur réalité professionnelle. Les salariés ne sont pas des canaux, mais des « pure players ». Dès lors, les communautés ne se créent pas ex nihilo, et les ambassadeurs auront besoin d’adhérer à des valeurs. La communication statutaire ne fonctionne plus. A mon sens, il faut changer en profondeur la communication vers les salariés et opérer une forme de « lâcher prise » dans sa communication interne sur les sujets de marque employeur.

La mutation des salariés doit être précédée par celle des ressources humaines
Les ressources humaines sont le pivot central de la transformation des salariés. De leur acuité sur les projets, métiers et projections business d’une entreprise, dépendra demain le fait que ce développement soit mené à bien par les personnes les plus qualifiées pour le faire.

De leur capacité à diffuser l’information, à faire de la pédagogie sur la transparence et la véracité des discours, dépend la crédibilité de la marque employeur. Car les messages sont vérifiables par tous ceux qui ont une présence numérique. Les ressources humaines ont le pouvoir, et peut-être le devoir, de s’adresser aux équipes dirigeantes et d’encadrement et de leur rappeler que la marque employeur doit s’articuler avec la marque personnelle du salarié. En conséquence, leur entrelacement doit avoir un intérêt mutuel. En effet, les salariés reflètent en ligne la nature de leur rapport à leur employeur ; s’ils se sentent satisfaits dans leur vie quotidienne, ils diffuseront un message bienveillant. A l’inverse, s’ils ont le sentiment que la communication interne, par exemple, peine à les informer des changements en passe de se produire, ils répercuteront leurs incertitudes.

On ne naît pas ambassadeur, on le devient
Les marques employeurs qui sauront émerger seront celles qui auront donné la preuve de leur volonté d’interagir avec les salariés et de provoquer l’engagement.

La voie autoritaire n’ayant qu’une portée limitée dans le temps, la marque employeur doit innover pour fournir des services variés et cohérents à ses salariés. Dans le même temps, elle doit créer des possibilités de collaborations génératrices d’implication plus « émotionnelles ».

Adresser à ses salariés par courrier électronique un lien pour télécharger LA charte ou un texte type issu d’une ancienne présentation corporate n’est plus à la hauteur des nouveaux enjeux. En revanche, proposer, mettre à disposition, des éléments graphiques aisément utilisables pour accompagner la communication que feront ces salariés sur les médias sociaux est plus en phase avec ces nouveaux enjeux et le signe d’une volonté « non dirigiste » qui sera plus efficace. Dans le même ordre d’idée, quelques éléments concis de description de l’activité de l’entreprise, des chiffres clefs et des mises en perspective marché pourront motiver les salariés à s’engager.

Par service, s’entend également la valorisation de leur marque individuelle. Déterminer les bons speakers et les mettre en scène via des contributions fait partie des nouvelles missions impératives des ressources humaines. Valoriser les leaders d’opinion, les spécialistes intervenant dans un groupe corporate, les veilleurs, les membres d’un comité de rédaction... en relayant leurs contributions sur différents types de supports : page entreprise sur les réseaux sociaux, blogs, billets internes, témoignages métiers, préparation de retour d’expérience permettra d’aider le salarié à développer sa fierté d’enseigne, en se sentant accompagné dans cette démarche. L’investissement éditorial d’un salarié correspond encore trop souvent à un « à côté ». Or celui dont l’implication est valorisée formellement est non seulement un excellent ambassadeur, mais aussi un moteur qui peut entraîner d’autres salariés dans son sillon.

La marque employeur doit s’inscrire dans une logique développement durable
De nombreux salariés ignorent encore si une charte entreprise existe pour les réseaux sociaux professionnels. La coordination de la communication interne, externe et corporate, la capacité à mettre en place des modèles collaboratifs non contraignants mais incitatifs, à géométrie variable, la volonté de fournir contenus et projets qualitatifs ne sont pas encore suffisamment pensées comme des tactiques servant une stratégie à long terme. Le salarié devra pourtant trouver son compte dans la relation avec la marque employeur. Les projets responsabilité sociétale des entreprises font partie de ces points de convergence entre eux.

C’est par le biais d’un « soft power employeur », non coercitif mais convaincant, que les salariés intégreront une nouvelle culture. Ils deviendront ainsi les plus efficaces des ambassadeurs.

http://www.infodsi.com/articles/144364/faire-salaries-ambassadeurs-marque-employeur-olivier-fecherolle-chief-strategy-development-officer-sein-viadeo.html 

jeudi 17 octobre 2013

Les réseaux sociaux jugés encore peu efficaces pour décrocher un job


Une étude de l’Apec montre que si les cadres ont commencé à investir les réseaux sociaux professionnels, ils estiment encore qu'ils sont peu performants pour trouver un emploi.




Les cadres se sont familiarisés avec les réseaux sociaux professionnels : c’est ce qui ressort de l’enquête de l’Apec, menée en avril 2012, qui vient d’être publiée. Ils sont désormais 53 % à être inscrits sur au moins un réseau social type Viadeo ou Linkedin, et 49 % à les utiliser pour, le plus souvent, entretenir des contacts professionnels existants (42 %), en nouer de nouveaux (39 %) et publier leur CV (39 %). « Nous notons deux phénomènes. Le premier, c’est que la génération Y a bien compris la nécessité d’être présente sur ces réseaux : chez les moins de 30 ans, 77 % sont inscrits, précise Pierre Lamblin, directeur du département études et recherche de l’Apec. Le second, c’est que la population des cadres, dans son ensemble, est très au fait des enjeux liés à l’e-réputation. » Ainsi, 67 % des répondants disent porter une attention particulière à leur image sur internet et 82 % reconnaissent avoir cherché des traces de leur passage sur la Toile via des moteurs de recherche tel Google. La preuve que les campagnes de sensibilisation commencent à porter leurs fruits.

Encore peu d'embauches à la clé

Si ces outils sont jugés pertinents pour multiplier les opportunités professionnelles (58 % des cadres estiment qu’ils sont utiles dans une recherche d’emploi), ceux qui ont le plus la cote restent pourtant, et de loin, les traditionnels sites d’emploi et autres CVthèques. Ainsi, 84 % des cadres considèrent que répondre à des offres constitue une action efficace pour trouver un emploi, alors qu’être inscrit sur un réseau social professionnel n’est jugé efficient que par 36 % des répondants. Et force est de constater qu’ils ont de bonnes raisons d’être sceptiques : seuls 5 % des cadres embauchés depuis 2008 ont été recrutés par ce biais (contre 44 % grâce aux offres d’emploi). Conclusion : « L’utilisation de ces réseaux va continuer de se banaliser, mais l’offre d’emploi a encore de beaux jours devant elle. Elle devrait rester le premier canal de diffusion dans les quatre ans à venir », pronostique Pierre Lamblin.
http://pro.01net.com/editorial/580379/les-reseaux-sociaux-juges-encore-peu-efficaces-pour-decrocher-un-job/http://pro.01net.com/editorial/580379/les-reseaux-sociaux-juges-encore-peu-efficaces-pour-decrocher-un-job/ 

jeudi 29 août 2013

Un réseau social est il un outil 1.0 dédié au monologue ou 2.0 au dialogue ?

jeudi 29 août 2013

 

Etes vous pret à vous connecter avec vos clients sur les réseaux sociaux ?
Lyon-Villeurbanne, France
Je viens de vivre une expérience intéressante sur l'usage des réseaux sociaux professionnels que je souhaiterai partager avec vous.

Je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience.

A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?

MONOLOGUE OU DIALOGUE : THAT IS THE QUESTION ?

Je suis allé poster sur un hub de ma région, dans un forum de discussion pour poser une question qui s'adressait aux entreprises :

- si elle considérait que leur présence sur les réseaux sociaux devait se faire sous la forme d'une communication classique 1.0, sous forme par exemple de communiqués de presse publiés quotidiennement (comme le journal les Echos, La Tribune par exemple),

- ou dédié au dialogue 2.0 par des forums, une sorte d'agora pour permettre une véritable participation et construction collective, favorisant des échanges de bonnes pratiques et à des actions collectives.

Il ne s'agissait qu'une question ?

Les résultats en quelques lignes :

Je n'étais pas le bienvenu, car l'administrateur du hub considéra vite qu'il est chez lui, et qu'il pouvait décider de parler de ce qu'il veut, lui convient ou non, et me demande même « d'arrêter cette discussion » dixit.

L'administrateur publie en effet, et c'est son choix, publie 3 à 4 communiqués de presse par jour (il n'y a que lui qui parle, aucun dialogue, ni partage 2.0), presqu'aucun commentaire sur la plus grande partie de ses posts, et voir même, on vous empêche même de lancer des discussions ou répondre à certains sujets, le comble ?

Certes, un petit nombre de membres de ce groupe conviennent que cela leur convient de seulement lire quelques communiqués de presse régulièrement et avouent ne pas pouvoir ni vouloir partager eux mêmes des informations, ou venir échanger.

C'est comme s'ils feuilletaient un journal.

Voici un constat personnel qui semble expliquer le peu d'activité sur les réseaux sociaux.

Car je me demande aussi, si l'on fait bien la différence entre :

- un site internet, un blog, un site de curation de contenus d'informations (comme l'AFP, Les Echos ou Scoopit...) qui peut diffuser régulièrement des communiqués de presse,

- un réseau social qui permet justement d'être une véritable agora, ouverte, tolérante

LES MARCHES SONT DES CONVERSATIONS

Il me semble que les réseaux sociaux, sont des outils 2.0, c'est à dire participatif, permettant justement les discussions, qui deviennent des communications multilatérales. C'est le destinataire du message qui discute, et qui parle de l'entreprise et de la marque.

Un réseau social permet à une entreprise de se faire re-connaitre, et non de se faire connaitre par de la pub.

L'entreprise ne doit pas se faire connaitre sur les réseaux sociaux par des communiqués de presse, de la publicité, mais se faire reconnaître par des conversations, c'est à dire recommander et faire en sorte que l'on parle de soi par l'animation des échanges autour de centres d'intérêts.

Je pense donc que cette pratique de monologue peut être à l'origine des désaffections des réseaux sociaux par les entreprises.

Car les entreprises ne pourront pas consacrer leur stratégie et leur budget communication pour être présent sur les réseaux, et n'avoir pas plus de 10 lectures pour leur posts et sans aucun commentaires ce qui peut avoir des conséquences au niveau de l'image de marque, de leur e-reputation de l'entreprise.

Le rapport investissement temps/rentabilité est contre productif et dissuadera les entreprises d'investir les réseaux sociaux professionnels.

Surtout que l'image de marque, l'e-reputation de l'entreprise en question peut être atteinte.

Qu'en pensez vous ?

NB : Je le rappelle, je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience et d'une interrogation que je souhaite partager.

A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?

Au moins, sur ce groupe, je sais que j'aurai le droit de m'exprimer librement sur ce que je pense.


Quand "Censure tu nous tiens" ?
 
 

dimanche 18 août 2013

LES RÉSEAUX SOCIAUX, PLUS GRAND VIVIER MONDIAL DE TALENTS ... À CONDITION DE BIEN LES UTILISER


Quelques règles d'or à suivre, par Eric Gellé, Regional Director Western Europe de Lumesse


Avec des millions de membres inscrits dans le monde entier (50 millions sur Viadeo, plus de 200 millions sur LinkedIn), les réseaux sociaux constituent une base de données très importante et des plus attractive pour les DRH et les cabinets de recrutement. Vivier considérable de talents pour les recruteurs et véritables vitrines d'entreprises pour les candidats, le recrutement via les réseaux sociaux occupe une place de plus en plus grande dans la stratégie des entreprises. Les solutions technologiques qui ne cessent de s'améliorer y contribuent naturellement et cette tendance ne cesse de croître.


Les recruteurs et professionnels RH de demain ne considèrent plus LinkedIn, Viadeo ou Facebook comme des tendances passagères. Ils ont grandi avec ces sites et sont eux-mêmes de fervents utilisateurs. Pour utiliser au mieux le formidable potentiel que représentent les réseaux sociaux, Eric Gellé dresse une liste des principales bonnes pratiques à suivre. Loin d'être exhaustifs, ces conseils pour certains simples mais pourtant souvent négligés, ont pour objectifs de présenter les règles d'or de base, applicables à toutes les entreprises, pour tout bon usage des réseaux sociaux.


1. Communiquer régulièrement
Pour utiliser les réseaux sociaux de manière efficace, il faut penser social. La fréquence est donc cruciale. Plus de la moitié des partages sur Facebook ou Twitter se font dans les 3 heures après la publication du lien. Pensez à vos pages comme une chaîne télé qui nécessite des mises à jour régulières et un contenu varié. Ouvrir une page sur un réseau est inutile si vous n'avez rien à dire et que vous vous contentez de publier du contenu une fois par mois.

2. Définir sa stratégie sociale
Comme pour tout autre canal de recrutement, il vous faut au préalable établir des objectifs clairs et mesurables. Demandez-vous d'abord à quoi ressemble votre marque employeur. Comment la refléter dans l'usage de réseaux sociaux ? Avec qui voulez-vous interagir ? Que recherchent votre public et vos candidats ? Comment voulez-vous que vos recrues potentielles vous perçoivent et qu'attendez-vous d'elles ?
 
3. Choisir le ou les bons réseaux sociaux

Répondre aux questions ci-dessus vous aidera à choisir les réseaux à utiliser. Certains réseaux sont plus pertinents pour certaines populations ou certains objectifs. Facebook serait un choix logique pour des candidats junior par exemple. Même si les choses évoluent, LinkedIn permet de toucher plus facilement des salariés expérimentés et a une forte dimension internationale. Viadeo est plus adapté pour des entreprises de plus petite taille françaises ou européennes.

4. Ne pas perdre de vue son identité sociale
Ne noyez pas vos candidats avec du contenu inintéressant pour eux. Pour établir une relation de confiance, postez régulièrement des offres d'emploi sur vos espaces carrière - à la fois sociaux et non sociaux. Utilisez une solution de recrutement qui vous permette de mesurer les résultats de vos actions et de modifier les messages sur tous vos canaux en une seule fois. N'oubliez pas de rester cohérent en termes de style et de langage par rapport à votre marque, mais aussi par rapport au réseau sur lequel vous évoluez. Un langage plus professionnel est requis sur LinkedIn ou Viadeo, Facebook se prête à des approches plus informelles, un ton plus décalé.
 
5. Construire une relation durable

Construire une relation de longue durée comme asseoir une marque prennent du temps. Le recrutement social consiste à construire une relation dans le temps avec des candidats passifs. Si votre organisation se forge une marque à la réputation positive dans la sphère sociale, alors elle figurera en tête de liste quand les candidats passeront en mode actif. De même, les réseaux sociaux vous permettent d'interagir avec des candidats qui ne sont peut-être pas en recherche active mais qui pourraient néanmoins être tentés par des opportunités professionnelles intéressantes. Vous ne récolterez sans doute pas le fruit de vos actions sociales immédiatement, mais certainement dans la durée.

6. Personnaliser les contacts
Pour instaurer une vraie relation de confiance avec les candidats dans un environnement social, il est important d'éviter les messages creux, trop « corporate » et d'adopter des approches unilatérales. Ecoutez-les, répondez à leurs questions, encouragez la discussion et les échanges.

7. Fournir du contenu utile et adapté
Ne considérez pas les réseaux sociaux comme de simples job boards. Postez du contenu intéressant et en lien avec ce qui intéresse votre audience. Cela favorisera l'engagement, attirera de nouveaux candidats potentiels sur vos sites et garantira que ceux avec lesquels vous échangez reviennent. Fournissez-leur des conseils, par exemple des bonnes pratiques sur les CV ou comment gagner en visibilité sur les réseaux sociaux... Vous contribuerez ainsi à forger la réputation (positive) de votre marque et établirez un rapport gagnant-gagnant avec vos candidats.

8. Offrir une expérience candidat positive
Votre site de recrutement doit être intuitif et simple à utiliser si vous voulez que les candidats aillent jusqu'au bout du processus de candidature. Par exemple, leur permettre de postuler depuis leur compte LinkedIn directement sur votre page carrière Facebook est un plus. Ce gain de temps contribue à offrir à vos candidats une expérience utilisateur positive.

9. Utiliser ses salariés comme ambassadeurs
Des salariés heureux peuvent se transformer en excellents promoteurs de votre marque dans les sphères sociales. Demandez-leur de « liker » votre page Facebook, de rejoindre vos groupes professionnels sur LinkedIn, Viadeo ou autre site, de twitter du contenu relatif à votre entreprise pour élargir votre audience. Demandez à vos salariés de communiquer vos offres d'emploi à leurs réseaux et de recommander des candidats adaptés parmi leurs connaissances. Mettez en place un programme de parrainage pour appuyer ces initiatives.

10. Mesurer et suivre ses activités sociales
Suivez des indicateurs clés tels que les meilleurs canaux de recrutement, les taux de conversion par source, les sites d'où viennent les meilleures candidatures, à quelle période de l'année vous recevez le plus de candidatures... Ces indicateurs sont indispensables pour vérifier si vous avez atteint ou non vos objectifs et optimiser votre stratégie dite sociale. Des sites tels que Google Analytics ou SocialMention.com peuvent vous aider à générer et analyser ces données. De même, rappelez-vous qu'il vous faut suivre de manière continue votre vivier de talents issu des réseaux sociaux pour voir si vous vous adressez aux profils que vous recherchez.
http://www.myrhline.com/actualite-rh/les-reseaux-sociaux-plus-grand-vivier-mondial-de-talents-a-condition-de-bien-les-utiliser.htmlhttp://www.myrhline.com/actualite-rh/les-reseaux-sociaux-plus-grand-vivier-mondial-de-talents-a-condition-de-bien-les-utiliser.html

samedi 3 août 2013

Googlé ! Recruté ? n°4 : une e-réputation mal maîtrisée

Quand les compétences reviennent au coeur du recrutement

23/07/2013 - 3 Commentaires
Recrutement sans CV Nous avons une grande annonce à vous faire : le CV, cet élément indissociable du candidat et donc de son recrutement, est en passe de devenir has been. Serously ? Impossible me direz-vous et pourtant, comme nous vous l’annoncions dans un précédent article, faites place au recrutement sans CV ! Initiative lancée en 2010 par l’Apec, il semble que cette pratique prenne un réel essor.
Mais en quoi consiste le recrutement sans CV ?
Comme son nom l’indique, il s’agit d’une postulation qui n’est pas basée sur CV ou sur lettre de motivation mais sur un questionnaire. Ce questionnaire se compose de 25 à 30 questions très précises sur le poste à pouvoir. C’est littéralement la traduction de la petite annonce classique en questions et en mise en situation et cas pratique. En somme, cela permet l’évaluation du candidat de façon pertinente. En effet, ce questionnaire, renvoie une image basée sur les compétences et les capacités des candidats pour un poste donné.
Ce nouveau processus de recrutement est une aubaine tant pour les candidats que pour les responsables RH.
Côté candidats, ces derniers ne sont plus jugés par rapport à leurs diplômes ou leurs expériences passées, mais bien sur leurs compétences, leur personnalité et leur motivation pour le poste.
Côté recruteurs, le recrutement sans CV semble tout aussi opportun puisqu’il permet aux consultants une meilleure évaluation des candidats sans passer par la case «inspection de la pile de CV». Cela leur permet également de sortir du phénomène de « clonage » que peut comporter la postulation avec CV et ainsi le sentiment d’érosion de la motivation du candidat que peuvent, parfois, percevoir les équipes de recrutement.
Les avantages de cette méthode de recrutement sont nombreux. Cela s’adapte à tout type de poste. La nature des entretiens qui s’en suivent est plus qualitative. Dans le cadre d’un cabinet de recrutement, c’est également un gage de sécurité pour le client, car les arguments d’embauche sont plus étayés et plus argumentés.
- See more at: http://www.latribudesexperts.fr/quand-les-competences-reviennent-au-coeur-du-recrutement/#sthash.ugQkz7Rf.dpuf

Quand les compétences reviennent au coeur du recrutement

23/07/2013 - 3 Commentaires
Recrutement sans CV Nous avons une grande annonce à vous faire : le CV, cet élément indissociable du candidat et donc de son recrutement, est en passe de devenir has been. Serously ? Impossible me direz-vous et pourtant, comme nous vous l’annoncions dans un précédent article, faites place au recrutement sans CV ! Initiative lancée en 2010 par l’Apec, il semble que cette pratique prenne un réel essor.
Mais en quoi consiste le recrutement sans CV ?
Comme son nom l’indique, il s’agit d’une postulation qui n’est pas basée sur CV ou sur lettre de motivation mais sur un questionnaire. Ce questionnaire se compose de 25 à 30 questions très précises sur le poste à pouvoir. C’est littéralement la traduction de la petite annonce classique en questions et en mise en situation et cas pratique. En somme, cela permet l’évaluation du candidat de façon pertinente. En effet, ce questionnaire, renvoie une image basée sur les compétences et les capacités des candidats pour un poste donné.
Ce nouveau processus de recrutement est une aubaine tant pour les candidats que pour les responsables RH.
Côté candidats, ces derniers ne sont plus jugés par rapport à leurs diplômes ou leurs expériences passées, mais bien sur leurs compétences, leur personnalité et leur motivation pour le poste.
Côté recruteurs, le recrutement sans CV semble tout aussi opportun puisqu’il permet aux consultants une meilleure évaluation des candidats sans passer par la case «inspection de la pile de CV». Cela leur permet également de sortir du phénomène de « clonage » que peut comporter la postulation avec CV et ainsi le sentiment d’érosion de la motivation du candidat que peuvent, parfois, percevoir les équipes de recrutement.
Les avantages de cette méthode de recrutement sont nombreux. Cela s’adapte à tout type de poste. La nature des entretiens qui s’en suivent est plus qualitative. Dans le cadre d’un cabinet de recrutement, c’est également un gage de sécurité pour le client, car les arguments d’embauche sont plus étayés et plus argumentés.
- See more at: http://www.latribudesexperts.fr/quand-les-competences-reviennent-au-coeur-du-recrutement/#sthash.ugQkz7Rf.dpuf
Nous avons une grande annonce à vous faire : le CV, cet élément indissociable du candidat et donc de son recrutement, est en passe de devenir has been. Serously ? Impossible me direz-vous et pourtant, comme nous vous l’annoncions dans un précédent article, faites place au recrutement sans CV ! Initiative lancée en 2010 par l’Apec, il semble que cette pratique prenne un réel essor. - See more at: http://www.latribudesexperts.fr/quand-les-competences-reviennent-au-coeur-du-recrutement/#sthash.ugQkz7Rf.nmQgY4Dm.dpuf

Après la série d’analyse de CV à la Loupe, L’Express et Altaide vous propose la série « Googlé ! Recruté ? ». Cette série sera centrée sur la gestion de votre ereputation personnelle sur le web ou comment améliorer votre personal branding. Aujourd’hui un cas d’ereputation qui part bien mais…à l’arrivée un personal branding mal maitrisé qui manque d’informations : profil Linkedin pas à jour et 0 contact, Viadeo mal exploité, Twitter perso,… A retravailler donc !


Comment intéresser un Chasseur de tête, un consultant en recrutement, ou un responsable recrutement ? Comment améliorer votre CV ? Retrouvez les autres CV à la loupe dans notre rubrique Conseil recrutement aux candidats.

Publié par : Jacques Froissant

http://www.altaide.com/blog/google-recrute-n%C2%B04-une-e-reputation-mal-maitrisee/

lundi 29 juillet 2013

Orange vous offre Viadeo gratuitement 2 mois et l’APEC 3 mois !


Viadeo offre un abonnement Premium de 2 mois aux 20 Millions de clients Orange

Orange et Viadéo viennent d’annoncer un partenariat qui devrait durer. Cela profitera en premier lieu aux clients Orange fixe et mobile, Sosh et Cloud pro. En effet, ces-derniers se verront offrir un abonnement Premium Viadéo pendant 2 mois à compter du 21 Aout 2013. A l’issu de ces deux mois, ils bénéficieront d’un tarif régressif sur l’abonnement Premium dont le tarif mensuel s’élève à 14,90 euros (déjà proposé aux clients de Viadeo donc pas vraiment un avantage). Cet abonnement permet de savoir qui a visité notre profil Viadéo, de pouvoir accéder à tous les profils, de procéder à des recherches avancées, d’annoncer des événements, d’entrer en relation avec des partenaires, prospecter de nouveaux clients ou encore se constituer la meilleure équipe de collaborateurs.

Un accord de bons procédés (surtout pour Viadeo ?)

Aujourd’hui, Viadéo regroupe près de 7 millions de membres en France. D’après le communiqué de presse c’est « une opportunité qu’Orange a su saisir. En effet, grâce à cet accord, Orange alimente encore une fois sa palette de services clients en permettant aux utilisateurs de dynamiser leur carrière et de gérer leurs opportunités d’affaire via le site web ou la nouvelle application Viadéo. De son côté, Viadéo se réjouit déjà de pouvoir accéder à la gigantesque base de clients Orange. »
C’est sur, en accédant à la base des 20 Millions de clients Orange, Viadeo s’ouvre une belle opportunité de maintenir son leadership français face à un Linkedin qui le rattrape à vitesse grand V.

Un accord positionnant Viadeo comme le réseau des non cadres ?

Dan Serfaty, co-fondateur et CEO de Viadéo déclare : « Cette association avec Orange est l’occasion de démontrer toute la puissance des réseaux sociaux et ce, à un public plus large. Accéder à un grand nombre de professionnels, où qu’ils se trouvent en France, est indispensable aujourd’hui pour construire et gérer sa carrière ou développer ses affaires»
En touchant 20 Millions de français Viadeo va toucher toutes les catégories professionnelles et s’éloigne du positionnement de Linkedin très centré sur les cadres. Va t’on vers un marché scindé en deux avec d’un coté Viadeo qui serait le Pole Emploi des réseaux sociaux professionnels, et Linkedin le réseau des cadres ?

Le social recrutement va t’il tuer complètement les sites emplois ?

En tous cas le point positif, c’est que les réseaux sociaux professionnels vont encore progresser en France. Au point de faire disparaitre les sites emplois classiques ? Je ne crois pas encore, surtout si ceux-ci amènent de la vraie intelligence. L’approche par le matching de Qapa.fr est à ce titre très intéressante et semble se démontrer dans les résultats spectaculaires de Qapa (trafic équivalent à Monster et Cadremploi à peine deux ans après la création (et sans pubTV).

L’APEC offre 3 mois d’abonnement Premium !

Quelques jours avant l’annonce Orange – Viadeo, on apprenait par un communiqué Viadeo – APEC que tous les inscrits à l’APEC se verrait proposer 3 mois d’abonnements Premium. Surprenant cette différence !
Et au fait Monsieur Viadeo, si je suis inscrit à l’APEC et client Orange, j’ai le droit à 5 mois d’abonnement gratuit ? Cela manque un peu de lisibilité tout cela.

Publié par : Jacques Froissant

http://www.altaide.com/blog/orange-vous-offre-viadeo-gratuitement-2-mois-et-lapec-3-mois/http://www.altaide.com/blog/orange-vous-offre-viadeo-gratuitement-2-mois-et-lapec-3-mois/ 

jeudi 11 juillet 2013

Pôle emploi et Viadeo s’associent


Partenariat Pôle emploi et Viadeo
Le réseau social Viadeo et Pôle emploi annoncent leur partenariat afin d’aider les demandeurs d’emploi à investir les réseaux sociaux et ainsi renforcer la transparence du marché du travail.

Si Pôle emploi a lancé un appel à candidatures au début de l’année pour encourager les demandeurs d’emploi à utiliser les réseaux sociaux, c’est parce que ces derniers souffrent souvent d’un manque de visibilité et passent à côté d’offres “cachées” que l’on ne trouve que sur certains sites.

Agrégation des offres
Après des mois de tests et d’analyses, c’est finalement Viadeo qui a été retenu. L’accord prévoit deux volets. Premièrement, l’agrégation et la diffusion des offres sur le site de Pôle emploi. À l’inverse, une sélection d’annonces de Pôle emploi sera diffusée sur le réseau social, notamment dans des secteurs en pénurie de candidats comme l’hôtellerie, la restauration, la santé ou le BTP.

Un partenariat public/privé
Le second volet concerne lui la multidiffusion des CV. Un demandeur d’emploi pourra étendre son réseau en créant son profil Viadeo à partir de son CV Pôle emploi et réciproquement. “Pôle emploi dispose du savoir-faire pour identifier les populations les moins autonomes sur les outils digitaux, nous avons l’expérience d’une plateforme simple d’accès et riche d’opportunités”, explique Dan Serfaty, co-fondateur et PDG de Viadeo.
- See more at: http://www.courriercadres.com/emploi/les-entreprises-qui-recrutent/pole-emploi-et-viadeo-s-associent#sthash.By0zaCyy.dpuf

samedi 22 juin 2013

handicap, emploi et réseau professionnel



Cegid a initié en 2011 une campagne de sensibilisation au handicap vis-à-vis de ses collaborateurs en diffusant durant 6 semaines « Les Aventures d’Audrey ».
Sous la forme d’une bande-dessinée, les collaborateurs suivent, pas-à-pas, l’intégration d’Audrey, travailleuse handicapée, chez Cegid.


Il y a un festival pour ça !
Par Cécile Golfier-Salles

Ven
31 / 05
2013
Hier soir se tenait la remise des prix de la 6e édition du Festival du court métrage Handica-Apicil. Cette belle initiative qui fête cette année ses 10 ans valorise le travail de  réalisateurs professionnels ou non au travers de créations audiovisuelles (fiction, documentaire, témoignage…) portant sur le thème du handicap.
Nous avons non seulement eu la joie d’y assister mais aussi de rencontrer des hommes et des femmes qui s’investissent au quotidien dans le monde de l’image portant un regard sur le handicap, moins formaté, plus authentique.
Parmi les différents prix, celui de la communication a été remis à « J’en crois pas mes yeux », une web série qui, avouons-le, n’est pas sans nous rappeler notre quotidien de pros de la com’ et d’experts de l’emploi. Créer du lien entre valides et handicapés, briser les tabous et faire passer les messages grâce à l’humour, voilà le but des créateurs de cette série qui en est aujourd’hui à sa 3e saison.
Un bon fou rire vaut mieux qu’un long discours et démystifie des situations pour le moins courantes en entreprise.
http://www.jencroispasmesyeux.com/http://www.jencroispasmesyeux.com/

Handicap et Emploi : Montrez-vous sur le réseau Talentéo

Le réseau Talentéo a été lancé le 1er juin avec de nouveaux partenaires. La rubrique Montrez-vous fait un bond en avant.
C’est une grande première sur les réseaux sociaux. Le 1er juin, Talentéo a lancé lereseautalenteo.fr, le premier réseau social professionnel alliant handicap et emploi. Sa vocation? Faciliter la rencontre entre entreprises et candidats en situation de handicap, pour enfin présenter aux employeurs potentiels « tous les talents accessibles », comme le veut la devise de Talentéo.

jeudi 6 juin 2013

Dossier: Recrutement des non-cadres sur Internet : un phénomène en hausse ?

Assistance services élargie ses compétences en développant un atelier de recherche d'emploi et d'apprentissage d'un meilleur usage des outils du net pour une plus grande visibilité et d'efficacité, tout au long de la vie active. Ce site "assistance emploi" informe sur l'entreprise, le recrutement, la formation ect...

Dossier: Recrutement des non-cadres sur Internet : un phénomène en hausse ?

Recrutement des non-cadres sur Internet : un phénomène en hausse ?
Les nouveaux usages d’Internet seraient-ils en train de changer la donne dans le domaine du recrutement des non-cadres ? Catégorie jusqu’ici moins choyée que celle des cadres sur la Toile, la voilà au centre de l’attention. Des sites de recrutement dédiés, des sites d’annonces gratuites en plein boom, des réseaux sociaux intéressés et des applications mobiles variées... État des lieux de ce marché du recrutement en expansion.
 

Sur quels sites recrute-t-on les non-cadres ?

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le panel des sites emploi consacrés aux non-cadres est large. Entre les sites généralistes, les sites dédiés, les sites spécialisés, les sites gratuits et l’incontournable Pôle Emploi, les recruteurs ont le choix. Mais existe-t-il une stratégie pertinente dans la diffusion de ses offres ?

« Il n’existe pas de formule magique ou de recette miracle. Il y a des cas particuliers et des facteurs géographiques, générationnels et financiers à prendre en compte », expose Thierry Delorme. Pour définir la population des non-cadres, le directeur associé de l’agence ORC n’hésite pas à parler de « cible difficile à toucher et beaucoup plus protéiforme. » Le constat est là. Alors que le recrutement des cadres sur Internet transite par des carrefours d’audience relativement clairs pour la plupart des professionnels des RH, il n’en est pas de même pour celui des non-cadres. Pourtant, certains chemins tendent à se tracer.

Pôle Emploi, premier choix

On peut toujours trouver à redire mais le site de Pôle Emploi reste le site à privilégier dans la diffusion des offres d’emploi concernant les non-cadres. L’ampleur de sa diffusion est telle qu’un recruteur aurait tort de s’en passer. Avec 6,1 millions de visiteurs uniques par mois, le site de Pôle Emploi trônait une nouvelle fois à la tête du classement Médiamétrie des premiers sites emploi en France en février. « C’est la première étape. Le site est gratuit et parle à tous les demandeurs d’emploi », déclare Dan Guez, directeur associé d’Open Sourcing.

Les sites généralistes, toujours pour l’audience


Si l’on reste sur cette question de l’audience, les sites généralistes s’en sortent encore bien et demeurent connus des demandeurs d’emploi, à l’image d’un Monster, d’un RegionsJob ou d’un Keljob. « Ce sont des sites qui se sont complètement démocratisés chez 80 % de la population en France », fait remarquer Dan Guez. Tout dépend ensuite de l’ampleur que le recruteur souhaite donner à son offre et du budget dont il dispose. Un grand groupe aura tout intérêt à diffuser sur ces sites dans le cadre d’une campagne de recrutement à grande échelle. Pas sûr que la solution soit aussi pertinente dans le cas d’une PME à la recherche d’un profil ultra-localisé.

Les sites dédiés, même force
Complètement tournés vers les offres non-cadres, certains sites disposent également d’un beau volume d’audience et de bonnes références sur le marché comme Le Marché du Travail, récemment racheté par le groupe ATC, ou encore Qapa et son fameux outil de matching. Pour capter l’attention d’un marché jugé volatile, d’autres sites ont opté pour une plus grande spécialisation comme Jobtransport pour les professionnels de la logistique ou le tout récent Recrutement Restauration dédié aux professionnels de l’hôtellerie-restauration. L’enjeu pour ces plateformes étant bien entendu de se placer comme la référence sur Internet dans le secteur d’activité visé.

Les sites gratuits, nouveaux venus

C’était la surprise du classement Médiamétrie en 2012. Le Bon Coin faisait son entrée parmi les cinq sites emploi les plus visités. Il n’a pas fallu longtemps pour que d’autres lui enjoignent le pas comme VivaStreet qui développe depuis un an sa stratégie emploi, avec une rubrique dédiée (voir article suivant).
 

Les sites d’annonces gratuits : nouveau carrefour d’audience

C’est sans doute le phénomène à suivre quand on parle de recrutement non-cadre. Depuis 2012 et l’arrivée du Bon Coin dans le classement Médiamétrie des sites emploi, les RH ont pris la mesure des sites d’annonces gratuits. Retour sur ces nouveaux usages.
Cette année encore, Le Bon Coin se place parmi les sites emploi à la plus forte audience. Résultat 2013 : 1,8 million de visiteurs uniques par mois. Ce qui le classe en troisième position derrière Pôle Emploi, l’incontournable, et Indeed, le puissant agrégateur. Un succès prévisible, tant le site de petites annonces est devenu une référence en France. Aujourd’hui, avec près de 70 000 offres en circulation, Le Bon Coin a su d’abord capter les petites et moyennes entreprises, attirées par la possibilité de diffuser une offre gratuitement sur un support à forte audience.
http://exclusiverh.com/dossiers/recrutement-des-non-cadres-sur-internet-un-phenomene-en-hausse.htmhttp://exclusiverh.com/dossiers/recrutement-des-non-cadres-sur-internet-un-phenomene-en-hausse.htm
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