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lundi 14 mai 2018

UMALIS, recrute Ingénieur d’Affaires F/H ( Poste basé à Paris)


Description de l’entreprise :

  • Nom de votre enseigne : UMALIS VIP
  • Secteur d’activité de l’entreprise : INGÉNIERIE, ÉTUDES TECHNIQUES
  • Vidéo d’entreprise : https://www.youtube.com/watch?v=c61Rbt9lT-k
  • Présentation de l’entreprise : UMALIS GROUP SA (groupe d’entreprise de portage salarial et d’ingénierie informatique) créé en 2008, et réalise plus de 9 Millions d’Euros de CA en 2017. Plus de 50 Millions d’Euros de missions facturés en 8 ans. UMALIS GROUP SA est la première société de portage salarial cotée en Bourse sur EURONEXT ACCESS. Créée en décembre 2008, la société a connu 5 années de croissance de son CA à 40% l’an. Après une phase de consolidation de deux ans, la société a repris son rythme de forte croissance et amélioré ses ratios. Dans le contexte de la récente réglementation du portage salarial ( Décret du 31 décembre 2015, puis Loi El Khomri, et enfin convention collective du 1er jullet 2017), le marché se consolide par de nombreuses opération de croissance externe. C’est dans ce contexte que UMALIS VIP est née, pour offrir aux futurs salariés en portage salarial et aux entreprise cliente, une offre de service la plus complète du marché.

Description du poste :

  • Statut du poste : Cadre du secteur privé
  • Temps de travail : Temps plein
  • Fourchette de salaire : 30 – 50 K€ ( Primes très incitatives)
  • Date de prise de poste envisagée : Dès que possible
  • Descriptif du poste : Sous la direction du PDG vous aurez la responsabilité du département commercial. Vous serez l’ interlocuteur B to B de nos clients grands comptes. Plus « chasseur » qu' »éleveur », vous organisez un plan de prospection que vous faites valider par la Direction. Vous prenez des initiative et vous aimez le contact avec les prospects et clients. Vous êtes force de proposition dans les démarches de marketing opérationnel de la société de portage salarial, de portage commercial et portage entreprenarial. Vos êtes rigoureux et consciencieux dans le reporting de vos actions. Vous êtes orienté résultats et service client.
  • Description du profil : -De formation Ecole de Commerce ou master, vous possédez une expérience réussie de plus de 3 ans dans une fonction de développement commercial B to B. – Grande capacité d’écoute.
  • Expérience minimale dans le poste : Minimum 3 ans
  • Localisation du poste : 25 Rue Balzac – Paris 08 – 75
  • Géolocalisation : Oui
  • Zone de déplacement : Régionale

Modalités de candidature :

  • Personne en charge du recrutement : Monsieur Christian PERSON – PDG
  • En savoir plus : – Candidature par e-mail, puis entretien téléphonique avant RDV physique.
  • Email de réception des candidatures : pdg@umalis.fr
  • Référence interne de votre offre : Ing/Affaires
  • Process de recrutement : – Candidature par e-mail, puis entretien téléphonique avant RDV physique.

vendredi 2 mars 2018

AFD (Agence Française du Développement) recrute un Chargé d'affaires, un Chargé de mission et un Chargé de financement



La Direction Régionale AFD Amérique du Sud (Brésil, Argentine) recherche un candidat afin de pourvoir un poste de chargé de mission en charge du suivi de la stratégie et ...

Soyez un des premiers candidats



  • mercredi 27 novembre 2013

    Les prix des cabinets d'expertise-comptable

    L’usage fixe une fourchette de valorisation pour la clientèle des cabinets d’expertise-comptable de 80 % à 120 % du chiffre d’affaires (HT) - les équipements et le droit au bail ayant généralement une valeur négligeable.

    Notre étude confirme cette approche, avec néanmoins une segmentation des prix assez marquée selon la taille des cabinets et les circonstances de la cession.

    Quoique sommaire, la méthode d’évaluation par le chiffre d’affaires est incontournable du fait de nombreuses opérations de rachat par des sociétés d’expertise comptable en phase de croissance externe ; ces groupes, qui cherchent à acquérir des parts de marché, sont de facto conduits à raisonner en chiffre d’affaires, plutôt qu’en rentabilité.

    Mais l’acquéreur du cabinet et son banquier sont, eux, portés à une approche de la valeur financière du cabinet fondée sur la rentabilité et la capacité de remboursement du repreneur.

    Ce raisonnement doit aussi être privilégié dans le cadre des associations ; car là, le vendeur a tout intérêt à se préoccuper du confort financier d’un acquéreur avec qui il sera associé durant plusieurs années.

    https://www.interfimo.fr/etudes-prix-cession/cabinets-d-expertise-comptable

    vendredi 22 novembre 2013

    Big data, big challenges, big opportunity



    ÉDITO

    Quelquefois distancées par d’autres enjeux, les données reviennent
    sur le devant de la scène marketing et s’invitent dans tous les débats.
    Signe des temps, le big data représentait, en 2012, un chiffre d’affaires de 6,3 milliards de dollars au niveau mondial et devrait atteindre 48,3 milliards USD en 2018, pour un taux de croissance annuel proprement hallucinant de… 40,5 % entre 2012 et 2018*.
    Le big data renvoie à la capacité de l’entreprise à stocker des données, à les trier, à les analyser et à les intégrer dans son business model ou plus traditionnellement aux trois V qui le définissent : volume (masse de données), variété (données de natures diverses : vidéos, photos, textes, etc.) et vélocité (données à gérer en temps réel). L’enjeu est de taille car d’ici à 2020, selon les estimations
    du cabinet IDC, les entreprises auront à gérer un volume de données multiplié par 35. Le traitement
    et l’analyse devront donc être opérés en temps réel et nécessiteront des outils technologiques ultrasophistiqués et ultrapuissants.
    En première ligne aux côtés des DSI, le département marketing est aujourd’hui directement impliqué
    dans la gestion et la collecte des données clients. Un phénomène impliquant une synergie totale
    entre deux fonctions peu habituées à collaborer, et l’instauration d’un dialogue entre techniciens
    et utilisateurs.
    Cette journée vous permettra de faire le point sur les impacts du big data pour votre stratégie d’entreprise. Seront notamment abordés les enjeux d’évolution des compétences, de collecte des données, de respect de la vie privée. À travers de nombreux cas d’entreprises, cette conférence vous permettra aussi d’évaluer le formidable potentiel du big data en termes de connaissance client.
    Pour prendre du recul et faire le point sur les stratégies vous permettant de booster votre activité, Marketing Magazine, vous donne rendez-vous le 5 décembre prochain !

    Stéfanie MOGE-MASSON
    Directrice de la rédaction

    *Source : Transparency Market Research, « Big Data Market – Global Scenario, Trends, Industry Analysis, Size, Share and Forecast, 2012 – 2018 » – 21 janvier 2013)

    L’open data, un potentiel encore inexploité



    Nouveaux métiers, nouvelles compétences et profils très recherchés


    De nouvelles compétences et profils prennent de plus en plus de poids dans l’entreprise.

    Provenant des États-Unis, ceux que l’on appelle les « Data Scientist et Chief Data Officer »,

    dont les principales missions consistent à intégrer le big data au sein des entreprises et faire parler les données en les travaillant très en amont, commencent à faire leur apparition en France.

    D’après l’AFDEL (Association française des éditeurs de logiciels), 10 000 postes d’experts en données devraient être créés par le big data dans les cinq ans.

    Le point sur l’émergence de ces nouveaux métiers. Animée par
    Amelle Nebia,

    Chef de rubrique,

    MARKETING MAGAZINE


    L’open data (ouverture et accessibilité des données) constitue, pour les entreprises, une opportunité inédite de synergies et d’innovations. Mais seul 47 % des décideurs marketing et innovation déclarent s’être déjà intéressé au sujet.

    Outre de nouveaux services pour les clients finaux, l’exploitation des données publiques permet d’ouvrir des marchés jusque-là difficiles d’accès, ou d’identifier de nouveaux besoins.



    La gestion du marketing multicanal à l’heure du big data


    Les nouvelles opportunités du big data conduisent à multiplier les actions marketing, et donc à en optimiser l’efficacité et le ROI sur l’ensemble des canaux. Pour répondre à cet enjeu, les entreprises mettent en œuvre des solutions intégrées de gestion des ressources marketing (Marketing Resource Management).
    Retours d’expériences.


    jeudi 21 novembre 2013

    Avocats : la vidéo, votre outil digital business

     
    Maud BandonPosté par
     

    Avocats: Stratégie et Vidéo

    La vidéo apporte de l’efficacité dans la transmission de la parole de l’avocat et s’inscrit dans une dynamique de développement de clientèle, comme en témoignent des professionnels du droit dans la première partie de notre enquête.

    Quelle place est accordée à ce support de communication dans la stratégie digitale des cabinets et à quoi celle-ci est différenciante?

    La vidéo : un support stratégique…
    Ainsi, de nombreux cabinets ont bien compris l’importance de ce support de visibilité; et chacun d’y attribuer la place qu’ils souhaitent suivant la stratégie digitale adoptée.
    “Capstan est très présent sur les réseaux sociaux. Entre le développement d’une image affective via Facebook, la diffusion des actualités du cabinet sur LinkedIn et la transmission de l’information du droit Social sur Twitter, Capstan s’adresse à l’ensemble de ses publics via ces différents canaux. La Capstan TV est le trait d’union parfait entre ces trois média, qui lui donne une image, alliant le haut niveau d’expertise et la proximité que permet ce media.”
    Maître Pascal Lagoutte, associé fondateur de Capstan Avocats
    « Une place importante. Et si j’avais le temps, je ne ferais plus d’article écrit, mais uniquement des vidéos » -
    Maître Nicolas Sauvage
    «Je ne m’en sers que pour la bonne gestion du site, rien sur mon cabinet ou les locaux. Mes nouveaux associés participeront à des tournages sur des sujets de droit équin. »
    Maître Patrick de Chessé
    La vidéo permet de transmettre une information rigoureuse, précise et maîtrisée car travaillée en amont. Très opérationnelles, les vidéos peuvent être également diffusées facilement sur différents supports : lors de vos réunion, dans vos salle d’attente….
    « C’est du travail de préparation mais le résultat plait d’autant qu’il est possible de contrôler les clics de vision ! »
    Maître Patrick de Chessé
    …. au service de votre e-réputation
    Ainsi, ce support de communication permet d’établir la confiance et la crédibilité : vous rassurez les clients et les prospects en leur donnant le sentiment de connaître l’avocat avant même de l’avoir rencontrer. Vous pouvez ainsi présenter vos associés, vos collaborateurs, vos locaux et ainsi humaniser votre message.
    « Avec la vidéo pas de mensonges. Les photos de sites internet de cabinet d’avocats sont souvent ultra anciennes(…) On tomber de haut quand on croise le « vrai » avocat. Avec la vidéo, c’est clair tout de suite. (…) Et l’empathie d’un avocat transparait sur une vidéo, pas sur une photographie. Les entreprises qui cherchent un avocat dans mon domaine, sont rassurées de me voir en vidéo. »
    Maître Nicolas Sauvage.
    « La place de ce media grandit chaque jour, nous l’utilisons pour rester en contact avec tous nos clients notamment ceux qui font des réseaux sociaux un moyen de communication primordial (…)pour donner envie à nos clients par quelques mots simples sur une question complexe de prolonger l’intérêt qu’a pu susciter cette question par un contact personnalisé avec un avocat. »
    Maître Pascal Lagoutte, associé fondateur de Capstan Avocats
    « Elle concourre à créer mon identité digitale car avec un montage fait par des professionnels Equi TV, je circularise ma photo comme sur le site ou sur la page de la chronique de ChevalMag où j’écris tous les mois. »
    Maître Patrick de Chessé
    ….. pour mobiliser vos équipes en interne
    « (…) Il s’est avéré extrêmement efficace et très enrichissant pour l’ensemble des intervenants du cabinet. Sans en avoir l’air, l’exercice permet à chaque interviewé de prendre du recul sur un sujet qu’il traite au quotidien, de bien hiérarchiser les informations et surtout de développer l’art de la concision. (…)Sans compter l’engouement de nos propres collaborateurs qui nous encouragent eux aussi à poursuivre nos exploits d’acteurs. Ces vidéos se montrent aussi un vrai outil de promotion interne.
    Pascal Lagoutte, associé fondateur de Capstan Avocats
    ….. afin de se démarquer !
    La vidéo concourre donc à dynamiser et à moderniser votre visibilité et reste un facteur de différenciation.
    « Cela nous permet de nous différencier tout en nous enrichissant les uns les autres et surtout, pour ne rien vous cacher, le vrai plaisir réside dans les commentaires positifs de nos clients et de notre entourage que nous recevons à chaque diffusion. »
    Pascal Lagoutte, associé fondateur de Capstan Avocats
    Avocats : qu’attendez-vous pour utiliser la vidéo?
    Maud Bandon
    mbandon@alliancejuris-media.com
    Lire aussi:Avocats : la vidéo, votre outil digital business
    - See more at: http://www.alliancejuris-media.com/2013/11/la-video-quelle-strategie-pour-les-avocats/#sthash.eB1HobxF.dpuf

    mercredi 30 octobre 2013

    Comment faire des salariés les ambassadeurs de votre marque employeur ?

    Par Olivier Fécherolle, Chief Strategy & Development Officer au sein de Viadeo

    mercredi 30 octobre 2013
    L’importance de la marque employeur n’est plus à démontrer dans un environnement où le « social » tient une place de plus en plus grande. Ces nouveaux usages numériques obligent l’entreprise à aborder autrement la question de sa représentation par ses salariés. Les ressources humaines seront au cœur d’un processus de mutation qui, s’il est mené à bien, permettra de créer des ambassadeurs qualifiés. Gérer sa marque employeur, c’est aussi construire une relation de confiance avec ses salariés pour servir le développement de l’ensemble de la structure.

    Le paradoxe persistant d’un chômage élevé et d’une pénurie de compétences sur des talents de plus en plus diversifiés impose une réflexion sur la nécessité pour une entreprise de gérer son attractivité. Sans traiter le vaste sujet de la marque employeur, intéressons-nous aux rapports entre la DRH et les salariés, ambassadeurs nés de cette marque employeur.

    Il existe encore, ici ou là, la tentation d’une communication statutaire et verticale ; « à l’ancienne ». On inventerait une communauté d’ambassadeurs salariés, comme on investirait un nouveau média sur lequel on déclinerait un message adapté aux réseaux sociaux professionnels et à la généralisation de leur usage sur terminal mobile.

    La proposition est séduisante, mais irréaliste. Le numérique modifie le rapport des individus entre eux, mais aussi celui qu’ils entretiennent avec les structures : ils sont libres de leurs commentaires, se construisent leurs propres réseaux de contacts, et sont sollicités pour décrire au quotidien leur réalité professionnelle. Les salariés ne sont pas des canaux, mais des « pure players ». Dès lors, les communautés ne se créent pas ex nihilo, et les ambassadeurs auront besoin d’adhérer à des valeurs. La communication statutaire ne fonctionne plus. A mon sens, il faut changer en profondeur la communication vers les salariés et opérer une forme de « lâcher prise » dans sa communication interne sur les sujets de marque employeur.

    La mutation des salariés doit être précédée par celle des ressources humaines
    Les ressources humaines sont le pivot central de la transformation des salariés. De leur acuité sur les projets, métiers et projections business d’une entreprise, dépendra demain le fait que ce développement soit mené à bien par les personnes les plus qualifiées pour le faire.

    De leur capacité à diffuser l’information, à faire de la pédagogie sur la transparence et la véracité des discours, dépend la crédibilité de la marque employeur. Car les messages sont vérifiables par tous ceux qui ont une présence numérique. Les ressources humaines ont le pouvoir, et peut-être le devoir, de s’adresser aux équipes dirigeantes et d’encadrement et de leur rappeler que la marque employeur doit s’articuler avec la marque personnelle du salarié. En conséquence, leur entrelacement doit avoir un intérêt mutuel. En effet, les salariés reflètent en ligne la nature de leur rapport à leur employeur ; s’ils se sentent satisfaits dans leur vie quotidienne, ils diffuseront un message bienveillant. A l’inverse, s’ils ont le sentiment que la communication interne, par exemple, peine à les informer des changements en passe de se produire, ils répercuteront leurs incertitudes.

    On ne naît pas ambassadeur, on le devient
    Les marques employeurs qui sauront émerger seront celles qui auront donné la preuve de leur volonté d’interagir avec les salariés et de provoquer l’engagement.

    La voie autoritaire n’ayant qu’une portée limitée dans le temps, la marque employeur doit innover pour fournir des services variés et cohérents à ses salariés. Dans le même temps, elle doit créer des possibilités de collaborations génératrices d’implication plus « émotionnelles ».

    Adresser à ses salariés par courrier électronique un lien pour télécharger LA charte ou un texte type issu d’une ancienne présentation corporate n’est plus à la hauteur des nouveaux enjeux. En revanche, proposer, mettre à disposition, des éléments graphiques aisément utilisables pour accompagner la communication que feront ces salariés sur les médias sociaux est plus en phase avec ces nouveaux enjeux et le signe d’une volonté « non dirigiste » qui sera plus efficace. Dans le même ordre d’idée, quelques éléments concis de description de l’activité de l’entreprise, des chiffres clefs et des mises en perspective marché pourront motiver les salariés à s’engager.

    Par service, s’entend également la valorisation de leur marque individuelle. Déterminer les bons speakers et les mettre en scène via des contributions fait partie des nouvelles missions impératives des ressources humaines. Valoriser les leaders d’opinion, les spécialistes intervenant dans un groupe corporate, les veilleurs, les membres d’un comité de rédaction... en relayant leurs contributions sur différents types de supports : page entreprise sur les réseaux sociaux, blogs, billets internes, témoignages métiers, préparation de retour d’expérience permettra d’aider le salarié à développer sa fierté d’enseigne, en se sentant accompagné dans cette démarche. L’investissement éditorial d’un salarié correspond encore trop souvent à un « à côté ». Or celui dont l’implication est valorisée formellement est non seulement un excellent ambassadeur, mais aussi un moteur qui peut entraîner d’autres salariés dans son sillon.

    La marque employeur doit s’inscrire dans une logique développement durable
    De nombreux salariés ignorent encore si une charte entreprise existe pour les réseaux sociaux professionnels. La coordination de la communication interne, externe et corporate, la capacité à mettre en place des modèles collaboratifs non contraignants mais incitatifs, à géométrie variable, la volonté de fournir contenus et projets qualitatifs ne sont pas encore suffisamment pensées comme des tactiques servant une stratégie à long terme. Le salarié devra pourtant trouver son compte dans la relation avec la marque employeur. Les projets responsabilité sociétale des entreprises font partie de ces points de convergence entre eux.

    C’est par le biais d’un « soft power employeur », non coercitif mais convaincant, que les salariés intégreront une nouvelle culture. Ils deviendront ainsi les plus efficaces des ambassadeurs.

    http://www.infodsi.com/articles/144364/faire-salaries-ambassadeurs-marque-employeur-olivier-fecherolle-chief-strategy-development-officer-sein-viadeo.html 

    lundi 7 octobre 2013

    Le FMI propose une mutualisation des dettes publiques dans la Zone euro

    La Quotidienne d'Agora

    Eberhardt Unger

    Les problèmes du surendettement public dans les pays industrialisés ont atteint une nouvelle dimension des deux côtés de l'Atlantique. Aux Etats-Unis, les discussions concernant le nouveau budget fédéral et le plafond de la dette, s'intensifient. Dans la Zone euro, la volonté de consolidation budgétaire diminue dans plusieurs pays et le FMI appelle même à une mutualisation des dettes publiques afin que celles-ci soient garanties par l'ensemble des pays de la Zone.

    Selon le FMI, cette intégration budgétaire accrue pourrait combler les lacunes de l'architecture du système actuel. L'union bancaire renforcée par une union budgétaire permettrait de réduire l'incidence et la gravité des crises futures en renforçant la discipline budgétaire et éviterait les phases de très forte récession.

    Cette intégration devra passer par des mécanismes d'application rigoureux. Toujours selon le FMI, la discipline budgétaire, conjuguée à un système de péréquation entre les différents pays est une meilleure stratégie que celle consistant à soutenir tel ou tel pays membre lorsque les crises ont déjà éclaté.

    Ces propositions de réforme ne trouveront que peu d'écho dans les pays membres de la Zone euro. Pas un Etat, qu'il soit fortement ou faiblement endetté, n'est prêt à réduire sa souveraineté budgétaire. Et évidemment, ce sont les pays dont la dette publique se situe au-dessous de la moyenne de la Zone euro (95,5% du PIB en 2013) qui sont le plus hostiles à ces propositions.

    Les appels à une union transfrontalière ont de dangereux effets secondaires. Ils réduisent encore plus une volonté de réformer déjà en baisse dans de nombreux pays. Les coupes budgétaires et/ou les hausses d'impôts pour réduire les déficits budgétaires deviennent de plus en plus difficiles et rencontrent opposition grandissante.

    La possibilité, même minime, qu'une partie d'une dette nationale soit prise en charge par la communauté va sonner le glas de la volonté de réforme des gouvernements. Si bien que les pays qui peuvent aider les autres vont devenir de plus en plus réticents à le faire...

    Contrairement à la Zone euro, les Etats-Unis n'ont qu'eux pour prendre en charge leur déficit budgétaire. C'est la Fed qui a, très généreusement, financé le déficit public via les QE. Toutefois le résultat est le même. La volonté de réformer a fortement diminué et, une fois de plus le plafond de la dette doit être relevé. Rien ne change et la dette publique continue d'augmenter plus vite que le PIB.

    Conclusion : la dette publique a atteint une telle ampleur qu'elle est hors de contrôle dans de nombreux pays. A l'issue d'un tel processus, il ne reste que deux solutions : l'abandon de créance ou l'inflation.

    mardi 1 octobre 2013

    Le plus grand incubateur du monde bientôt à Paris

    crédits : ©Wilmotte & Associés SA 
    Le plus grand incubateur au service du développement de l’écosystème numérique
    Ce nouvel incubateur qui représente le plus grand incubateur au monde accueillera 1 000 start-ups innovantes, tous secteurs confondus. Ces start-ups bénéficieront d’un espace de travail unique, sur plus de 30 000 mpour émerger et transformer leurs projets innovants en véritables entreprises de rang mondial.
    Ce projet inédit qui représente une 1ère mondiale a pour objectif de permettre le développement d’une nouvelle génération d’entreprises qui seront les succès de demain et dont la France a besoin pour rayonner à l’international et renforcer sa compétitivité.
    En favorisant les partages d’expériences et de connaissance, ce nouvel incubateur vise à encourager le développement d’un écosystème numérique.  Le numérique est un véritable accélérateur de croissance et un facteur clef de la compétitivité française.
    Ce nouveau projet va donc permettre à la France de séduire les nouveaux talents, les créateurs et les investisseurs, et ainsi de rayonner dans le paysage numérique international.

    http://1000startupsparis.fr/

    jeudi 26 septembre 2013

    Premier MOOC français sur l'entrepreneuriat

     

    Les Moocs (Massive Open Courses) organisés pas les plus grandes université américaines, sont des cours en vidéo sur internet en accès libre

    Jean paul Debeuret
    Il est gratuit, ouvert à toute personne intéressée par l’entrepreneuriat (français et étrangers de langue francophone) : les porteurs de projets de création, reprise, franchise, les enseignants, les étudiants.

    Passeport pour Entreprendre se déroule pendant 4 semaines du 7 octobre au 2 novembre 2013.

    http://www.passeportpourentreprendre.com/


    LE CALENDRIER

    05 septembre au 09 octobre : Inscriptions
    07 au 13 octobre 2013 : Formations gratuites
    10 au 20 octobre 2013 : Validation des connaissances et remise du « Passeport pour Entreprendre »
    21 octobre au 02 novembre 2013 : Accompagnement par les experts
    Passeport pour Entreprendre combine quatre facteurs clés de réussite des entrepreneurs : la formation (www.tvdesentrepreneurs.com), l'échange entre les participants, le conseil (les experts) et les solutions (les fournisseurs).

    Les participants inscrits à Passeport pour Entreprendre ont accès gratuitement à :
    - 110 formations enregistrées en vidéo et diffusées en streaming sur Tv des Entrepreneurs.
    - Des possibilités d’échanges avec les autres participants et les experts sur des forums dédiés et sur des réseaux sociaux.
    - Des exercices de validation de connaissances réservés aux participants ayant étudié plus de huit heures de formation sur www.tvdesentrepreneurs.com.
    Les participants s’étant formés pendant un minimum de huit heures et ayant validé leurs connaissances avec succès recevront le Passeport pour Entreprendre.
    Les lauréats de Passeport pour Entreprendre, résidant en France, bénéficient d’avantages donnés par : des experts (une heure de conseil gratuite) et des fournisseurs (remises tarifaires).

    Présentation de la TV des Entrepreneurs

      Présentation de la TV des Entrepreneurs: 1000 formations en ligne sur toute la vie de l’entreprise enregistrées en vidéo par 300 experts praticiens de l’entreprise, accessibles sur accessibles sur ordinateur, tablette et téléphone portable...

    lundi 16 septembre 2013

    Le contrat d’apporteur d’affaires

    Martin Le Pechon
    Par Martin Le Pechon
    Avocat à la Cour de Paris et spécialiste du droit des réseaux

    Définition juridique de l’apporteur d’affaires

    Au sens premier, l’apporteur d’affaires est un entremetteur. Aussi appelé courtier, il recherche et trouve pour un donneur d’ordre des clients ou partenaires potentiels.
    Sa mission : mettre en relation des personnes désireuses de réaliser entre elles une ou plusieurs opérations commerciales.
    Obligations : il n’a pas d’autre obligation que de tout faire pour que la mise en relation se réalise. Il ne peut donc pas être tenu pour responsable de la non-conclusion de l’affaire entre les parties.
    Rémunération : souvent un pourcentage du montant de l’affaire nouée entre les parties.



    Apporteur d’affaires ou agent commercial ?

    Souvent confondus, l’agent commercial et l’apporteur d’affaires ont des missions bien distinctes.

    Pour optimiser votre stratégie commerciale, choisissez celui qui répondra le mieux à vos attentes.
    Apporteur d’affaires
    (ou « courtier »)
    Agent commercial
    Rôle 
    > Mise en relation des parties contractantes.
    Rôle 
    > Agit au nom et pour le compte d’une des parties. Il démarche, représente et fait la promotion de l’entreprise (utilisation de ses nom et logo).
    Rémunération 
    > À la commission, généralement proportionnelle au montant de la transaction entre les parties. 
    Rémunération
    > Idem. Cependant, en plus de ses commissions, l’agent perçoit, à la fin de son contrat et dès lors qu’il n’a pas commis de faute, une indemnité généralement égale à deux années de commissions.
    Cas conseillé 
    > Pour des missions courtes, délimitées dans le temps ou dans leur objet.
    Cas conseillé 
    > Lorsque le contrat a vocation à durer dans le temps et lorsque, au-delà de la seule recherche de client, le donneur d’ordre souhaite être représenté.

    Puis-je faire appel à un apporteur d’affaires dans tous les domaines d’activité ?

    Il existe des règles spécifiques régissant certaines activités, notamment en matières immobilière, boursière, de ventes de céréales ou de vins et d’assurance. L’entreprise mandante devra donc s’adapter à ces dispositions particulières. 
    Pour ces activités, il convient avant toute création de contrat de consulter un avocat.


    Le contrat d’apporteur d’affaires est-il forcément à durée déterminée ?

    Non, à vous de choisir en fonction de vos attentes. Si vous souhaitez bénéficier régulièrement des services de votre apporteur d’affaires, préférez un contrat cadre à durée indéterminée.
    Cependant, on observe en pratique que beaucoup de contrats d’apport d’affaires sont conclus à durée déterminée.
    Dans le cas d’une durée déterminée, le contrat pourra comporter une clause de reconduction tacite :
    « Si le présent contrat n’est pas dénoncé, par l’une ou l’autre des parties, au moins trois mois avant l’arrivée de son terme, il sera reconduit automatiquement pour une durée identique. »

    Rédaction d’un contrat d’apporteur d’affaires : réponses d’expert

    Le contrat peut-il être librement rédigé par les parties ?

    Tout à fait, il convient pour autant d’être particulièrement vigilant sur la formulation des clauses du contrat. Le texte doit en effet être précis et ne doit pas laisser de place à l’interprétation et aux incertitudes. Il est par conséquent préférable de consulter un professionnel du droit lors de la phase de rédaction du contrat.
    Les clauses indispensables en détail


    lundi 2 septembre 2013

    F I E S : Découvrez des entrepreneurs qui changent le monde

    Franchise européenne de l'innovation environnementale, sociale et économique: Découvrez des entrepreneurs qui changent le monde: Des exemples d'entrepreneurs dans l'économie sociale et solidaire qui prouvent que ce secteur représente l'avenir et est une alternative à la morosité ambiante.

    Des hommes et des femmes qui n'ont pas comme seul souci, le profit mais intègrent aussi la dimension sociale.
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