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mardi 30 avril 2013

Adoptez la «positive attitude» en toutes circonstances

Etre heureux, cela se décide! Il ne tient qu'à vous de voir le verre à moitié plein. L'optimisme, s'il ne guérit pas tous les maux, présente de nombreux avantages, autant pour vous que pour votre entourage. Voici quelques conseils pour rester positif quoi qu'il arrive sans se laisser parasiter par les idées négatives.

Daniel Duclos l'affirme: il est à la fois un patron et un homme heureux. Son secret? La pratique de la pensée positive. A 49 ans, il dirige Accès Industrie, une entreprise de 450 salariés au chiffre d'affaires de 63 millions d'euros en 2011. Pour lui, être optimiste est plus qu'un état d'esprit: c'est devenu un art de vivre qui lui permet de tirer le meilleur parti de toutes les situations, même des pires. Aussi, lorsque son entreprise frôle le dépôt de bilan en 2002, c'est, selon lui, grâce à la pensée positive qu'il réussit à surmonter les épreuves sans sombrer dans la dépression. De son expérience personnelle, il tire deux ouvrages, dont Bonheur et réussite par la pensée positive (lire l'encadré en p. 90). Selon lui, si l'environnement a certes un impact direct sur le mental, « le bonheur ne peut venir que de l'intérieur». En ressortent des enseignements très inspirés de la philosophie bouddhiste. D'ailleurs, selon le Dalaï Lama, « le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous. » « En tant que dirigeant, vous ne pouvez pas vous permettre d'être stressé, déprimé ou de mauvaise humeur. Vous vous devez de rester serein et de prendre du recul. Sinon, tout fout le camp autour de vous », assure Daniel Duclos. Pour Philippe Gabilliet, auteur de L'Eloge de l'optimisme (lire l'encadré en p. 90) et professeur associé en comportement organisationnel à l'ESCP Europe, l'optimisme n'est d'ailleurs pas seulement une nécessité pour l'individu, il représente un véritable enjeu de société. « C'est une posture d'action performante et contagieuse. Tout est interconnecté. Votre attitude va conditionner en partie l'énergie et l'enthousiasme des autres. Et s'il est parfois difficile de gérer ses émotions, il est en revanche possible de maîtriser son comportement. » Pour autant, être optimiste ne signifie pas non plus se voiler la face et refuser d'affronter les problèmes. « Etre optimiste, c'est d'abord optimiser ses ressources », selon Philippe Gabilliet.

Point de salut dans le perfectionnisme

© © CREATIVE SOUL - FOTOLIA.COM

Pour cela, commencez d'abord par vous débarrasser d'un certain nombre de mauvaises habitudes. Votre premier commandement: renoncez à la perfection. Cela commence par accepter de lâcher prise dans certaines situations. « Ne vous accrochez pas à un idéal inatteignable. L'important est de trouver une solution qui, même imparfaite, fonctionne bien », conseille Philippe Gabilliet. Dans les situations d'urgence et d'intense pression, la pire des réactions est de vous laisser envahir par la peur, le stress ou la colère. Daniel Duclos a, quant à lui, élaboré une méthodologie reposant sur trois piliers fondamentaux: l'étude, la méditation et l'autosuggestion. L'étude sert dans un premier temps à prendre conscience des mécanismes de vos réactions négatives. « Ces points de réflexion ont pour but de comprendre où nous voulons nous rendre et les raisons qui nous y poussent », écrit dans son livre le dirigeant. La méditation permet, quant à elle, de se recentrer sur le moment présent. « Vous ne pouvez pas agir sur le passé et vous n'avez pas de prise sur le futur. Réapprenez à vivre dans l'instant », conseille le chef d'entreprise. Enfin, l'autosuggestion consciente consiste à se répéter des phrases positives plusieurs fois par jour telles que «tout va bien» ou «la situation s'améliore». « Rester positif en toutes circonstances, ça s'apprend et se cultive au quotidien! », martèle Daniel Duclos. L'objectif: appréhender les événements autrement et se débarrasser progressivement des idées négatives qui polluent l'esprit et sont sources de souffrances.

ZOOM
Tout n'est pas merveilleux au pays de la pensée positive

La pensée positive n'est pas positive pour tout le monde. Selon une étude de Joanne Wood, professeur de psychologie de l'université de Waterloo (Canada), publiée par Psychological Science en juillet 2009, la pensée positive est un pouvoir pour les uns et un péril pour d'autres. Elle pourrait présenter des dangers pour les personnes fragiles, qui ont une faible estime d'elles-mêmes: les messages positifs d'autosuggestion s'opposent à la vision négative qu'elles ont d'elles, renforçant ainsi leur mauvaise estime personnelle... Dans son livre La Vie du bon côté: comment l'implacable promotion de la pensée positive a affaibli l'Amérique, paru en 2009, l'écrivaine américaine Barbara Ehrenreich raconte, pour sa part, comment le personnel hospitalier a tenté de la convaincre de la chance que représentait son cancer pour elle. Pression et illusions, tels sont deux des écueils du système. Lauteur estime que le culte de la pensée positive aux Etats-Unis aurait favorisé la politique de l'autruche et serait l'une des causes de l'augmentation de la dette publique américaine et de l'émergence de la crise des subprimes.

Daniel Duclos, dirigeant et auteur de Bonheur et réussite par la pensée positive

«Vous ne pouvez pas agir sur le passé et n'avez pas de prise sur le futur. Réapprenez à vivre dans l'instant. »

Il existe toujours une solution

Dans le même esprit, Philippe Gabilliet avance un certain nombre de réflexes à adopter au quotidien. « Par exemple, commencez par vous focaliser sur les points forts de votre entreprise et de vos équipes. Dans les situations complexes, ne renoncez jamais à chercher une solution. Soit elle existe et il faut l'appliquer, soit elle existait et il faut la rétablir, soit il vous reste à l'inventer », maintient-il. D'après lui, un optimiste est quelqu'un qui transforme les imprévus en opportunités. « C'est se dire qu'au-delà de toutes les incertitudes du futur, vous n'êtes jamais à l'abri d'une bonne surprise », souligne Philippe Gabilliet.

Pour prendre du recul, essayez de vous dégager d'une vision autocentrée des événements. Comme l'écrit Pierre Corneille, « dans le bonheur d'autrui, je cherche mon bonheur ». Ainsi, travailler et vivre dans le respect et le souci des émotions des autres permet d'éviter un certain nombre de contrariétés. Restez donc à l'écoute de votre entourage et de vos collaborateurs. Selon Philippe Gabilliet, « chacun devrait commencer sa journée en se posant une question le matin devant la glace: ça va être comment de travailler avec moi aujourd'hui?»

1 613 100 emplois à pouvoir en France en 2013

1 613 100 embauches, création de postes ou remplacements sont prévues en.2013 par Pôle Emploi (1)
Il y a du positif à trouver dans toute situation. Les nouvelles générations et les vétérans du net avec les réseaux sociaux numériques et le web 2.0 ont construit de nouvelles méthodes devenues matures et des outils performants pour réussir les projets complexes.
Au delà de ces statistiques officiels, il y a une proportion grandissante de postes qui n'apparaissent plus dans les statistiques d'intentions ni dans la presse car l'objectif est solutionné rapidement et efficacement à travers les réseaux sociaux professionnels numérisés des décideurs, des professionnels des ressources humaines et de ceux du recrutement. Une nouvelle forme de réactivité, d'efficacité et une économie de projet qui montrent la rentabilité de ces nouvelles méthodes.
Ce thème sera au coeur de mon intervention mini conférence, invité par la performante association Dynamique Cadres à Paris.

http://humainaucoeurdunumerique.blogspot.fr/2013/04/1-613-100-emplois-pouvoir-en-france-en.html    

lundi 29 avril 2013

Dénonciation d'un complot mondial contre nous tous ?

Etienne Chouard explique LES BANQUES & LA DETTE

Le One People’s Public Trust ou OPPT * est constitué d’un groupe d’avocats très compétents qui, dans le cadre du système judiciaire, a décidé quelques années en arrière, de se dresser contre le système afin de corriger les injustices, dont ils étaient témoins. Pour commencer leur investigation, ils décidèrent, de dénoncer les malversations faites par les banques avec l’argent public. Cet argent est employé par les banques à des fins privées et s’avère souvent en relations directes avec la majorité de tous les crimes : Crime contre l’humanité, contre la souveraineté du citoyen, crimes judiciaires et commerciaux, etc. et qui inclue sans limites, la violation de la paix, les outrages, la servitude involontaire, l’escroquerie, la coercition, l’utilisation de la force, le vol, le découragement, les actes et pratiques trompeuses, etc.

Ces courageux avocats ont décidé de renverser le système avec ses propres règles. Ils ont mené une série d’investigations très complexes où ils ont repris le Public Trust, crée dans le cadre de la constitution des Etats Unis. Ils ont inscrit tous les habitants de la planète et ont suivi une procédure judiciaire où les défenseurs sont tous les débiteurs et l’accusation, non seulement le système bancaire mais aussi toutes les multinationales abusant de ces mêmes citoyens...Une fois les dossiers constitués, ils leurs ont demandé de contester l’accusation, ce qu’ils n’ont pas fait, bien sûr.
http://assistanceservices.blogspot.com

samedi 27 avril 2013

Vocation city

La gestion de vos recrutements simplifiée
Vocation City est une plateforme de gestion des recrutements 100 % Web.
Elle s'adresse aux DRH et aux cabinets qui souhaitent optimiser la gestion de leurs recrutements grâce une solution simple, complète et économique.

Les logiciels de recrutement sont conçus pour des boites du CAC 40. ils sont donc d'une complexité et d'un prix élevé. Vocation city permet une gestion simplifiée des cv. Ce logiciel dispose de cabinets de recrutement, d'entreprises : de la start-up qui recrute 50 salariés par an au sociétés atteignant 100 embauches à l'année. Mais aussi, les entreprises examinent 5000 candidatures. Malgré, un service 100% web, l'accompagnement de leur clientèle est assuré.
http://www.vocationcity.com/fr/

Vocation City dans Le Parisien


Vocation City, notre plateforme de recrutement Web, est dans le Parisien du 26 janvier 2012.
Lisez l'article intitulé "Un logiciel pas cher qui aide au recrutement" sur www.leparisien.fr.

vendredi 26 avril 2013

Assistance services élargie ses compétences en développant un atelier de recherche d'emploi et d'apprentissage d'un meilleur usage des outils du net pour une plus grande visibilité et d'efficacité, tout au long de la vie active. Ce site "assistance emploi" informe sur l'entreprise, le recrutement, la formation ect...

Nouveau record historique du chômage

 

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Le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de 1,2% au mois de mars, soit 36.900 chômeurs supplémentaires. Avec 3.224.600 personnes sans emploi, le triste record de janvier 1997 est battu.

Malgré les perspectives pessimistes, le gouvernement mise toujours sur une inversion de la courbe d'ici la fin de l'année. Un engagement qui sera tenu, selon François Hollande, grâce aux premiers effets du dispositif de soutien à l'emploi : les emplois d'avenir, le contrat de génération, le crédit d'impôt compétitivité et emploi (CICE), ainsi que la loi sur la sécurisation de l'emploi.

http://www.itele.fr/economie/video/nouveau-record-historique-du-chomage


Le tourisme, un secteur qui recrute


Alors que les chiffres du chômage, mauvais en perspective, pour le mois de mars seront annoncés, ce jeudi vers 18h, le secteur du tourisme et de l'hôtellerie connaît un véritable manque de main-d'oeuvre. Il a du mal à trouver des candidats pour des postes à pourvoir. Reportage dans un hôtel de Bordeaux (Gironde).
http://www.itele.fr/economie/video/le-tourisme-un-secteur-qui-recrute 

jeudi 25 avril 2013

Recrutement dans les PME : ce qu'il faut savoir

Les PME françaises ont embauché 52 500 cadres en 2011, soit 29% des embauches de cadres dans secteur privé, indique le panorama de l'emploi cadre publié par l'Apec mercredi 12 décembre. Une tendance portée par les entreprises de moins de 100 salariés.
Par Tiphaine Thuillier pour LEntreprise.com, publié le 
Dans le secteur du commerce, un cadre en poste sur deux partant à la retraite a quitté une PME en 2011 selon l'Apec. Et quatre sur dix dans l'industrie. Avec des cadres plus âgés que dans le reste du marché, les PME sont donc confrontées aux problématiques de renouvellement de leurs effectifs et la nécessité d'adapter leur politique RH.
Dans le secteur du commerce, un cadre en poste sur deux partant à la retraite a quitté une PME en 2011 selon l'Apec. Et quatre sur dix dans l'industrie. Avec des cadres plus âgés que dans le reste du marché, les PME sont donc confrontées aux problématiques de renouvellement de leurs effectifs et la nécessité d'adapter leur politique RH.
istock
En 2011, un recrutement de cadre sur trois a eu lieu dans une PME. C'est ce que révèle le baromètre de l'emploi cadre publié par l'Apec, mercredi 12 décembre.*
Les petites et moyennes entreprises seront des acteurs essentiels du marché du travail pour les cadres.
Avec 52 500 embauches en 2011, les PME ont effectué 30% des recrutements de cadres.
DR
Les PME connaissent un taux d'encadrement de 19% soit un point de plus que la moyenne des autres entreprises du secteur privé. Dans les très petites structures, on compte en général un seul cadre : le dirigeant.

1/ Des départs à la retraite préoccupants

Si plus de 30% des cadres du secteur privé travaillent dans une PME, ces dernières n'ont contribué qu'à 21% des créations de nouveaux postes. Le marché des PME n'a donc pas été d'une fluidité idéale pour les cadres avec des flux d'entrées et de sorties limités.
Un point doit être relevé : le poids des départs à la retraite. En effet, les PME ont contribué à 38% des départs annuels. Dans le secteur du commerce, un cadre en poste sur deux partant à la retraite a quitté une PME. Et quatre sur dux dans l'industrie. Avec des cadres plus âgés que dans le reste du marché, les PME sont donc confrontées aux problématiques de renouvellement de leurs effectifs et la nécessité d'adapter leur politique RH.
Apec

2/ Les profils expérimentés plebiscités

Les profils de cadres recrutés dans les PME concernent surtout des gens expérimentés (55% des embauches). Et seulement 16% de jeunes diplômés. Le manque de moyens de formation dans les petites structures les poussent à choisir des profils opérationnels rapidement. Par ailleurs, certains candidats fraîchement diplomés peuvent hésiter à postuler dans ces structures réduites pour cause de manque de perspectives de carrière ou d'avantages.

3/ L'industrie en tête

Les fonctions commerciales et spécialistes de R&D ont été les plus sélectionnées. La moitié des recrutements opérés dans les PME ont concerné des fonctions de direction générale. Un profil qui rejoint celui des cadres confirmés.
69% des recrutements ont eu lieu dans le secteur des services. Viennent ensuite l'industrie (16%), le commerce (10%) et la construction.
Apec

4/ Les entreprises de moins de 100 salariés plus créatrices d'emplois

Le marché de l'emploi cadre des entreprises de 50 à 99 salariés se porte bien. Le ratio recrutements/départs de cadres y est le plus élevé que dans le reste du marché. Ce sont elles qui ont créé le plus d'emplois en volume pendant l'année 2011.
Les entreprises de 10 à 49 salariés ont concentré de nombreux mouvements mais avec plus de sorties de cadres que d'entrées.
Quant aux micro-entreprises, elles ont connu des mouvements de cadres moins importants en raison notamment du faible taux d'encadrement de la structure. Mais elles ont recruté plus souvent que les autres de jeunes cadres, forts de quelques années d'expérience cependant : 36% des embauches contre 29% en moyenne.

En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/recrutement/recrutement-dans-les-pme-ce-qu-il-faut-savoir_37325.html?xtor=EPR-11-%5bENT_Zapping%5d-20121212--101937933%40222904077-20121212064430#qm6AwtEUQtHyB0R1.99

mercredi 24 avril 2013

Assistance services élargie ses compétences en développant un atelier de recherche d'emploi et d'apprentissage d'un meilleur usage des outils du net pour une plus grande visibilité et d'efficacité, tout au long de la vie active. Ce site "assistance emploi" informe sur l'entreprise, le recrutement, la formation ect...

 

Téléphone et convivialité

 

vous pouvez nouer une vraie relation par téléphone, mais vous devez vous assurer que la relation s'établit. Vous ne pouvez pas le vérifier en observant le langage corporel de votre interlocuteur puisque vous ne le voyez pas. Vos seuls indices sur ses pensées et ses impressions passent par ses paroles et le ton de sa voix. De son côté, ce sont aussi les seuls éléments dont il dispose sur vous. Vous devez donc veillez à votre intonation et à votre expression.

 

Rappelez-vous que lorsque vous êtes anxieux, votre voix peut traduire votre tension et se communiquer à votre interlocuteur. Si la personne que vous appelez est importance pour vous, prenez le temps d'adopter une attitude positive avant de prendre le téléphone.
 
"convaincre en 2 minutes." Nicolas Boothman - Poche Marabout


mardi 23 avril 2013

L'entretien d'embauche

L'entretien est une présentation dont vous êtes les sujets. Comme dans toute présentation, il vous faut une amorce et un point final, une ouverture et une fin. Envisageons votre amorce.

 

Faites vos devoirs de chercheur d'emploi : apprenez tout ce que vous pouvez sur la société (et si possible sur la personne chargée du recrutement). Procurez-vous toute la littérature disponible sur l'entreprise, ainsi que son rapport annuel. Introduisez le nom de la société dans un moteur de recherche et voyez ce que vous obtenez. Faites des recherches dans les archives accessibles par internet ou par le biais des services d'information (même si cela vous coûte un peu d'argent, cela en vaut la peine). Appelez les gens que vous connaissez qui font des affaires avec cette entreprise ou, mieux, y travaillent. Si rien ne marche, parlez au réceptionniste à votre arrivée sur les lieux.

 

Le vieil adage  « L'information c'est le pouvoir » me rend dingue parce qu'il est faux. L'information est un pouvoir potentiel mais n'a aucune valeur tant que vous ne l'utilisez pas. Servez-vous des informations que vous avez réunies pour élaborer [votre profil] c'est-à-dire qui montre comment votre expérience, vos compétences et vos points forts font de vous la personne idéale pour le poste à pourvoir. Il ne s'agit pas de jouer la comédie : [votre profil] doit s'appuyer sur des éléments réels et vous devez diffuser votre message avec émotion.

 

Le suivi

 Assurez toujours, toujours, toujours le suivi de votre entreprise car cela peut vous permettre d'obtenir le poste que vous convoitez. Manifestez-vous dans les vingt-quatre heures qui suivent l'entretien et cherchez à obtenir trente secondes du temps de votre recruteur potentiel. Vous pouvez adresser une lettre ou un courriel ou encore laisser un message téléphonique. Je vous conseille de laisser un message vocal après la fermeture des bureaux ; cela montre que vous ne voulez pas interrompre une journée de travail, mais que vous êtes sincèrement intéressé. Le ton de votre voix et les phrases que vous prononcez sont cruciaux. Adoptez une attitude positive avant de téléphoner et passez votre appel debout. Soyez enthousiate et courtois. Remerciez pour l'entretien, montrez de l'intérêt pour le poste concerné et gardez à l'esprit votre message], tandis que vous soulignez certains des aspects positifs de l'entretien. Si vous préférez écrire, assurez-vous que votre syntaxe et votre orthographe soient parfaits.

 Quelque soit le format que vous retenez, adaptez votre message, entraînez-vous et limitez, autant que possible, à trente secondes cet instrument de markéting personnel.

  
convaincre en 2 minutes. Nicolas Boothman - Poche Marabout

dimanche 21 avril 2013

Atelier d'orientation

Assistance services élargie ses compétences en développant un atelier de recherche d'emploi et d'apprentissage d'un meilleur usage des outils du net pour une plus grande visibilité et d'efficacité, tout au long de la vie active. Ce site "assistance emploi" informe sur l'entreprise, le recrutement, la formation ect...


Au préalable de la formation, le candidat apprend à gérer l’échec, l’incertitude et le doute, lot de l’épreuve et de l’apprentissage. Il saura ainsi récolter, les fruits de ses efforts en continuant son chemin sans se laisser influencer par ses échecs, car l'échec l'oblige à se remettre en question et parfait son expérience. Il apprend que la faiblesse est parfois une force parce qu'il envisage, à ce moment là, les multiples façons de la combler donc il va de découverte en découverte de lui-même et des possibilités de son environnement. C'est pourquoi, cette force est plus grande puisqu'elle est pédagogique et résiliente.

Faire le ménage est primordiale !
Cette préparation à l'initiation et à l'engagement, lui évitera plus tard d'aller de détour en détour, sans balise et sans guide. Le conseil, la réflexion personnelle sont une lumière à ses pieds. Il ne faut pas oublier qu’un sujet désorienté est vulnérable, donc au préalable de l’engagement, il examine ses objectifs ; par exemple, après enquête sur le secteur convoité. Puis, il définie clairement ses compétences pour une mise à niveau, si nécessaire. C'est le plus sûr moyen de préparer son parcours professionnel et contourner les embûches.
Distillons, malgré tout, l’esprit d’aventure en ces temps moroses !
Une manière de marcher vers le dépassement de soi en randonnant sur des sentiers inconnus. Car la vie a besoin de nouveauté et de perspective.

vendredi 19 avril 2013

Identifiez la nature de votre métier

Contrairement à ce que l'on vous a appris, l'argent ne constitue pas le meilleur moyen de motiver quelqu'un. Bien entendu, nous avons tous des besoins que l'argent peut combler (manger, se loger, se déplacer et assurer sa sécurité), mais ce qui pousse la plupart d'entre nous à nous dépasser au bureau est de croire à l'importance de notre travail. Effectuer un travail qui semble important – pour notre société, notre équipe ou notre communauté – donne vie à nos valeurs et nos croyances. Cela nous valorise et nous donne une impression d'utilité et de but.
Les sociétés intelligentes prennent en considération les valeurs de leurs employés et font en sorte de donner un sens à leur travail. Elles le font, notamment, en établissant un plan de mission. Certaines organisations vont jusqu'à décliner ces plans de mission pour aboutir à ce que j'appelle la grande idée de la société. Une grande idée peut, lorsqu'elle est adroitement mise en forme, expliquer de façon simple et mémorable les raisons pour lesquelles l'organisation existe et quels sont les bienfaits. Elle peut ainsi personnaliser l'entreprise. La mesure de son efficacité est tangible lorsque chaque employé est capable de s'y référer et de déterminer s'il y répond ou pas.
Par exemple, la grande idée des Hôtels Marriott est la suivante : « Nous donnons l'impression aux gens qui sont loin de chez eux, de passer un séjour chez des amis. » C'est génial et facile à mémoriser. Tous les employés de la société depuis le directeur des relations publiques jusqu'au réceptionniste, en passant par la femme de chambre ou le chef pâtissier en cuisine peuvent se demander : « Suis-je en train de le faire ou pas ? » Si la réponse est positive, la société va bien. Dans le cas contraire, il est temps d'opérer quelques changements. Voici donc l'effet magique d'une grande idée bien formulée : elle intéresse chaque employé à la mission de son entreprise, en lui donnant le pouvoir de suivre et perpétrer la mission de cette entreprise. Charles Revlon l'a magnifiquement formulé : « Dans les ateliers de production Revlon, nous fabriquons des cosmétiques, mais dans les boutiques, nous vendons de l'espoir. »


mercredi 17 avril 2013

Emploi : pourquoi ça coince ?


112 088 postes non pourvus au troisième trimestre 2012: c'est ce que révèle le nouveau baromètre " Tendance emploi compétence " (TEC), dévoilé ce mardi 16 avril par le Medef qui entend s'attaquer aux dysfonctionnements du marché du travail. Avec à la clef, quelques pistes pour y remédier.

Par Anne Bariet pour LEntreprise.com, publié le
4% des entreprises sondées par le Medef ont abandonné leurs recrutements faute de candidats au dernier trimestre 2012. Un paradoxe évident alors que le taux de chômage du pays caracole à plus de 10 % de la population active et que les annonces de plans sociaux se succèdent semaine après semaine. C'est pourquoi, l'organisation de Laurence Parisot, à quelques semaines de la fin de son dernier mandat, cherche à expliquer les difficultés rencontrées par les entreprises.
Outil d'intérêt général. Outre les intentions d'embauche, le baromètre vise, en effet, à décrypter les dysfonctionnements du marché du travail en expliquant pour chaque métier (191 fiches y figureront à terme), les raisons des difficultés rencontrées par les employeurs ainsi que leurs techniques pour y remédier. Parmi les solutions, le recours à une formation pour les nouveaux salariés, à un contrat d'alternance, à un contrat court, voire à une réévaluation des salaires... " Il s'agit d'un outil d'intérêt général et d'une puissance considérable ", s'est ainsi félicitée Laurence Parisot.
Absence de savoir-être. L'urgence est réelle : 7% des entreprises sondées avouent avoir rencontré des difficultés pour boucler leurs recrutements. Pis : 4% des entreprises ont abandonné leurs recherches, faute de candidats au dernier trimestre 2012. Comment expliquer cette inadéquation entre les postes à pourvoir et le profil des candidats ? 22% des recruteurs mettent en avant l'absence de savoir-faire technique. Mais le manque de formation n'explique pas tout. L'absence de savoir-être est citée dans 17% des cas !
Mouton à cinq pattes. L'enquête passe, en revanche, sous silence les raisons qui tiennent au comportement des employeurs eux-mêmes qui peinent à trouver la perle rare. Car pour être tout à fait exhaustif, ce baromètre devrait également mentionner le manque d'anticipation, la volonté que le nouvel embauché soit opérationnel " dès demain " ou encore la recherche du clone de l'ancien salarié... Soit autant de critères chers aux recruteurs. De même, la qualité des offres proposées (horaires atypiques, salaires planchers, contrats très partiels...) est un paramètre que les demandeurs d'emploi prennent en compte avant de se positionner.
Reste que toutes les entreprises n'ont pas ce type de problème. 28% des entreprises sondées ont embauché, fin 2012, 250 000 personnes et 17% avaient l'intention de le faire au premier trimestre 2013.
Bonus-malus. L'enquête Tec doit être réactualisée régulièrement par le Medef. Son rythme, trimestriel ou semestriel, n'est pas encore arrêté. En attendant, Laurence Parisot espère que cet outil sera utilisé à la fois dans le cadre de la conférence sociale de juin mais aussi lors de la négociation sur l'assurance-chômage, qui débutera en septembre 2013. Et avance ses pions. " Nous souhaitons que les entreprises qui forment le plus de salariés payent moins de cotisations. " Un nouveau bonus-malus à négocier avec les organisations syndicales.
(1) Ses résultats sont extrapolés des 24 000 réponses reçues parmi les 39 566 entreprises sondées du secteur privé.
lentreprise.com

lundi 15 avril 2013

E-mail : les sept erreurs qui ne pardonnent pas

Familiarités, abréviations, fautes... Mal formulé, votre mail écrit à la hâte risque, au mieux, d'agacer, au pire, d'être jeté à la corbeille. Respectez les règles élémentaires de courtoisie, rappelle Aline Nishimata, experte en e-communication (1). Explication de texte.

Par Marie-Madeleine Sève pour LEntreprise.com, publié le
"Pour l'objet du mail, il n'y a rien de pire que le flou, rappelle Aline Nishimata, experte en e-communication. Sous l'avalanche des courriels, votre interlocuteur n'ouvrira pas le vôtre. Sauf s'il sait de quoi il retourne. Ayez en tête cette idée : mon mail doit être prioritaire. Alors soignez ce champ-là en étant informatif et bref."
"Pour l'objet du mail, il n'y a rien de pire que le flou, rappelle Aline Nishimata, experte en e-communication. Sous l'avalanche des courriels, votre interlocuteur n'ouvrira pas le vôtre. Sauf s'il sait de quoi il retourne. Ayez en tête cette idée : mon mail doit être prioritaire. Alors soignez ce champ-là en étant informatif et bref."
istockL'écrit électronique est traître. Sous ses faux airs de convivialité, il offre une liberté illusoire. D'un simple clic on répond instantanément, mais en s'affranchissant des usages très codifiés de la correspondance papier. Or, ces usages sont les mêmes. Et, oui, on peut répondre en temps réel avec peu de mots en respectant ces règles. Un e-mail bien rédigé pour votre supérieur ou vos collaborateurs mettra en valeur votre image, car il est le reflet de votre compétence. Voici 7 erreurs fréquentes à rayer de vos pratiques.

1. Objet : RE : RE : RE : RE : RE : " commande ", ou " informations ", " news "

Pour l'objet du mail, il n'y a rien de pire que le flou. Sous l'avalanche des courriels, votre interlocuteur n'ouvrira pas le vôtre. Sauf s'il sait de quoi il retourne. Ayez en tête cette idée : mon mail doit être prioritaire. Alors soignez ce champ-là en étant informatif et bref. Attention toutefois aux phrases de 3 kms, illisibles. Cela peut irriter. Et si vous êtes en e-conversation avec un client ou un fournisseur, évitez les allers-retours avec une kyrielle de RE : qui brouille la vue. Un seul " retour " est acceptable.
>>> Ecrire : " CR de la réunion du 20/01 ", ou " Prochaine AG sur le projet Z ", " Re : Devis (V2) ".

2. " Salut ! ", " Re-moi " ou " --- "

Il est difficile de choisir la juste formulation pour saluer. Ne rien écrire est discourtois. Il s'agit de bien mesurer la distance avec son destinataire. Deux options : 1/ Vous ne le connaissez pas. Ecrivez " Cher Monsieur ", c'est toujours très apprécié ; 2/ Vous le connaissez. Usez du " Bonjour ", ou appelez-le par son prénom, suivi d'une virgule.
Evitez le " Salut ! " ou " Coucou, c'est moi ! ", trop familiers dans l'entreprise. Ou encore le " Re-moi ", signalant le deuxième mail du jour, au risque de vous dévaloriser. Au contraire, si vous avez déjà conversé, ne saluez plus. On trouvera normal que vous souhaitiez approfondir le sujet.
>>> Ecrire : " Bonjour Madame (ou Madame D), " Monsieur le Directeur ", " Cher Monsieur ", " Cher Professeur Y ", " Anne, "

3. " Je prendrai les sanctions qui s'imposent ", " Les effets néfastes de votre retard "...

Ici les mots sont durs, accusateurs ! Ils font voler en éclat les barrières sociales. Gardez-vous d'exprimer votre colère à l'écrit. C'est violent et ça laisse des traces auprès du partenaire ou du collaborateur. Il est capital de mettre son " cyber-stylo " à distance de ses émotions. Restez neutre, nuancez votre vocabulaire. Un style moins direct portera tout autant.
>>> Ecrire : " Votre retard nous porte préjudice ", " Je suis déçu(e) par votre attitude "

4. Rdv, Ns, Vs, qqch, cad, cdt

Voici un joli style SMS qui ne fait pas sérieux. C'est vilain, écrit à la va-vite, sans considération pour l'autre. Parce que vous l'obligez à faire le travail à votre place. A lui de décrypter et de compléter. Trop désinvolte ! Dans la même veine bannissez le point d'exclamation, d'un registre trop affectif.
>>> Ecrire : Vous, nous, cordialement, etc.

5. " Je vous (serais) gré ". " Pallier (aux) difficultés "

Les fautes de français (comme les fautes d'orthographe) sont d'un effet déplorable. Elles laissent penser que vous ne maîtrisez pas la langue de Molière. Cela vous décrédibilisera auprès des équipes ou d'un chef. On a droit à la coquille, mais à une seule pas davantage. Alors, n'hésitez pas à prendre un dictionnaire, vérifier les règles de grammaire, ou vous faire relire par un tiers de confiance.
>>> Ecrire : " Je vous saurais gré ", " pallier les difficultés ". " Je me permets de ", " j'envoie " (sans s), " Je vous joins (sans " ts ") " Nous avons été reçu(e)s "

6. " Car en effet ", " puis ensuite ", " mais toutefois "

Même remarque que précédemment. Ces pléonasmes horripilent. Dans les deux cas vous risquez d'être la risée du département ou de l'entreprise, parce que vos collaborateurs vont transférer ces mails à leurs collègues : " t'as vu, il est nul ! ". Et ils se propageront rapidement.
>>> Ecrire : car OU en effet, mais OU cependant, etc.

7. " Merci de votre réponse. ", " A votre disposition. "

Pour les personnes de l'extérieur, client ou partenaire (voire recruteur), ce raccourci est malheureux. Il laisse une impression de supériorité, donne un ton à la limite de l'impératif. Obligez-vous à rédiger une phrase entière : sujet, verbe, complément. Mieux vaut agir de même à l'égard de votre hiérarchie. Cela sera considéré comme une marque de respect.
>>> Ecrire : " Je vous remercie de l'attention que vous porterez à... ", " Je me tiens à ta disposition pour... ".
(1) Auteur de Savoir rédiger vos e-mails professionnels, Gualino (Lextenso Editions).

http://lentreprise.lexpress.fr/etre-efficace/e-mail-les-sept-erreurs-qui-ne-pardonnent-pas_38374.html?xtor=EPR-11-%5bENT_Zapping%5d-20130204--101937933%40229879286-20130204064820

vendredi 12 avril 2013

ACTIVITE ET CHOMAGE DANS LES ZONES URBAINES SENSIBLES FRANCILIENNES

Les zones urbaines sensibles se différencient toutes les unes des autres, par leur dimension mais également par leur lieu d’implantation. Elles présentent néanmoins des caractéristiques communes, plus ou moins prononcées.
Afin de répondre aux objectifs de la loi du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine, en particulier dans le domaine de l’emploi, ces caractéristiques doivent être appréciées très précisément.
L’amélioration du système statistique permet aujourd’hui un tel diagnostic. Plusieurs sources administratives sont en effet disponibles à l’échelle infra-communale des zones urbaines sensibles, selon une périodicité et des champs qui peuvent certes être différents des autres découpages administratifs, sans en interdire toutefois des comparaisons.
 

jeudi 11 avril 2013

Lesquels de vos salariés sont les plus grandes sources de risque pour votre entreprise ?

...Les secteurs les plus concernés par les risques comportementaux, tous niveaux de postes confondus, sont les télécoms et les biens de consommation, alors que le secteur public et le commerce sont classés dans le bas du tableau. Les secteurs qui suivent plutôt une tendance à la baisse incluent ceux de la banque, de l’alimentation, des boissons et du tabac. Il faut cependant noter qu’il peut y avoir d’importantes différences au sein d’un même secteur, comme l’illustre la diversité des performances dans la Banque.
"Des études similaires à celle de SHL se sont intéressées aux facteurs législatifs, sociaux, économiques, politiques et financiers du risque, mais jusqu’à présent la prévision des comportements individuels dans un environnement de travail, qui peuvent créer du risque, n’avait encore jamais été abordée", ajoute Eugene Burke. "Les événements récents, plus particulièrement dans le secteur bancaire, ont mis en lumière les conséquences négatives liées à une mauvaise gestion du risque. Cependant, le risque a également des côtés positifs. Il suffit de trouver le bon équilibre entre appétence et résilience face au risque, afin de gagner de nouveaux marchés, saisir des opportunités, gagner en avantage compétitif, tout en sachant prévenir toute crise."
L’étude sur les risques de SHL peut être utilisée par les leaders, les ressources humaines et les managers du risque des entreprises pour construire des programmes de gestion des talents adaptés et devenir les contributeurs efficaces des stratégies de gestion des risques. L’étude peut également servir aux cadres intermédiaires pour comprendre les profils à risque dans leurs rapports directs et s’assurer que ces risques liés aux personnes sont minimisés et gérés.

ANNEXES

Définition du risque comportemental par SHL
SHL a utilisé 8 composantes comportementales qui sont liées à la résilience et à l’appétence pour le risque.

L’appétence pour le risque est mesurée par des facteurs tels que la prise d’initiatives, la confiance dans ses prises de décision et la persévérance à atteindre un but.
La résilience face au risque inclut des composantes telles que la qualité de décision (les décisions sont-elles plus ou moins susceptibles d’être efficaces ?), la qualité de la communication (ces décisions sont-elles plus ou moins susceptibles d’être communiquées efficacement ?), le fait de mener à terme ces décisions et le fait de déterminer des normes comportementales qu’une entreprise peut attendre de ses salariés. Au niveau terrain, des composantes complémentaires sont le respect, la qualité, l’engagement et le travail en équipe.
SHL - Composantes des risques comportementaux
Source: SHL – Composantes des risques comportementaux
http://www.shl.com/fr/news-item/press_releases/lesquels-de-vos-salaries-sont-les-plus-grandes-sources-de-risque/

Rebondir après un échec

Faire ses premiers pas dans de nouvelles fonctions, après une expérience précédente mitigée, c'est repartir du bon pied. Fort de son expérience, Bruno Bonnell ex-Infogrames, à la tête de Robopolis, est convaincu que l'entreprise doit s'humaniser.

« Echouer, c'est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente », des propos signés Henry Ford. L'illustre constructeur automobile américain s'y est repris à plusieurs fois avant de mettre au point le mode de production qui a bouleversé l'industrie. Steve Jobs, lui-même, a été évincé d'Apple en 1985, avant de revenir au premier plan. Si, aux Etats-Unis, l'échec est valorisé, en France « c'est limite, si la personne ne porte pas la poisse. Le parcours des chefs d'entreprise est toujours un peu romancé », confie un spécialiste du storytelling. Créé dans la Silicon Valley, le concept de conférence du "ratage" ou Failcon n'est arrivé en France qu'en 2011. Une réunion où les dirigeants viennent partager leur expérience d'un échec et racontent comment ils l'ont transformé en succès. « Qui mieux qu'un entrepreneur pour ré-entreprendre ! », interpelle de son côté l'association Second souffle, elle aide les patrons à rebondir après un échec.


 

Patron pissenlit ou jardinier ?
« L'entreprise du XXIe siècle se doit d'être humaniste et réaliste. Ce n'est pas l'autogestion, ni la remise en question de l'offre et de la demande, mais les nouvelles technologies ont contribué à la désenclaver. Elle n'est plus une boîte noire entre les produits et les consommateurs. » Ainsi parle Bruno Bonnell, directeur de Robopolis. Ecarté en 2007 d'Infogrames, qu'il avait fondé en 1983, il prône un management plus transparent. Même s'il considère n'avoir guère changé : « Sur les fondamentaux, je suis toujours le même. Le jeune homme que j'étais croyait que le chef d'entreprise justifiait son rôle par l'hyperactivité. A 50 ans, je pense qu'il remplit son rôle s'il délègue et donne à ses collaborateurs l'opportunité de s'exprimer. Il y a les patrons pissenlits - autour desquels rien ne pousse- et les jardiniers. » Selon lui, c'est l'entreprise qui doit retrouver un nouveau souffle. Bruno Bonnell est convaincu que l'on n'a pas encore mesuré l'impact des récentes innovations : « Depuis la révolution industrielle, l'entreprise fonctionne sur la notion de valeur économique indépendamment du corps social. En réalité, elle entretient une relation complexe avec son environnement. » A l'heure où, en un clic, un appel d'offre est lancé à l'international, l'entrepreneur a une responsabilité sociétale : « A l'intérieur, il assure le maintient de la cohésion sociale, mais il a aussi une vision géopolitique et il analyse les transformations du monde. »
Le patron enthousiaste de Robopolis juge essentiel d'échanger avec ses pairs pour ne pas se scléroser : « S'isoler, c'est perdre sa compétitivité. Et les profits, conclut-il, ne sont pas un gâteau à partager entre actionnaires, mais le prix de la liberté. »

Bruno Bonnell a été lauréat des éditions 2011 et 2012 du Fast 50 Grand Rhône-Alpes, organisé par Deloitte.

http://100premiers-jours.lesechos.fr/

mardi 9 avril 2013

Comment sortir gagnant d'un entretien d'embauche ? Les dix erreurs à éviter

S’appuyant sur son expérience, Experteer nous livre dix conseils qui ne pourront que vous aider dans les étapes de votre recrutement. A vous de nous dire ce que vous en pensez en tant que candidat, ou recruteur :

1 - Se présenter à l’entretien avec un faible niveau de préparation

Il est primordial, avant un entretien, de collecter les informations de base sur le futur employeur mais aussi d’être capable de définir le poste et le cœur de métier ainsi que les différentes compétences attendues pour le poste en question. L’idéal étant de réfléchir à l’avance aux questions qui pourraient être posées et aux réponses à y apporter.

2 - Se permettre de critiquer ouvertement son ancien employeur

Il est naturel qu’un nouvel employeur ne souhaite en aucun cas être le témoin des expériences malheureuses du candidat. Aussi, il est important de veiller à ne pas critiquer son ancien employeur durant l’entretien d’embauche. Cela donne une impression négative du candidat. Il est plutôt conseillé de souligner les expériences positives de son ancienne expérience professionnelle tout en mettant en avant ses limites.

3 - Arriver en retard

La ponctualité peut sembler secondaire et pourtant elle est primordiale. Elle constitue en effet la première impression que le candidat donnera à l’employeur. Il est recommandé de venir à l’avance pour se familiariser avec l’environnement de l’entreprise et pour se concentrer dans le calme.

4 - Avoir trop ou peu de retenue

Lors d’un entretien, il importe d’être enthousiaste et ouvert tout en restant clair et précis. Il est judicieux d’adopter un comportement entrant dans la logique du poste proposé et en adéquation avec la culture de l’entreprise. En effet, une personne trop imbue d’elle-même pourra difficilement être pressentie pour gérer une équipe tout comme une personne trop timide pour une fonction de leadership.

5 - Manifester peu d’intérêt pour le poste ou l’entreprise

Il est conseillé de ne pas être trop détaché pendant l’entretien et de faire preuve d’initiatives. Les entreprises recherchent avant tout de vraies personnalités qui s’identifient à leur travail et à la culture de l’entreprise. En posant des questions, vous montrez à votre futur employeur que vous vous sentez déjà impliqué par les responsabilités qui vous seront confiées.

6 - Ne pas être honnête

Mentir lors d’un entretien peut être fatal si l’information s’avère fausse une fois que vous êtes employé. En effet, mettre en avant des qualités ou des compétences que vous ne possédez pas vous décrédibilisera si vos lacunes sont remarquées. Ensuite, si vous n’êtes pas honnête sur votre niveau de motivation vous risquez très vite de vous retrouver à exercer une fonction qui ne vous convient ou ne vous satisfait pas.

7 - Argumenter de manière désordonnée

Réfléchissez avant de répondre aux questions. Prenez quelques secondes pour vous demander quel est le sens de la question et quelle est la réponse attendue. Parlez de manière articulée, claire et précise et surtout répondez à la question. En effet, des réponses approximatives, non structurées ou hasardeuses ne jouent jamais en faveur du candidat qui risque d’être perçu par son interlocuteur comme quelqu’un de désorganisé.

8 - Adopter un langage corporel inapproprié

Selon Paul Watzlawick «On ne peut pas ne pas communiquer». En d’autres termes, la communication dite non-verbale est primordiale au même titre que la communication verbale. Le langage du corps est crucial lors d’un entretien d’embauche. Ainsi, une poignée de main franche inspire plutôt de la détermination alors qu’un contact visuel fuyant inspire le manque de confiance en soi.

9 - Manquer de spontanéité

La spontanéité est synonyme de vivacité d’esprit et laisse à l’interlocuteur une impression durable. C’est pourquoi il est conseillé de prévoir une marge de manœuvre pour des réponses spontanées lors de la préparation de l’entretien d’embauche. Cependant spontanéité ne veut pas dire précipitation. Une bonne communication passe aussi par une écoute attentive de l’autre.

10 - Porter le mauvais parfum

Cela peut sembler étonnant mais d’après une étude réalisée par des scientifiques de l’Université de Mannheim, les parfums joueraient un rôle sur la perception d’un candidat par un employeur lors d’un entretien d’embauche. Il ressort de l’étude qu’à un même niveau de réponse, les sujets qui portaient un parfum floral avaient significativement moins de chances d’obtenir l’emploi que ceux qui portaient un parfum plus amer.

Pour mémoire, sur Experteer, plus de 17 500 offres de haut niveau dans le secteur de l’information et des nouvelles technologies sont disponibles. Avec un credo : "dynamiser votre carrière et augmenter vos prétentions salariales".
  selon Experteer
http://www.developpez.com/actu/52692/Comment-sortir-gagnant-d-un-entretien-d-embauche-Les-dix-erreurs-a-eviter-selon-Experteer/

lundi 8 avril 2013

Même frustrés, 25% des salariés n'ont jamais changé d'employeur

Souvent insatisfaits de leur travail, les salariés français sont aussi les plus stressés au monde. Des tensions dues, révèle une étude de l'Institut Montaigne, au fait de ne pas pouvoir changer d'environnement professionnel lorsque les relations se dégradent. Solution préconisée : les encourager à la "mobilité choisie", à ne pas passer par la rupture conventionnelle, mais à partir volontairement.

 
Le constat est net : à conditions de travail équivalentes, les salariés français s'avèrent davantage stressés que leurs homologues européens.
Plus de 70 % des salariés stressés
L'étude de l'Institut Montaigne révèle que "plus de 70 % des salariés en France estiment que le stress au travail a des conséquences sur leur santé". Cela vaut pour tous les salariés, quel que soit leur âge, qu'ils soient employés en CDI ou en CDD. "Cette situation montre le paradoxe d'un modèle français en apparence favorable aux salariés", souligne l'étude. En effet, les salariés français travaillent moins fréquemment le week-end et les cadences de travail sont moins élevées que celles de leurs homologues européens. Surtout, "un peu plus de 25 % des salariés français n'ont jamais changé d'employeur alors que cette proportion est de moins de 10 % au Royaume-Uni ou dans les pays scandinaves. Il en découle un fort sentiment d'appartenance à l'entreprise, et ce quelle que soit la taille de l'entreprise".
 
 
 
Rôle clé des mobilités professionnelles
Une explication possible de ce stress résulte du fait que "dans un certain nombre de cas minoritaires, mais non négligeables en proportion, les salariés estiment subir des pressions afin qu'ils partent". La mobilité est donc subie plutôt que choisie. "Le fait de ne pas pouvoir changer d'environnement professionnel lorsque les relations se dégradent conduit mécaniquement à du stress et des tensions". Pour y remédier, l'étude propose d'"inciter les salariés à ne pas passer par la rupture conventionnelle, mais à partir volontairement, en finançant dans ce cas partiellement les éventuelles pertes de salaires subies lors d'une nouvelle carrière professionnelle". Et "quand ce dispositif de complément salarial n'est pas utilisé (...), améliorer le système de la rupture conventionnelle à travers un système de bonus-malus pour les employeurs qui y ont recours".
Une formation professionnelle rénovée
Mais, "il est aussi souhaitable d'accompagner les salariés grâce à d'autres leviers", souligne l'étude. "Cela ne peut se faire qu'avec une préparation en amont de cette mobilité. Faute de formation adaptée, les salariés ne peuvent pas prétendre à d'autres emplois et se retrouvent devoir subir leur environnement". L'étude propose de "diminuer le montant de cotisation obligatoire quand les entreprises forment un plus grand nombre de salariés, notamment ceux qui sont les plus susceptibles de passer par la case chômage (intérimaires, précaires, moins qualifiés). Mais aussi, d'offrir aux salariés davantage de formations portables d'un secteur à l'autre et certifiante. Par "portables", on entend les formations pouvant être valorisées d'un secteur à l'autre, par leur contenu (connaissances dites générales telles que l'anglais, la gestion-comptabilité, le management...) et par leur certification et leur caractère diplômant".
Des droits pour les salariés basés sur l'ancienneté dans la carrière
Dans le système actuel, les droits acquis par les salariés résultent de leur ancienneté dans l'emploi. L'étude suggère de mettre en place pour les salariés "des droits acquis à l'ancienneté dans la carrière". Les salariés devraient pouvoir, "à partir d'un certain temps de carrière professionnelle", plus facilement prendre un congé formation ou de reconversion. Et "en matière d'assurance chômage, les droits seraient ouverts non pas à partir des salaires des 12 derniers mois comme dans le cas de l'allocation de retour à l'emploi, mais sur les cotisations versées depuis le début de la carrière, comptabilisées en même temps que les droits à la retraite".
 

mercredi 3 avril 2013

Entretien d'embauche

Entretien d’embauche : n’attendez pas sans rien faire que le recruteur revienne vers vous !


Valérie Sablé
Valérie Sablé, Associate Director de Robert Half.
Sortir d’un entretien d’embauche avec le sentiment d’avoir convaincu est réconfortant. Mais attendre sans rien faire que la proposition d’emploi survienne est utopique ! Il est primordial de manifester à nouveau son enthousiasme pour le poste et l’entreprise, et de remercier pour cet entretien en adressant un message oral ou écrit. Valérie Sablé, Associate Director de Robert Half, prodigue quelques conseils pour le rédiger.

Une enquête que nous avons menée aux États-Unis en juin dernier a révélé que 91 % des Directeurs/ Responsables des Ressources Humaines apprécient de recevoir un message ‘post-entretien’ de la part des candidats qu’ils ont reçus. Il est également dans l’intérêt des candidats en France de rester en contact avec le recruteur qu’ils ont rencontré !

Choisir le bon moyen
Évitez les SMS et optez plutôt pour un e-mail. Notre étude outre-Atlantique avait sur ce point souligné de nettes préférences chez les chargés du recrutement américains : l’e-mail arrive en première place (87 %), suivi de l’appel téléphonique (81 %), de la note manuscrite (38 %) et du message via les réseaux sociaux (27 %). L’envoi d’un texto est acceptable pour seulement 10 % de ces sondés.

Ne pas trop attendre
Le temps presse dans ce type de situation. Reprenez contact sous 24 à 48 heures maximum après votre entretien : ainsi, le détail de vos échanges est encore frais dans l’esprit de la personne en charge du recrutement.

Faire court
Limitez votre message à un ou deux paragraphes personnalisés et précis de deux ou trois phrases. Dans le cas d’un appel téléphonique, bornez-vous vous à quelques minutes. Rappelez vos meilleurs atouts, mentionnez ce qui vous plaît le plus dans le poste comme dans l’entreprise que vous ciblez - si possible des points nouveaux identifiés durant l’entretien - et remerciez votre interlocuteur pour le temps qu’il vous a accordé.

“Jouer collectif”‘ si besoin
Assurez le suivi avec votre contact principal par e-mail ou par téléphone, mais pensez aussi à adresser un e-mail à chacune des personnes que vous avez rencontrées pour les remercier. Dans cette optique, anticipez en demandant à chacun sa carte de visite au moment des présentations. Attention à bien personnaliser chaque message : il devra être unique et pourra faire référence à un point spécifique de la conversation qui a retenu votre attention.

Traquer les éventuelles fautes et soigner son écriture
Ne laissez pas des fautes anéantir vos chances !
En outre, aussi étonnant que cela puisse paraître, de nombreux employeurs apprécient encore aujourd’hui de recevoir une note de remerciement manuscrite et y voient une marque d’attention personnelle. Ce, à condition que l’on puisse vous déchiffrer… Si votre écriture est difficilement lisible, songez à imprimer votre message sur une carte de correspondance avant de la signer. Et surtout ne lésinez pas sur la qualité, en n’hésitant pas à investir dans des cartes de correspondance à usage professionnel, donc le plus sobre possible.
Enfin, attention à ne pas trop en faire non plus… Car vos efforts pour manifester votre intérêt et votre sens de l’initiative pourraient se révéler contre-productifs en cas d’excès. Pas de harcèlement. Une reprise de contact unique est le bon usage avant de se faire discret le temps de la prise de décision par le manager qui vous a rencontré(e). La stratégie finale à adopter à l’issue de votre message de remerciement ? Restez courtois… et patient.
http://www.courriercadres.com/emploi/conseil-en-recrutement-et-recherche-d-emploi/entretien-d-embauche-n-attendez-pas-sans-rien     
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