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lundi 26 février 2018

Deloitte recrute


Le processus de recrutement

Découvrez les étapes de recrutement pour un candidat chez Deloitte par métier.

https://www.deloitterecrute.fr/nous-rejoindre/etapes-cles-du-recrutement/

A vos CV, cette start-up recrute 530 intérimaires sur la Côte d'Azur




Après Paris, Lyon, Lille et Orléans, l'entreprise d'intérim Staffmatch s'implante à Nice.
Cette nouvelle agence, qui intègre le digital dans son mode de fonctionnement, recrute 530 intérimaires sur la Côte d'Azur.
L'entreprise est historiquement positionnée sur le marché de l'hôtellerie-restauration mais elle s'est diversifiée dans des secteurs tels que le tertiaire, l'évènementiel, le retail, la grande distribution, la logistique, les transports ou encore l'e-commerce.
Les profils des candidats recherchés
Les profils des candidats recherchés sont variés: "actifs en quête de plus de flexibilité dans leur emploi, retraités souhaitant pratiquer une activité, jeunes diplômés recherchant à étendre leur réseau professionnel, étudiants souhaitant financer leurs études et gagner en compétences..."
Pour postuler, il suffit de se connecter sur le site staffmatch.com ou de se rendre dans l'agence de Nice, située au 7 avenue Romain Rolland, 06100 Nice.
http://www.nicematin.com/economie/a-vos-cv-cette-start-up-recrute-530-interimaires-sur-la-cote-dazur-210559 

dimanche 25 février 2018

Lorient. Le salon PRO&MER le 15 mars


Un salon aux buts multiples

Pour sa cinquième édition, le salon qui se tenait habituellement à Brest a choisi de se délocaliser à Lorient. L’événement se définit comme un « forum de l’emploi et de la formation des métiers de la mer » et est organisé par Bretagne Pôle Naval.
Des métiers représentés dans leur diversité puisque des professionnels de tous les secteurs seront présents. La construction navale, des armateurs de la marine marchande mais également la filière des énergies marines renouvelables ou encore la pêche seront de la partie. La navale militaire sera aussi sur place.
Avec près de 80 exposants à Lorient, le forum proposera plus de 1 000 offres d’emplois au public. Des jeunes diplômés aux demandeurs d’emplois en passant par les personnes en quête d’une reconversion dans le monde maritime, tout le monde devrait y trouver son compte. Car, en plus des professionnels, des écoles et autres organismes de formations présenteront quelques 1 800 cursus possibles et ce, pour tous les niveaux.

https://www.breizh-info.com/2018/02/25/89937/lorient-salon-promer-15-mars

Emploi : Ingénieur Etude chez Oreka




DENOMINATION DU POSTE
Poste Ingénieur Etude
Domaine métier Gestion production industrielle (Gestion de flux)
Catégorie SYNTEC Minimum : Position 2.3 Coéf. 355
MISSION DE LA STRUCTURE
Mener des études de gestion de flux sur des projets industriels.
  • • Analyse, expression des besoins, identification des contraintes
  • Proposition d’organisation spatiale et d’optimisation de l’outil de production
  • • Réflexion sur l’amélioration de condition de travail
  • • Etude capacitaire
  • • Validation de scenarii
Travailler sur des modèles 3D de simulation dynamique
CARACTERISTIQUES DU POSTE
Mission globale Etude gestion de flux et simulation 3D
Responsabilités Gestion de projet
Contexte Travail au sein d’une petite équipe « Ingénierie »

http://pole-moveo.org/emplois/oreka-recrute-ingenieur-etude-gestion-de-production/

samedi 24 février 2018

La DCC recrute son Directeur du service Relations Partenaires Locaux et Volontaires


La Délégation Catholique pour la Coopération (DCC) recrute son Directeur du service Relations Partenaires Locaux et Volontaires en CDI. Poste basé à Paris 7ème.
23/02/2018

Institution :

Fondée en 1967 par les évêques, la Délégation Catholique pour la Coopération (DCC), ONG catholique de développement, est le service du volontariat international de l’Eglise en France.
Présente dans soixante pays, la DCC accompagne chaque année 500 volontaires qui contribuent à des missions de développement et interviennent dans tous types de métiers.
En prévision du départ de l’actuel titulaire du poste, la DCC cherche aujourd’hui un Directeur du service Relations Partenaires Locaux et Volontaires.

Description du poste :

Rattaché au Délégué Général et membre du comité de direction, vous avez pour mission de :
  • Manager et coordonner une équipe de 4 salariés et un réseau d’une soixantaine de bénévoles (chargés de mission pays) : recrutement, formation, animation, gestion de planning et soutien,
  • Coordonner le suivi des volontaires sur le terrain, avec l’appui de votre équipe de salariés et bénévoles : gestion des contrats, accompagnement de situations personnelles spécifiques, communication et liens avec les volontaires, gestion des imprévus, intervention dans des situations complexes (médiation...),
  • Assurer les relations avec les partenaires en France et à l’étranger (principalement des institutions d’Eglise ou proches) : liens réguliers, organisation de rencontres, montages de projet, conventions partenariales...,
  • Gérer les aspects de sécurité : veille permanente, gestion de situations de crise, interface et rapatriement avec le support de prestataires publics et privés,
  • Assurer le suivi budgétaire du service et coordonner les tâches administratives de l’équipe, - Participer aux activités transverses de la DCC : temps forts et groupes de travail, stages de préparation au départ et de sessions de retour...
Disponibilité attendue : astreintes téléphoniques, plusieurs week-ends travaillés et deux missions terrain par an.

Profil recherché :

De formation supérieure, vous avez une expérience confirmée de management, de direction de projet ou de coordination de réseau, idéalement dans un environnement multiculturel.
Vous avez le goût du travail en Eglise et en connaissez la diversité.
Sensible aux problématiques de développement, vous avez vécu une expérience de volontariat ou d’expatriation longue à caractère solidaire.
Reconnu pour vos qualités relationnelles de mise en lien, d’accompagnement et de médiation, vous avez une capacité de discernement, le sens du collectif, et êtes doté d’un esprit de service.
La pratique de l’anglais et/ou de l’espagnol est un atout.
Postulez sur www.ecclesia-rh.com avec la référence DCC24

lundi 2 octobre 2017

Offres d'emploi dans les associations et entreprise du développement durable


Ingénieur développement Java F/H

    Offres d'emploi — 02/10/2017 à 16:59 — 5 Rue Saint-Michel, Strasbourg, France
    Joël STEFFEN

    Ingénieur développement C# .NET F/H

      Offres d'emploi — 02/10/2017 à 16:57 — 5 Rue Saint-Michel, Strasbourg, France
      Carmen SANCHEZ

      Assistant-e Communication

        Offres d'emploi — 02/10/2017 à 16:54 — Fondation de France Centre-Est, Rue de l'Arbre Sec, Lyon, France


        Eléonore BLONDEAU

        Responsable Technique - Opération - Méthode

        Offres d'emploi — 02/10/2017 à 11:16 — 11 Avenue du Bel air, Villeurbanne, France


        Catherine VON DAHLE

        Chef de projet

        Offres d'emploi — 29/09/2017 à 14:20 — Palais Brongniart, Place de la Bourse, Paris, France

        jeudi 17 août 2017

        Solidatech recrute un.e Chargé.e de communication et marketing

        Rejoignez une équipe dynamique et enthousiaste d’une dizaine de personnes se mobilisant au quotidien pour aider les associations dans leurs usages numériques.

        Contexte

        Acteur incontournable de la transition numérique du secteur associatif, Solidatech est un programme porté depuis 2008 par les Ateliers du Bocage, une Société Coopérative d’intérêt Collectif membre du mouvement Emmaüs. Grâce notamment à un partenariat avec l’ONG internationale TechSoup, les organisations inscrites peuvent bénéficier gratuitement ou à tarifs solidaires d’outils numériques, de services ou encore de formations. Lauréat de La France S’Engage en 2015, Solidatech connait un développement important et souhaite toucher toujours plus d’organisations en répondant au mieux à leurs besoins.
        Encadré(e) par le Responsable du pôle Numérique Solidaire et aidé(e) par une assistante de communication, vous rejoignez une équipe dynamique et enthousiaste d’une dizaine de personnes se mobilisant au quotidien pour aider les associations à améliorer leur fonctionnement et leur impact par le biais du numérique. En support aux équipes en charge du développement et de l’opérationnel, vous pourrez exprimer pleinement vos talents dans le cadre de ce poste en cours d’évolution, permettant ainsi d’accroitre le rayonnement et l’impact de Solidatech.

        Vos principales missions

        • Contribuer à la stratégie communication et marketing du programme, et la mettre en oeuvre en lien avec l’assistante de communication
        • Recueillir, analyser et décliner en actions les besoins de communication des équipes en charge du développement et de l’opérationnel
        • Créer, mettre à jour et animer des outils et supports de communication
        • Créer et rédiger des contenus : réseaux sociaux / newsletter mensuelle / site web / supports papiers / mailings / rapports …
        • Préparer et lancer des campagnes marketing en vue de valoriser nos solutions
        • Contribuer à la communication presse et médias
        • Contribuer à l’animation du réseau et à la représentation de Solidatech en organisant / participant / intervenant à des rencontres ou évènements
        • Animer des ateliers, notamment en lien avec la thématique de la communication digitale
        • Contribuer à la communication interne du Pôle Numérique Solidaire
        • Faire le lien avec le réseau TechSoup pour communiquer au-delà de nos frontières
        • Contribuer à la veille sur les thématiques qui concernent le programme : secteur associatif / numérique / environnement…
        • Définir, alimenter et analyser des indicateurs de suivi de la communication du programme, afin de contribuer à son amélioration

        jeudi 20 février 2014

        Le monde du travail associatif

        Le monde associatif, qui concentre une grande majorité des salariés de l’ESS, est également amené à muter dans le cadre de la « modernisation de l’Etat » : les relations financières entre collectivités publiques et les associations évoluent. Alors qu’auparavant c’était le système de « subvention » qui était la règle, l’octroi de ressources budgétaires est aujourd’hui davantage fondé sur la « commande publique ». Sous prétexte de rationalisation, le développement du recours au « marché public » et la mise en concurrence des associations pour les ressources financières recomposent le monde associatif et favorisent le regroupement des associations et la mutualisation des fonctions supports. Le monde associatif, tout comme l’État, voit le recours aux pratiques de l’entreprise, en particulier celle du New Public Management, s’imposer à lui. Les institutions de l’économie sociale et solidaire sont alors confrontées à une contradiction ultime : celle de la mise en équivalence monétaire de leur « plus-value » sociale. En « monétisant » les bénéfices de leurs actions sur des protocoles de gestion, elles prennent le risque d’offrir une visibilité à un profit auquel elles disent originellement avoir renoncé, et in fine d’apparaître de plus en plus proches des entreprises commerciales. Pourtant, la mesure comptable des actions devient indispensable à leur pérennisation. Ce processus de « rationalisation des pratiques professionnelles » dans les entreprises de l’économie sociale n’est bien sûr pas sans effet sur le maintien de l’ « esprit solidaire ».
        Le monde associatif, coopératif et mutualiste se pose souvent comme un monde du travail où les pratiques professionnelles sont revendiquées comme « alternatives » ou « solidaires ». Pourtant dans ce secteur c’est l’emploi « atypique » qui est typique : à poste égal le salaire est plus faible que dans le privé et le public, les heures supplémentaires et travail le week-end sont plus communs, et les statuts moins protecteurs. S’il est d’usage de présenter les travailleurs de l’économie sociale et solidaire comme des « militants » (ce qui au passage crée une confusion : le travail étant fréquemment dénié comme activité productive parce qu’il est souvent confondu avec le bénévolat), les auteurs montrent que leurs attentes par rapport à l’emploi sont les mêmes que celles des autres salariés sur le marché du travail : ils recherchent avant tout un emploi stable et des perspectives d’évolution ; ils se montrent attachés aux normes du salariat et peuvent même se mobiliser pour les faire valoir. Si une majorité des salariés des associations, des coopératives et des mutuelles rencontrés en entretien lors des diverses enquêtes évoquent régulièrement la « recherche de sens » comme principe pour la recherche d’un emploi dans l’économie sociale, les enquêtes sociologiques confirment que les motivations déterminantes pour « entreprendre autrement » sont davantage le résultat de l’absence d’autres perspectives professionnelles et, pour une part importante, d’une rupture biographique. Travailler « autrement », avec les conditions évoquées plus haut, n’est donc pas forcement un choix total de la part des acteurs. La surreprésentation des enfants de fonctionnaires apporte une confirmation à cette hypothèse : avec la règle de non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux, les postes de la fonction publique étant fermés aux nouveaux entrants, ces personnes dotées de dispositions à servir l’intérêt général souvent acquises par la socialisation familiale et l’institution scolaire se tournent vers l’ESS où l’emploi y est plus dégradé. Ainsi, le « travailleur solidaire » « accomplit un travail similaire au secteur public dans les conditions du secteur privé, sans pour autant bénéficier pleinement des garanties des emplois classiques du privé ».
        En s’appuyant sur le travail de ce livre, et sur des travaux passé de Matthieu Hély, nous pouvons pousser la réflexion plus loin. La décentralisation entamée dans les années 1980 a transféré la charge de nombreuses compétences de l’État vers les collectivités locales. La mise en œuvre de ces missions a ensuite été en partie confiée aux associations. L’État « gouverne à distance » et nous pouvons compléter les propos des auteurs par l’hypothèse que tout se passe comme si à coté de la fonction publique d’État, de la fonction publique territoriale et de la fonction publique hospitalière, nous avions une « 4e fonction publique ». L’ouvrage nous amène à penser qu’une véritable « fonction publique déléguée » est apparue, ne garantissant pas la qualité de l’emploi mais seulement la mise en œuvre du service public. L’« économie sociale et solidaire », composée en très grande partie d’associations, et qui revendique « placer l’homme au centre » et « avoir l’économie comme moyen et non comme fin » exploite en pratique ses salariés comme n’importe quelle entreprise capitaliste, et même plus si on s’en tient aux statistiques. Le social et le solidaire ne vont que dans un sens, vers le public et non pas vers ses salariés.
        Matthieu Hély et Pascale Moulévrier à la fin de leur ouvrage se placent face à leurs enquêtés. Ils expliquent qu’il ne s’agit pas pour eux de lancer le discrédit sur l’engagement et le travail des acteurs de l’ESS, mais de donner la lucidité et les moyens renouvelés de la réflexivité et de l’action. Ils nous amènent à penser qu’il est nécessaire que les acteurs associatifs et ses promoteurs prennent en compte la réalité de la situation et qu’ils refusent les mauvaises conditions de travail et de statut imposés aux salariés sous couvert de valeurs morales, d’engagement et d’altruisme. Nous pouvons ajouter que cette prise de conscience est d’autant plus nécessaire que, profiter de l’aubaine de la délégation des missions de service public tout en jouant la concurrence plutôt qu’imposer une nécessité de moyen, ce n’est pas seulement être compatible avec le capitalisme : l’étude des pratiques nous montre que c’est aussi tracer le chemin de la flexibilité et du travail gratuit.
        Matthieu Hély, Pascale Moulévrier, L’économie sociale et solidaire : de l’utopie aux pratiques, La Dispute, 2013
        Publié par Mouvements, le 6 novembre 2013. http://www.mouvements.info/L-economie-sociale-et-solidair
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