...Les secteurs les plus concernés par les risques comportementaux, tous niveaux de postes confondus, sont les télécoms et les biens de consommation, alors que le secteur public et le commerce sont classés dans le bas du tableau. Les secteurs qui suivent plutôt une tendance à la baisse incluent ceux de la banque, de l’alimentation, des boissons et du tabac. Il faut cependant noter qu’il peut y avoir d’importantes différences au sein d’un même secteur, comme l’illustre la diversité des performances dans la Banque.
"Des études similaires à celle de SHL se sont intéressées aux facteurs législatifs, sociaux, économiques, politiques et financiers du risque, mais jusqu’à présent la prévision des comportements individuels dans un environnement de travail, qui peuvent créer du risque, n’avait encore jamais été abordée", ajoute Eugene Burke. "Les événements récents, plus particulièrement dans le secteur bancaire, ont mis en lumière les conséquences négatives liées à une mauvaise gestion du risque. Cependant, le risque a également des côtés positifs. Il suffit de trouver le bon équilibre entre appétence et résilience face au risque, afin de gagner de nouveaux marchés, saisir des opportunités, gagner en avantage compétitif, tout en sachant prévenir toute crise."
L’étude sur les risques de SHL peut être utilisée par les leaders, les ressources humaines et les managers du risque des entreprises pour construire des programmes de gestion des talents adaptés et devenir les contributeurs efficaces des stratégies de gestion des risques. L’étude peut également servir aux cadres intermédiaires pour comprendre les profils à risque dans leurs rapports directs et s’assurer que ces risques liés aux personnes sont minimisés et gérés.
ANNEXES
Définition du risque comportemental par SHL
SHL a utilisé 8 composantes comportementales qui sont liées à la résilience et à l’appétence pour le risque.
L’appétence pour le risque est mesurée par des facteurs tels que la prise d’initiatives, la confiance dans ses prises de décision et la persévérance à atteindre un but.
La résilience face au risque inclut des composantes telles que la qualité de décision (les décisions sont-elles plus ou moins susceptibles d’être efficaces ?), la qualité de la communication (ces décisions sont-elles plus ou moins susceptibles d’être communiquées efficacement ?), le fait de mener à terme ces décisions et le fait de déterminer des normes comportementales qu’une entreprise peut attendre de ses salariés. Au niveau terrain, des composantes complémentaires sont le respect, la qualité, l’engagement et le travail en équipe.
Source: SHL – Composantes des risques comportementaux
http://www.shl.com/fr/news-item/press_releases/lesquels-de-vos-salaries-sont-les-plus-grandes-sources-de-risque/
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