Traduction

mercredi 24 avril 2013

Assistance services élargie ses compétences en développant un atelier de recherche d'emploi et d'apprentissage d'un meilleur usage des outils du net pour une plus grande visibilité et d'efficacité, tout au long de la vie active. Ce site "assistance emploi" informe sur l'entreprise, le recrutement, la formation ect...

 

Téléphone et convivialité

 

vous pouvez nouer une vraie relation par téléphone, mais vous devez vous assurer que la relation s'établit. Vous ne pouvez pas le vérifier en observant le langage corporel de votre interlocuteur puisque vous ne le voyez pas. Vos seuls indices sur ses pensées et ses impressions passent par ses paroles et le ton de sa voix. De son côté, ce sont aussi les seuls éléments dont il dispose sur vous. Vous devez donc veillez à votre intonation et à votre expression.

 

Rappelez-vous que lorsque vous êtes anxieux, votre voix peut traduire votre tension et se communiquer à votre interlocuteur. Si la personne que vous appelez est importance pour vous, prenez le temps d'adopter une attitude positive avant de prendre le téléphone.
 
"convaincre en 2 minutes." Nicolas Boothman - Poche Marabout


mardi 23 avril 2013

L'entretien d'embauche

L'entretien est une présentation dont vous êtes les sujets. Comme dans toute présentation, il vous faut une amorce et un point final, une ouverture et une fin. Envisageons votre amorce.

 

Faites vos devoirs de chercheur d'emploi : apprenez tout ce que vous pouvez sur la société (et si possible sur la personne chargée du recrutement). Procurez-vous toute la littérature disponible sur l'entreprise, ainsi que son rapport annuel. Introduisez le nom de la société dans un moteur de recherche et voyez ce que vous obtenez. Faites des recherches dans les archives accessibles par internet ou par le biais des services d'information (même si cela vous coûte un peu d'argent, cela en vaut la peine). Appelez les gens que vous connaissez qui font des affaires avec cette entreprise ou, mieux, y travaillent. Si rien ne marche, parlez au réceptionniste à votre arrivée sur les lieux.

 

Le vieil adage  « L'information c'est le pouvoir » me rend dingue parce qu'il est faux. L'information est un pouvoir potentiel mais n'a aucune valeur tant que vous ne l'utilisez pas. Servez-vous des informations que vous avez réunies pour élaborer [votre profil] c'est-à-dire qui montre comment votre expérience, vos compétences et vos points forts font de vous la personne idéale pour le poste à pourvoir. Il ne s'agit pas de jouer la comédie : [votre profil] doit s'appuyer sur des éléments réels et vous devez diffuser votre message avec émotion.

 

Le suivi

 Assurez toujours, toujours, toujours le suivi de votre entreprise car cela peut vous permettre d'obtenir le poste que vous convoitez. Manifestez-vous dans les vingt-quatre heures qui suivent l'entretien et cherchez à obtenir trente secondes du temps de votre recruteur potentiel. Vous pouvez adresser une lettre ou un courriel ou encore laisser un message téléphonique. Je vous conseille de laisser un message vocal après la fermeture des bureaux ; cela montre que vous ne voulez pas interrompre une journée de travail, mais que vous êtes sincèrement intéressé. Le ton de votre voix et les phrases que vous prononcez sont cruciaux. Adoptez une attitude positive avant de téléphoner et passez votre appel debout. Soyez enthousiate et courtois. Remerciez pour l'entretien, montrez de l'intérêt pour le poste concerné et gardez à l'esprit votre message], tandis que vous soulignez certains des aspects positifs de l'entretien. Si vous préférez écrire, assurez-vous que votre syntaxe et votre orthographe soient parfaits.

 Quelque soit le format que vous retenez, adaptez votre message, entraînez-vous et limitez, autant que possible, à trente secondes cet instrument de markéting personnel.

  
convaincre en 2 minutes. Nicolas Boothman - Poche Marabout

dimanche 21 avril 2013

Atelier d'orientation

Assistance services élargie ses compétences en développant un atelier de recherche d'emploi et d'apprentissage d'un meilleur usage des outils du net pour une plus grande visibilité et d'efficacité, tout au long de la vie active. Ce site "assistance emploi" informe sur l'entreprise, le recrutement, la formation ect...


Au préalable de la formation, le candidat apprend à gérer l’échec, l’incertitude et le doute, lot de l’épreuve et de l’apprentissage. Il saura ainsi récolter, les fruits de ses efforts en continuant son chemin sans se laisser influencer par ses échecs, car l'échec l'oblige à se remettre en question et parfait son expérience. Il apprend que la faiblesse est parfois une force parce qu'il envisage, à ce moment là, les multiples façons de la combler donc il va de découverte en découverte de lui-même et des possibilités de son environnement. C'est pourquoi, cette force est plus grande puisqu'elle est pédagogique et résiliente.

Faire le ménage est primordiale !
Cette préparation à l'initiation et à l'engagement, lui évitera plus tard d'aller de détour en détour, sans balise et sans guide. Le conseil, la réflexion personnelle sont une lumière à ses pieds. Il ne faut pas oublier qu’un sujet désorienté est vulnérable, donc au préalable de l’engagement, il examine ses objectifs ; par exemple, après enquête sur le secteur convoité. Puis, il définie clairement ses compétences pour une mise à niveau, si nécessaire. C'est le plus sûr moyen de préparer son parcours professionnel et contourner les embûches.
Distillons, malgré tout, l’esprit d’aventure en ces temps moroses !
Une manière de marcher vers le dépassement de soi en randonnant sur des sentiers inconnus. Car la vie a besoin de nouveauté et de perspective.

vendredi 19 avril 2013

Identifiez la nature de votre métier

Contrairement à ce que l'on vous a appris, l'argent ne constitue pas le meilleur moyen de motiver quelqu'un. Bien entendu, nous avons tous des besoins que l'argent peut combler (manger, se loger, se déplacer et assurer sa sécurité), mais ce qui pousse la plupart d'entre nous à nous dépasser au bureau est de croire à l'importance de notre travail. Effectuer un travail qui semble important – pour notre société, notre équipe ou notre communauté – donne vie à nos valeurs et nos croyances. Cela nous valorise et nous donne une impression d'utilité et de but.
Les sociétés intelligentes prennent en considération les valeurs de leurs employés et font en sorte de donner un sens à leur travail. Elles le font, notamment, en établissant un plan de mission. Certaines organisations vont jusqu'à décliner ces plans de mission pour aboutir à ce que j'appelle la grande idée de la société. Une grande idée peut, lorsqu'elle est adroitement mise en forme, expliquer de façon simple et mémorable les raisons pour lesquelles l'organisation existe et quels sont les bienfaits. Elle peut ainsi personnaliser l'entreprise. La mesure de son efficacité est tangible lorsque chaque employé est capable de s'y référer et de déterminer s'il y répond ou pas.
Par exemple, la grande idée des Hôtels Marriott est la suivante : « Nous donnons l'impression aux gens qui sont loin de chez eux, de passer un séjour chez des amis. » C'est génial et facile à mémoriser. Tous les employés de la société depuis le directeur des relations publiques jusqu'au réceptionniste, en passant par la femme de chambre ou le chef pâtissier en cuisine peuvent se demander : « Suis-je en train de le faire ou pas ? » Si la réponse est positive, la société va bien. Dans le cas contraire, il est temps d'opérer quelques changements. Voici donc l'effet magique d'une grande idée bien formulée : elle intéresse chaque employé à la mission de son entreprise, en lui donnant le pouvoir de suivre et perpétrer la mission de cette entreprise. Charles Revlon l'a magnifiquement formulé : « Dans les ateliers de production Revlon, nous fabriquons des cosmétiques, mais dans les boutiques, nous vendons de l'espoir. »


mercredi 17 avril 2013

Emploi : pourquoi ça coince ?


112 088 postes non pourvus au troisième trimestre 2012: c'est ce que révèle le nouveau baromètre " Tendance emploi compétence " (TEC), dévoilé ce mardi 16 avril par le Medef qui entend s'attaquer aux dysfonctionnements du marché du travail. Avec à la clef, quelques pistes pour y remédier.

Par Anne Bariet pour LEntreprise.com, publié le
4% des entreprises sondées par le Medef ont abandonné leurs recrutements faute de candidats au dernier trimestre 2012. Un paradoxe évident alors que le taux de chômage du pays caracole à plus de 10 % de la population active et que les annonces de plans sociaux se succèdent semaine après semaine. C'est pourquoi, l'organisation de Laurence Parisot, à quelques semaines de la fin de son dernier mandat, cherche à expliquer les difficultés rencontrées par les entreprises.
Outil d'intérêt général. Outre les intentions d'embauche, le baromètre vise, en effet, à décrypter les dysfonctionnements du marché du travail en expliquant pour chaque métier (191 fiches y figureront à terme), les raisons des difficultés rencontrées par les employeurs ainsi que leurs techniques pour y remédier. Parmi les solutions, le recours à une formation pour les nouveaux salariés, à un contrat d'alternance, à un contrat court, voire à une réévaluation des salaires... " Il s'agit d'un outil d'intérêt général et d'une puissance considérable ", s'est ainsi félicitée Laurence Parisot.
Absence de savoir-être. L'urgence est réelle : 7% des entreprises sondées avouent avoir rencontré des difficultés pour boucler leurs recrutements. Pis : 4% des entreprises ont abandonné leurs recherches, faute de candidats au dernier trimestre 2012. Comment expliquer cette inadéquation entre les postes à pourvoir et le profil des candidats ? 22% des recruteurs mettent en avant l'absence de savoir-faire technique. Mais le manque de formation n'explique pas tout. L'absence de savoir-être est citée dans 17% des cas !
Mouton à cinq pattes. L'enquête passe, en revanche, sous silence les raisons qui tiennent au comportement des employeurs eux-mêmes qui peinent à trouver la perle rare. Car pour être tout à fait exhaustif, ce baromètre devrait également mentionner le manque d'anticipation, la volonté que le nouvel embauché soit opérationnel " dès demain " ou encore la recherche du clone de l'ancien salarié... Soit autant de critères chers aux recruteurs. De même, la qualité des offres proposées (horaires atypiques, salaires planchers, contrats très partiels...) est un paramètre que les demandeurs d'emploi prennent en compte avant de se positionner.
Reste que toutes les entreprises n'ont pas ce type de problème. 28% des entreprises sondées ont embauché, fin 2012, 250 000 personnes et 17% avaient l'intention de le faire au premier trimestre 2013.
Bonus-malus. L'enquête Tec doit être réactualisée régulièrement par le Medef. Son rythme, trimestriel ou semestriel, n'est pas encore arrêté. En attendant, Laurence Parisot espère que cet outil sera utilisé à la fois dans le cadre de la conférence sociale de juin mais aussi lors de la négociation sur l'assurance-chômage, qui débutera en septembre 2013. Et avance ses pions. " Nous souhaitons que les entreprises qui forment le plus de salariés payent moins de cotisations. " Un nouveau bonus-malus à négocier avec les organisations syndicales.
(1) Ses résultats sont extrapolés des 24 000 réponses reçues parmi les 39 566 entreprises sondées du secteur privé.
lentreprise.com

lundi 15 avril 2013

E-mail : les sept erreurs qui ne pardonnent pas

Familiarités, abréviations, fautes... Mal formulé, votre mail écrit à la hâte risque, au mieux, d'agacer, au pire, d'être jeté à la corbeille. Respectez les règles élémentaires de courtoisie, rappelle Aline Nishimata, experte en e-communication (1). Explication de texte.

Par Marie-Madeleine Sève pour LEntreprise.com, publié le
"Pour l'objet du mail, il n'y a rien de pire que le flou, rappelle Aline Nishimata, experte en e-communication. Sous l'avalanche des courriels, votre interlocuteur n'ouvrira pas le vôtre. Sauf s'il sait de quoi il retourne. Ayez en tête cette idée : mon mail doit être prioritaire. Alors soignez ce champ-là en étant informatif et bref."
"Pour l'objet du mail, il n'y a rien de pire que le flou, rappelle Aline Nishimata, experte en e-communication. Sous l'avalanche des courriels, votre interlocuteur n'ouvrira pas le vôtre. Sauf s'il sait de quoi il retourne. Ayez en tête cette idée : mon mail doit être prioritaire. Alors soignez ce champ-là en étant informatif et bref."
istockL'écrit électronique est traître. Sous ses faux airs de convivialité, il offre une liberté illusoire. D'un simple clic on répond instantanément, mais en s'affranchissant des usages très codifiés de la correspondance papier. Or, ces usages sont les mêmes. Et, oui, on peut répondre en temps réel avec peu de mots en respectant ces règles. Un e-mail bien rédigé pour votre supérieur ou vos collaborateurs mettra en valeur votre image, car il est le reflet de votre compétence. Voici 7 erreurs fréquentes à rayer de vos pratiques.

1. Objet : RE : RE : RE : RE : RE : " commande ", ou " informations ", " news "

Pour l'objet du mail, il n'y a rien de pire que le flou. Sous l'avalanche des courriels, votre interlocuteur n'ouvrira pas le vôtre. Sauf s'il sait de quoi il retourne. Ayez en tête cette idée : mon mail doit être prioritaire. Alors soignez ce champ-là en étant informatif et bref. Attention toutefois aux phrases de 3 kms, illisibles. Cela peut irriter. Et si vous êtes en e-conversation avec un client ou un fournisseur, évitez les allers-retours avec une kyrielle de RE : qui brouille la vue. Un seul " retour " est acceptable.
>>> Ecrire : " CR de la réunion du 20/01 ", ou " Prochaine AG sur le projet Z ", " Re : Devis (V2) ".

2. " Salut ! ", " Re-moi " ou " --- "

Il est difficile de choisir la juste formulation pour saluer. Ne rien écrire est discourtois. Il s'agit de bien mesurer la distance avec son destinataire. Deux options : 1/ Vous ne le connaissez pas. Ecrivez " Cher Monsieur ", c'est toujours très apprécié ; 2/ Vous le connaissez. Usez du " Bonjour ", ou appelez-le par son prénom, suivi d'une virgule.
Evitez le " Salut ! " ou " Coucou, c'est moi ! ", trop familiers dans l'entreprise. Ou encore le " Re-moi ", signalant le deuxième mail du jour, au risque de vous dévaloriser. Au contraire, si vous avez déjà conversé, ne saluez plus. On trouvera normal que vous souhaitiez approfondir le sujet.
>>> Ecrire : " Bonjour Madame (ou Madame D), " Monsieur le Directeur ", " Cher Monsieur ", " Cher Professeur Y ", " Anne, "

3. " Je prendrai les sanctions qui s'imposent ", " Les effets néfastes de votre retard "...

Ici les mots sont durs, accusateurs ! Ils font voler en éclat les barrières sociales. Gardez-vous d'exprimer votre colère à l'écrit. C'est violent et ça laisse des traces auprès du partenaire ou du collaborateur. Il est capital de mettre son " cyber-stylo " à distance de ses émotions. Restez neutre, nuancez votre vocabulaire. Un style moins direct portera tout autant.
>>> Ecrire : " Votre retard nous porte préjudice ", " Je suis déçu(e) par votre attitude "

4. Rdv, Ns, Vs, qqch, cad, cdt

Voici un joli style SMS qui ne fait pas sérieux. C'est vilain, écrit à la va-vite, sans considération pour l'autre. Parce que vous l'obligez à faire le travail à votre place. A lui de décrypter et de compléter. Trop désinvolte ! Dans la même veine bannissez le point d'exclamation, d'un registre trop affectif.
>>> Ecrire : Vous, nous, cordialement, etc.

5. " Je vous (serais) gré ". " Pallier (aux) difficultés "

Les fautes de français (comme les fautes d'orthographe) sont d'un effet déplorable. Elles laissent penser que vous ne maîtrisez pas la langue de Molière. Cela vous décrédibilisera auprès des équipes ou d'un chef. On a droit à la coquille, mais à une seule pas davantage. Alors, n'hésitez pas à prendre un dictionnaire, vérifier les règles de grammaire, ou vous faire relire par un tiers de confiance.
>>> Ecrire : " Je vous saurais gré ", " pallier les difficultés ". " Je me permets de ", " j'envoie " (sans s), " Je vous joins (sans " ts ") " Nous avons été reçu(e)s "

6. " Car en effet ", " puis ensuite ", " mais toutefois "

Même remarque que précédemment. Ces pléonasmes horripilent. Dans les deux cas vous risquez d'être la risée du département ou de l'entreprise, parce que vos collaborateurs vont transférer ces mails à leurs collègues : " t'as vu, il est nul ! ". Et ils se propageront rapidement.
>>> Ecrire : car OU en effet, mais OU cependant, etc.

7. " Merci de votre réponse. ", " A votre disposition. "

Pour les personnes de l'extérieur, client ou partenaire (voire recruteur), ce raccourci est malheureux. Il laisse une impression de supériorité, donne un ton à la limite de l'impératif. Obligez-vous à rédiger une phrase entière : sujet, verbe, complément. Mieux vaut agir de même à l'égard de votre hiérarchie. Cela sera considéré comme une marque de respect.
>>> Ecrire : " Je vous remercie de l'attention que vous porterez à... ", " Je me tiens à ta disposition pour... ".
(1) Auteur de Savoir rédiger vos e-mails professionnels, Gualino (Lextenso Editions).

http://lentreprise.lexpress.fr/etre-efficace/e-mail-les-sept-erreurs-qui-ne-pardonnent-pas_38374.html?xtor=EPR-11-%5bENT_Zapping%5d-20130204--101937933%40229879286-20130204064820

vendredi 12 avril 2013

ACTIVITE ET CHOMAGE DANS LES ZONES URBAINES SENSIBLES FRANCILIENNES

Les zones urbaines sensibles se différencient toutes les unes des autres, par leur dimension mais également par leur lieu d’implantation. Elles présentent néanmoins des caractéristiques communes, plus ou moins prononcées.
Afin de répondre aux objectifs de la loi du 1er août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine, en particulier dans le domaine de l’emploi, ces caractéristiques doivent être appréciées très précisément.
L’amélioration du système statistique permet aujourd’hui un tel diagnostic. Plusieurs sources administratives sont en effet disponibles à l’échelle infra-communale des zones urbaines sensibles, selon une périodicité et des champs qui peuvent certes être différents des autres découpages administratifs, sans en interdire toutefois des comparaisons.
 

jeudi 11 avril 2013

Lesquels de vos salariés sont les plus grandes sources de risque pour votre entreprise ?

...Les secteurs les plus concernés par les risques comportementaux, tous niveaux de postes confondus, sont les télécoms et les biens de consommation, alors que le secteur public et le commerce sont classés dans le bas du tableau. Les secteurs qui suivent plutôt une tendance à la baisse incluent ceux de la banque, de l’alimentation, des boissons et du tabac. Il faut cependant noter qu’il peut y avoir d’importantes différences au sein d’un même secteur, comme l’illustre la diversité des performances dans la Banque.
"Des études similaires à celle de SHL se sont intéressées aux facteurs législatifs, sociaux, économiques, politiques et financiers du risque, mais jusqu’à présent la prévision des comportements individuels dans un environnement de travail, qui peuvent créer du risque, n’avait encore jamais été abordée", ajoute Eugene Burke. "Les événements récents, plus particulièrement dans le secteur bancaire, ont mis en lumière les conséquences négatives liées à une mauvaise gestion du risque. Cependant, le risque a également des côtés positifs. Il suffit de trouver le bon équilibre entre appétence et résilience face au risque, afin de gagner de nouveaux marchés, saisir des opportunités, gagner en avantage compétitif, tout en sachant prévenir toute crise."
L’étude sur les risques de SHL peut être utilisée par les leaders, les ressources humaines et les managers du risque des entreprises pour construire des programmes de gestion des talents adaptés et devenir les contributeurs efficaces des stratégies de gestion des risques. L’étude peut également servir aux cadres intermédiaires pour comprendre les profils à risque dans leurs rapports directs et s’assurer que ces risques liés aux personnes sont minimisés et gérés.

ANNEXES

Définition du risque comportemental par SHL
SHL a utilisé 8 composantes comportementales qui sont liées à la résilience et à l’appétence pour le risque.

L’appétence pour le risque est mesurée par des facteurs tels que la prise d’initiatives, la confiance dans ses prises de décision et la persévérance à atteindre un but.
La résilience face au risque inclut des composantes telles que la qualité de décision (les décisions sont-elles plus ou moins susceptibles d’être efficaces ?), la qualité de la communication (ces décisions sont-elles plus ou moins susceptibles d’être communiquées efficacement ?), le fait de mener à terme ces décisions et le fait de déterminer des normes comportementales qu’une entreprise peut attendre de ses salariés. Au niveau terrain, des composantes complémentaires sont le respect, la qualité, l’engagement et le travail en équipe.
SHL - Composantes des risques comportementaux
Source: SHL – Composantes des risques comportementaux
http://www.shl.com/fr/news-item/press_releases/lesquels-de-vos-salaries-sont-les-plus-grandes-sources-de-risque/
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