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lundi 15 juillet 2013

Impressionnez l’employeur en posant ces 6 questions à votre entretien d'embauche



Voici un bon conseil à tous les candidats à un job : quand vous passez un entretien, à votre tour, vous devez aussi interviewer le recruteur ! Après tout, si c’est vous qui allez occuper le poste, autant essayer de savoir s’il vous correspond réellement.
Bien que vos questions concernant le salaire, les avantages, l’horaire méritent une réponse, elles ne vous aideront point à retenir l’attention de votre employeur potentiel. Ce dernier aime les candidats préparés, bien renseignés, curieux. Pensez plutôt à poser l’une des six questions suivantes qui multiplieront par dix votre pouvoir de séduction !

1. Si je devais commencer demain, quelle tâche serait prioritaire sur ma liste de choses à faire ?

Vous montrez que vous êtes du genre à prendre le taureau par les cornes et, en plus, on vous donnera une idée plus claire du rôle que vous auriez à jouer dans l’entreprise. Le bonus : votre interlocuteur vous imagine déjà dans ce rôle.

2. Quelles améliorations ou quels changements espérez-vous que le nouveau candidat apportera à la fonction ?

Grâce à cette question, vous en saurez plus sur les raisons pour lesquelles la dernière personne a perdu ou abandonné le poste. En prime, vous obtenez les meilleurs conseils pour assurer une fois engagé !

3. Quels sont, selon vous, les deux traits de personnalité les plus importants pour l’exercice de la fonction ?

Attendez-vous à une réponse révélatrice. Par exemple, ‘proactif’ et ‘orienté résultat’ signifient que vous serez souvent amené à vous débrouiller tout seul, tandis que ‘patient’ et ‘esprit d’équipe’ évoquent le contraire. Vous en apprenez plus votre aptitude à remplir la fonction et vous obligez l’interviewer de voir au-delà du CV et vous considérer comme une personne à part entière.

4. Je sais que votre entreprise est fière de telle réalisation et de telle réussite mais, à votre avis,
quel est l’aspect le plus essentiel de votre culture d’entreprise ?

En posant ce type de question, vous tapez dans le mille. Elle prouve que vous avez fait vos recherches et révèle les valeurs les plus précieux aux yeux de l’employeur.

5. Aimez-vous travailler ici ?

Celle-ci risque de mettre les interviewers quelque peu mal à l’aise mais leur réaction sera d’autant plus intéressante. Un ‘oui’ enthousiaste accompagné d’un sourire confiant et d’une motivation seront bon signe. S’ils détournent le regard, remuent sur leurs chaises et commencent par « Eh bien, euh... », sortez vite par la porte de secours !

6. Y a-t-il un élément en particulier qui vous fait croire que je ne suis pas le candidat idéal pour ce job ?

Ils verront en vous un candidat capable de supporter la critique et ayant envie d’évoluer, deux qualités très appréciées. Vous vous offrez également une chance de réduire les doutes à votre propos.
De manière générale, vos interlocuteurs apprécieront que vous leur donniez l’occasion d’exprimer leur opinion, que vous les poussiez à réfléchir. Et grâce à vos questions, votre entretien d’embauche ressemble davantage à une conversation normale, ce qui est toujours bénéfique.
(sdb) - Source : Brazencareerist.com

jeudi 11 juillet 2013

Pôle emploi et Viadeo s’associent


Partenariat Pôle emploi et Viadeo
Le réseau social Viadeo et Pôle emploi annoncent leur partenariat afin d’aider les demandeurs d’emploi à investir les réseaux sociaux et ainsi renforcer la transparence du marché du travail.

Si Pôle emploi a lancé un appel à candidatures au début de l’année pour encourager les demandeurs d’emploi à utiliser les réseaux sociaux, c’est parce que ces derniers souffrent souvent d’un manque de visibilité et passent à côté d’offres “cachées” que l’on ne trouve que sur certains sites.

Agrégation des offres
Après des mois de tests et d’analyses, c’est finalement Viadeo qui a été retenu. L’accord prévoit deux volets. Premièrement, l’agrégation et la diffusion des offres sur le site de Pôle emploi. À l’inverse, une sélection d’annonces de Pôle emploi sera diffusée sur le réseau social, notamment dans des secteurs en pénurie de candidats comme l’hôtellerie, la restauration, la santé ou le BTP.

Un partenariat public/privé
Le second volet concerne lui la multidiffusion des CV. Un demandeur d’emploi pourra étendre son réseau en créant son profil Viadeo à partir de son CV Pôle emploi et réciproquement. “Pôle emploi dispose du savoir-faire pour identifier les populations les moins autonomes sur les outils digitaux, nous avons l’expérience d’une plateforme simple d’accès et riche d’opportunités”, explique Dan Serfaty, co-fondateur et PDG de Viadeo.
- See more at: http://www.courriercadres.com/emploi/les-entreprises-qui-recrutent/pole-emploi-et-viadeo-s-associent#sthash.By0zaCyy.dpuf

Marché du réemploi,réutilisation de + d'un milliard d'euros/an.Plaquette @ademe


jeudi 11 juillet 2013
Olivier Luisetti
Etes vous pret à vous connecter avec vos clients sur les réseaux sociaux ?
Lyon-VilleurbanneFrance
Réemploi, réutilisation : un marché de plus d'un milliard d'euros en France @ademe
http://catalogue-ademe-editions.com/plaquette_R...

Ce document de l'Ademe propose un panorama de l'organisation et des activités du réemploi, de la réparation et de la réutilisation des objets. Il apporte un éclairage réglementaire, précise la terminologie, décrit les organisations en place, évoque l'activité économique de ces secteurs et présente les principales perspectives de développement.

Il est destiné aux acteurs du déchet, aux professionnels des secteurs du réemploi, de la réparation et de la réutilisation, aux collectivités et associations…

Principaux chiffres :

- En 2012, près de la totalité des Français (98 %) déclarent avoir déjà pratiqué le réemploi et l'on estime à 1 250 millions d'euros par an le chiffre d'affaires lié au réemploi et à la réutilisation.

- Les structures de l'occasion, tels que les sites Internet de mises en relation vendeurs/acheteurs (en croissance depuis 2010), sont les plus plébiscitées par les consommateurs. Avec près d'un milliard d'euros, elles représentent 78 % du chiffre d'affaires global.

- La mise en place d'un suivi et d'une formation du personnel régulier permet également aux réseaux spécialisés de l'économie sociale et solidaire (ESS) comme Emmaüs de voir leur image s'améliorer et leur activité croître (+ 10 % depuis 2010).

- Le marché de la réparation tire également profit de la crise économique : le nombre d'entreprises de réparation a augmenté de 26 % tous secteurs confondus entre 2007 et 2011. La réparation automobile est le secteur le mieux représenté avec 60 % des entreprises du secteur.

- L'impact sur l'environnement bénéfice de ces changements de consommation : l'Ademe estime qu'en 2011, 825 000 tonnes de déchets ont été évitées grâce au réemploi et à la réutilisation, participant ainsi au développement de l'économie circulaire.

lundi 8 juillet 2013

GENTLEMAN, UN ACCOMPAGNATEUR DE VIE

Jérôme - GENTLEMAN (*) Votre accompagnateur
Laissez le Romantisme vous parler : http://gentleman.over-blog.net
LYON, France


" GENTLEMAN " est un concept plutôt novateur aujourd'hui car cela demande d'être à la fois " humain ", " à l'écoute " et " polyvalent " dans ce domaine.
Je suis très attentif avec les autres, serviable et dynamique.
Je travaille autant avec des Particuliers qu'avec des Entreprises. Ma clientèle est variée, les demandes sont diverses.

En effet, je peux " accompagner des personnes, à un concert, à une exposition, au Théâtre ou à d'autres endroits (...) " où celles-ci souhaiteraient se rendre; les raisons sont alors multiples (personnelles et/ou professionnelles) :

- Visiter un musée ou une exposition

- Aller chez des ami(e)s

- Louer une voiture et conduire la personne à l'endroit désiré

- Participer à un séminaire professionnel

- Accompagner la personne lors d'un voyage d'affaires

- ...




Je m'adapte à leurs envies sans aucun problème : elles décident et choisissent totalement de ce qui leur ferait plaisir.
Je peux venir habillé en " costume-cravate " (de façon très élégante) ou " de manière très décontractée ".

Je travaille en France et à l'étranger, en journée, le soir et/ou le week-end (horaires variables).

Mes services sont intéressants dans la mesure où vous me demandez quand vous le souhaitez, où que vous le souhaitez, en choisissant les modalités,...

Vous trouverez, en pièce-jointe, ma Carte de visite. Je suis joignable à tout moment de la journée et en soirée si vous le souhaitez.
Si je ne peux vous répondre, n'hésitez-pas à me laisser un message sur le répondeur ou un S.M.S (texto) avec vos coordonnées complètes, je vous recontacte alors très rapidement.




dimanche 7 juillet 2013

Portrait de Mathilde, serial entrepreneuse

Lydia Vergerolle *
Assistance services : assistance emploi, assistance juridique, assistance santé
Paris, France
Je crois que déjà toute petite, j’avais envie d’avoir ma société ou une activité indépendante. J’ai commencé comme salariée, dans des boîtes high-tech, le temps de découvrir le monde du travail et de commencer à être une grosse consommatrice de web. Puis j’ai eu l’idée de Bagatelles : j’étais nulle pour offrir des cadeaux, je m’y prenais toujours au dernier moment, je trouvais que ce serait chouette de pouvoir acheter des cadeaux un peu uniques à se faire livrer.
Une étude de marché plus tard, je me suis lancée « pour voir », portée autant par une envie de voir si je serais capable de le faire que par une passion pour les projets web (j’avais à mon actif un site monté avec des amis en 2000).
Pour Quaelead, c’est une autre histoire, j’avais déjà 5 ans de e-commerce dans les jambes et j’avais compris que le nerf de la guerre, c’est le trafic. En ouvrant un moteur de recherche de produits spécialisé cadeaux, j’ai voulu permettre aux boutiques comme Bagatelles d’avoir une place au milieu des grands, une visibilité vraiment adaptée à leur offre produit.

As-tu été accompagnée lors de la ta première création d’entreprise ? As-tu suivi des formations particulières ? Te formes-tu encore dans certains domaines (par toi-même ou en faisant appel à des prestataires extérieurs) ?

Pour Bagatelles, j’ai suivi une formation en deux jours d’aide à la création d’entreprise. Cela a surtout eu pour effet de me motiver à sortir un business plan et un planning. Pour tout le reste, j’ai un profil assez indépendant donc j’ai tendance à chercher moi-même, en trouvant de l’information en ligne ou en achetant des bouquins. Enfin, ce qui m’a le plus fait avancer, c’est le réseau professionnel : des gens qui ont un métier proche du mien et qui ont bien voulu répondre à mes questions quand j’en avais besoin.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile au départ (lors de tes deux créations d’entreprise) : la recherche de financement, les fournisseurs, la partie technique des sites, trouver les bons collaborateurs ?

Il faut le savoir : tout est difficile quand on crée sa première boite........
http://www.en-aparte.com/2012/06/26/portrait-de...

jeudi 4 juillet 2013

Burn out : une réalité mortelle dans les SSII

Par Marie Varandat le 05/06/2013 - indexel.net
 
Burn-out

Dans un ouvrage consacré au burn out, une jeune cadre revient sur la souffrance au travail, phénomène de plus en plus répandu dans les entreprises françaises.

 
Effets collatéraux des 35 heures (faire plus en moins de temps), forfait jour (explosion du nombre d'heures), accélération du rythme et disparition entre vie privée et professionnelle induites par les outils modernes de communication (mail, périphériques mobiles, etc.), combinaison de différents facteurs... le burn out fait des ravages. Symptôme consécutif à l'exposition à un stress permanent et prolongé, il est particulièrement présent dans les SSII où les consultants sont ballotés d'entreprise en entreprise et soumis au régime du forfait jour. Pour preuve, un représentant de la fédération FO à l'occasion d'une matinée consacrée à cet état de santé déclarait il y a quelques mois : "Dans une SSII, nous avons recensé deux AVC et un infarctus en six mois qui se sont soldés par deux morts".

Identifier les symptômes

"Quand le travail vous tue : histoire d'un burn out et de sa guérison", ouvrage d'Aude Selly, revient sur ce phénomène qui touche de plus en plus de personnes. Si le récit n'est pas un témoignage en soi, il n'en souligne pas moins à quel point la souffrance au travail est une réalité qui pourrait être enrayée si les entreprises se donnaient les moyens de "voir". En tirant les leçons d'incidents et de situations concrètes, cette jeune cadre propose une grille de lecture pour identifier les symptômes de cet épuisement professionnel. Maladie professionnelle non reconnue par la sécurité sociale, le burn out peut en effet prendre différentes formes, pas forcément évidentes à identifier si les managers ne sont pas attentifs, avant que le salarié n'implose.

Exercer sa responsabilité d'employeur

Même non reconnu par la sécurité sociale, le burn out relève de la responsabilité des entreprises comme le souligne Frédéric Chhum (photo), avocat au barreau de Paris : "L'employeur a une obligation de résultat vis-à-vis de la santé des salariés et différents arrêts de la cour de cassation ont entériné le fait que cette obligation ne s'arrête pas à l'entretien annuel. Dès lors, et même si ce n'est pas toujours facile, faire reconnaitre le burn out en tant que maladie professionnelle est possible". Consultation de la médecine du travail, des délégués du personnel, contrôle régulier de la charge de travail (entretiens, réunions, etc.) avec comptes-rendus écrits utilisables en cas de conflit, Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT)... doivent devenir autant de réflexes pour élaborer des politiques en vue d'anticiper les risques et faire en sorte que le burn out ne soit plus un sujet tabou. Car si la sécurité sociale n'a rien prévu, elle n'en traite pas moins les demandes et apprécie au cas par cas. Sans compter que le malade peut saisir le Conseil des prud'hommes pour faire établir le lien entre son activité professionnelle et son surmenage.
En d'autres termes, au-delà du mal-être des collaborateurs qui en soi devrait être une motivation suffisante pour faire réagir les entreprises, le burn out peut coûter cher...

http://www.indexel.net/actualites/burn-out-une-realite-mortelle-dans-les-ssii-3837.html

mercredi 3 juillet 2013

Les micro-apprentissages, un impact de taille sur votre développement professionnel

Exploitez les « micro-apprentissages », ils sont gratuits !

Les "micro-apprentissages" offrent à chacun la possibilité de s’initier et de se perfectionner sur tout, ou presque. A tel point qu’un employé ne pourra plus jamais dire "Je n’ai jamais eu la chance d’apprendre ceci…" et encore moins de prétendre ceci : "On ne m’a jamais formé".
Sous la pression des contraintes budgétaires et temporelles, notre monde hyper-connecté exige de la vitesse et un accès direct. Micro-apprendre, c’est partout, à chaque moment perdu et à chaque étape de votre développement. Avec l’offre exponentielle de contenus pédagogiques en ligne et d’outils éducatifs gratuits, se former et se maintenir à jour deviennent une responsabilité personnelle. Désormais, on s’auto-forme.
Voyez une liste des moyens de micro-apprentissage. Elle ne fait que grandir : Applications de contenus éducatifs sur SmartPhone et tablettes, YouTube Channel, PodCasts, ScreenCast, Wikis, Communautés d’Apprentissages, Groupes et Forums, Webinaires, Google+ Hangout, SlideShare, LearnChat ou LiveTweeting sur Twitter, Curation de contenus (Prezi, Scoop-it, PearlTrees, Storify). Bien que plus longs et plus lents, on pourrait ajouter certains cours en ligne gratuits sous forme de vidéo qu’offrent abondamment les MOOC (Massive Open Online Courses).
Paris en miniature
Paris en miniature

Les micro-apprentissages à tous les étages de votre développement

Très interactifs, les micro-apprentissages peuvent nous aider à franchir chaque stade de notre développement professionnel.
Accessibles, mobiles et rapides, ces nouvelles méthodes d’apprentissages sont déjà dans notre quotidien. Ce sont de petites formations accélérées qui peuvent s’effectuer à partir de contenus très courts, mais faciles d’accès et souvent très opérationnels.
Ces apprentissages peuvent être partagés socialement, même s’ils sont parfois peu structurés. Ils sont très interactifs et peuvent nous aider à franchir chaque étape de notre développement professionnel :
  1. stade de l’information à la connaissance,
  2. stade de l’application à la capacité,
  3. stade de l’attitude aux comportements adéquats,
  4. stade de la compétence à la responsabilité.
Voici quatre exemples plaçant différents employés dans des situations de développement professionnel. Ces employés ont su profiter des outils gratuits de « micro-apprentissages ».

Exemple 1 : Se préparer à l’entrevue de sélection

Marie a une deuxième entrevue avec son futur manager, responsable du magasin. Dans l’offre d’emploi, elle a initialement noté que la maîtrise d’un logiciel de gestion des inventaires est requise pour obtenir le poste. Avant son entrevue, elle a utilisé Youtube pour visionner toutes les séquences de formation diffusées par l’éditeur du logiciel. Elle a aussi regardé d’autres vidéos et certains « vidéocaptures d’écran » de différents utilisateurs. Elle s’est rendue compte que pour d’autres types de contenus qui concernent par exemple le développement personnel, elle pouvait utiliser la baladodiffusion, la radio sur le Web, qui offre d’abondantes possibilités.
Marie a franchi une étape de développement. De candidate informée, elle devient initiée. Elle est maintenant prête à passer à l’action. Son nouveau gestionnaire a apprécié son initiative et l’a embauchée.

Exemple 2 : S’intégrer rapidement dans son nouveau poste

Pour la première fois, Paul est responsable d’une équipe technique dans le domaine pharmaceutique. Lors de l’évaluation de sa candidature, on lui confirme qu’il doit rapidement s’imposer dans son nouveau rôle en développant ses capacités de délégation et ses habiletés à donner plus facilement des encouragements à ses collaborateurs. Sur le site SlideShare, Paul trouve d’abondants contenus proposant de très courtes formations. Après un rapide tri, il trouve plusieurs milliers de formations très brèves.
Paul a franchi une étape de son développement en passant de la connaissance à l’application et du concept à la pratique. Il a ainsi compris certaines règles informelles pour développer de nouveaux comportements de gestion.

Exemple 3 : Se tenir à jour et se perfectionner

Kenza est une jeune ingénieure en génie des matériaux. Elle doit préparer une étude de marché dans le domaine de l’environnement. Connectée sur le réseau social LinkedIn, elle s’est inscrite à différents groupes de discussions qui ont trait aux énergies renouvelables. Grâce à ces groupes, elle peut suivre les tendances, étudier les questions et les réponses ou discuter avec d’autres internautes. Elle fait de même sur certains blogues et s’est initiée au « microbloging » sur Twitter avec des spécialistes de son domaine. Les conversations peuvent donc être mises sur la page d’accueil de son navigateur avec les fils d’information RSS.
Kenza a ainsi passé du stade application à la mise en adéquation de ses connaissances. Elle sera également à même de résoudre des problèmes avec l’aide des autres membres.

Exemple 4 : Devenir mentor ou offrir du coaching d’apprentissage

Michel est responsable des approvisionnements pour une équipe répartie sur plusieurs sites. Il cherche à transmettre ses connaissances à son équipe qui grandit rapidement. Il a donc pensé utiliser les applications collaboratives de « cartographie cognitive » comme Mindmeister. Il pourra ainsi transférer ses connaissances, mais aussi créer des espaces d’apprentissages où chacun pourra ajouter ce qu’il connaît. Excellent pour mémoriser, l’outil aide les apprenants à formaliser un savoir collectif. Il aura le choix aussi d’utiliser un Wiki ou un blog WordPress ou Blogger pour capitaliser ses connaissances.
Michel aide ses employés à penser et à se professionnaliser. Il formalise son savoir pour le transmettre à des employés de différentes générations, qui ne possèdent pas nécessairement les mêmes connaissances que lui.
Michel pourrait aussi cumuler toutes les applications précédemment citées pour devenir un gestionnaire formateur. Il pourra ajouter des « vidéocaptures d’écrans », des présentations et partager certains comptes Twitter qu’il juge pertinents pour son équipe. Il pourra le faire en les inscrivant dans ses favoris sur Del.icio.us (Social Bookmarking), en clavardant avec Skype ou en affichant les liens RSS (syndication de contenu) dans une page publique de l’application Netvibes qu’il partagera avec ses nouveaux employés. Il sera également en mesure d’utiliser très facilement Yammer pour se créer un site de « microbloging » privé pour son entreprise.

Être formé en 140 mots, est-ce possible?

Bien sûr que non pour des savoir-faire complexes. Toutefois, les « micro-apprentissages », les « micro-contenus » composés de quelques mots répondent à un besoin d’apprendre en continu ou « juste à temps ». Les hyperliens auxquels ils nous renvoient parfois sont toujours la porte d’entrée pour des contenus plus conséquents et plus réflexifs.
Les « micro-apprentissages » sont disponibles dans tous les domaines, que ce soit le développement personnel, les langages et outils informatiques, les langues ou encore les techniques et les métiers. Les contenus se multiplient exponentiellement, se démocratisent et sont très rapides. Plus ils sont accessibles, plus se former devient la responsabilité du travailleur, quelle que soit la génération ou le stade de développement.
Les organisations quant à elles se servent des « micro-apprentissages » interactifs avant et après les formations classiques ou en techniques de formation d’appoint. Elles combinent les méthodes traditionnelles que sont les formations en classe, le jumelage, le mentorat, le coaching, les groupes de discussion ou encore les communautés de partage de connaissances avec ses nouvelles méthodes afin de prolonger les effets d’apprentissage. Avec le Blended Learning, les organisations créent ainsi les occasions d’apprendre informellement et d’apprendre en continu. Déjà des SMS et des applications sont disponibles sur votre iPhone. Des textes courts sont sur votre Kindle. Et des capsules vidéo ou jeux-questionnaires sont sur votre table IPad. Ces micro-contenus font le travail du pédagogue d’hier.

Développement accéléré recherche structure et adhésion

Du côté des organisations :
On le voit, les micros-contenus deviennent une tendance lourde dans le développement professionnel. Le rythme rapide des changements, l’évolution des technologiques, des processus et de la réglementation, l’obsolescence des connaissances, la décentralisation dans les équipes projets sollicitent une offre renouvelée de micro-contenus de formations.
Du côté des éditeurs et formateurs :
Il n’a jamais été aussi facile d’éditer du contenu pédagogique multimédia, de le diffuser à tous, de le partager et de l’enrichir collaborativement. Du tweet à l’encyclopédie collaborative en passant par le livre édité sur Itunes, tout est possible.
Du côté des apprenants :
Que ce soit seul dans son salon ou en groupes ouverts sur l’internet, les outils et les supports se multiplient. La connaissance n’est donc plus exclusive à certains experts ou pédagogues. L’enjeu n’est plus l’accessibilité puisque même les grandes universités offrent leur cours en ligne (MOOC) et pour certaines sans inscription !
Avec les apprenants, les enjeux sont la gestion des temps d’apprentissage, la mise en cohérence de contenus de qualité avec des objectifs précis de formation professionnelle et la participation collaborative pour sortir d’une logique de consommateur assisté à celle de partie prenante d’une co-création pédagogique.
Ainsi, l’avenir du développement professionnel est moins dans les contenus que dans la structuration de l’offre. La sélection et l’orchestration de contenu de qualité doivent offrir des parcours cohérents et qualifiants. Dans un un futur proche, ces contenus pourraient offrir une reconnaissance et une progression pédagogique. Le risque de fragmentation de certaines formations plus fondamentales est possible si les programmes n’assurent pas une cohérence et une mise en pratique par la simulation, les études de cas, les projets de terrain et les expérimentations.
Enfin, il s’agit de familiariser les employés à utiliser les micro-apprentissages et les faire adhérer à l’efficacité de la formule. Les attentes avec une formation traditionnelle en salle changent à l’égard du pédagogue mais restent tenaces dans l’attente d’un moment précis dédié à de la formation. Se connecter aux bonnes sources, comprendre la valeur d’un micro-contenu pertinent pour leur travail, encourager le partage et la diffusion ou même la création de micro-contenus adaptés à leur réalité demeure un enjeu majeur.

Plus : http://futurstalents.wordpress.com/2013/05/28/les-micro-apprentissages-developpement-professionnel/http://futurstalents.wordpress.com/2013/05/28/les-micro-apprentissages-developpement-professionnel/

mardi 2 juillet 2013

Comment réussir son entretien d'embauche ?

Edité par
 





CVLes perspectives restent sombres pour les jeunes qui cherchent un poste pour la rentrée. / Crédits : TF1/LCI

L'entretien d'embauche est si important dans le processus de recherche d'emploi, qu'il est impératif d'être dans les bonnes conditions avant, pendant et après le rendez-vous. Voici quelques conseils pour le réussir au mieux.
Que dois-je faire avant l'entretien ?
  • - Préparez l'entretien. Faites l'inventaire de vos qualités, en cohérence avec le poste proposé. Vous devez aussi impérativement connaître l'entreprise dans sa globalité (activité, historique, etc.). Il est possible que l'employeur vous présente la société au cours de l'entretien, dans ce cas-là, montrez que vous connaissez l'entreprise, sans trop en faire.
  • - Arrivez avec quelques questions à poser.
  • - Apprenez à vous présenter en deux-trois minutes. Entraînez-vous auprès d'une personne ou devant un miroir.
  • - Soignez votre look.
  • - Repérez le trajet et calculez le temps. Cela évitera les mauvaises surprises le Jour J.
  • - Arrivez en avance pour être calme et détendu.
  • - Observez les lieux et les gens dans l'espace d'attente. Cela permet d'avoir des informations et une première impression sur l'entreprise.
Que dois-je faire pendant l'entretien ?
  • - Saluez votre interlocuteur d'une poignée de main ferme (sans pour autant lui casser la main), regardez-le en face.
  • - Ayez une attitude professionnelle. Tenez-vous droit, asseyez-vous dans le fond de la chaise et souriez (quand c'est nécessaire !).
  • - Ne lisez pas votre CV. Vous devez le connaître par cœur.
  • - Mettez-vous en valeur, sans trop en faire.
  • - Soyez "vrai" et sincère. Bannissez le superficiel.
  • - Montrez-vous ouvert durant l'entretien et proposez des alternatives lorsqu'il y a "blocage".
  • - Prenez-le temps de répondre aux questions.
  • - Evitez de couper la parole. C'est votre employeur qui mène l'entretien, pas vous.
  • - Posez des questions, lorsque votre interlocuteur vous le demande.
  • - Demandez des précisions sur votre futur poste (type de contrat, salaire).
  • - Evitez les termes négatifs "désolé", "je n'ai pas", etc.
  • Quelles sont les questions fréquentes posées au cours d'un entretien ?
  • - Parlez-moi de vous.
  • - Pour quelles raisons avez-vous postulé chez nous ?
  • - Pourquoi pensez-vous convenir à ce poste ? Qu'avez-vous de plus qu'une autre personne ?
  • - Pourquoi avez-vous choisi cette formation ?
  • - Quels sont vos qualités, vos défauts ? Cette question est redoutable. Donnez trois qualités et trois défauts dans un cadre strictement professionnel. Concernant les défauts, faites preuve de malice. Prenez des qualités et transformez-les en défauts.
  • - Quelle expérience vous a le plus marqué ?
  • - Avez-vous autres choses à ajouter ?
Que dois-je faire après l'entretien ?
- Arrivé chez vous, envoyez un message de remerciement à l'employeur et réitérez votre intérêt pour le poste.
  • - Essayez de suivre votre candidature. Dans certains cas, l'embauche peut prendre un certain temps.
  • - Faites des relances, cela montre votre motivation.
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