Traduction

vendredi 6 septembre 2013

Comment se faire repérer par un cabinet de recrutement

« J'ai été chassé par un cabinet de recrutement ! » Qui n'a jamais rêvé de prononcer cette phrase un jour ? La bonne nouvelle, c’est qu’avec quelques techniques simples, on peut aisément forcer son destin professionnel.
Le métier de chasseurs de têtes est connu, mais mal. « On sait peu de choses fondées sur cette profession qui repose sur l'exercice de la confidentialité et de la discrétion, reconnaît Philippe Haustête, auteur du Guide des chasseurs de têtes et des cabinets de recrutement. Ce qui a pu générer dans l’imagerie populaire, une aura, une impression faite de mythe et de mystère, de légende et de secret : à tort. » Car en définitive, quelle mission va lui confier une entreprise ? « Par le biais de canaux que le chasseur de tête choisira, il identifiera les personnes susceptibles de répondre au besoin de son client. » Ce qui n'empêche pas les candidats d'augmenter leur visibilité auprès d’eux de plusieurs façons.
Comment se faire repérer par un cabinet de recrutement" Ceux qui sont en recherche d'emploi se dévalorisent plus facilement et hésitent parfois à appeler les cabinets de recrutement. Ils ont tort."

Favoriser la cooptation grâce à son réseau

Elle n'avait jamais rencontré cette candidate de sa vie. Pour son dernier recrutement, Nadia Boutaleb, chasseuse de tête au sein du cabinet AlterView Conseil à Lille et spécialisée dans les métiers de la comptabilité, de la finance et de la gestion, a eu recours à la « bonne vieille cooptation ». « Le profil qui m'intéressait avait déjà trouvé ailleurs et, dans le fil de la conversation, il m'a parlé spontanément d'une collaboratrice que je n'aurais jamais identifiée autrement. Elle débutait à peine sa recherche de poste et n'avait envoyé ni posté en ligne aucun CV. J'ai donc appelé cette personne qui m'avait juste simplement recommandée et elle a parfaitement fait l'affaire. »
Que vous soyez en poste ou non, ce recruteur conseille aux candidats en quête de nouveaux horizons, de le faire savoir - habilement - autour d'eux.  « En marge des réseaux “officiels”, le réseau, c'est avant tout un échange qui commence avec ses collègues de travail, confirme Franck Fiszel, coach et fondateur du club Cap Avenir Réseau. Toutes les occasions sont bonnes, comme les séminaires professionnels ou les réunions d'anciens de son école. Laissez entendre que vous cherchez de nouveaux horizons. On n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise... »
 

Soigner sa présence en ligne

Il faut aussi penser à son réseau 2.0. « Pour moi, le virtuel n'a pas encore pris le pas sur le réel, indique Nadia Boutaleb. Mais il faut quand même soigner sa présence en ligne. » Comme tous les recruteurs, les chasseurs de têtes font eux aussi leur marché sur Internet. « Je privilégie Viadeo pour les recrutements dans les petites métropoles et LinkedIn pour les profils plus dimensionnés, voire internationaux.  Je me rends aussi sur les CVthèques comme celles de Keljob et Cadremploi. »
Son conseil aux candidats ? Veiller à la cohérence des différents profils en ligne et, surtout, rafraîchir son CV régulièrement dans les CVthèque pour toujours apparaître dans les profils les plus récents. Il est également recommandé de soigner quelques mots-clés. Philippe Haustête confirme et insiste sur certaines informations comme la mobilité. « Énoncez-là toujours dès le départ, y compris sur votre CV », conseille-t-il. Ou encore les langues étrangères car « cela sera pour vous un facteur de différenciation important. »
Évidemment, certains conseils semblent plus délicats à appliquer pour des candidats encore en poste et peu désireux d'éveiller la curiosité de leur DRH. Nadia Boutaleb leur suggère une idée. « Il n'est pas rare de voir certains profils volontairement discrets sur leur expérience en cours et qui ne postent leur CV qu'avec leur prénom, l'initiale de leur nom et une adresse mail dédiée à leur recherche. Nous comprenons et respectons ce désir de confidentialité. »
 

Appeler certains cabinets directement

Mais le meilleur moyen d'être discret reste encore... de se manifester directement auprès de certains cabinets. Ils sont faciles à trouver : Philippe Haustête en a référencé, à lui seul, quelques centaines. « Il faut dissiper certains fantasmes sur la profession, sourit Nadia Boutaleb. La plupart des cabinets sont faciles à trouver et disposent même, pour certains, d'une CVthèque propre, voire d'annonces en ligne. » Les candidats, en poste ou pas, peuvent alors envoyer une candidature ou contacter ces cabinets en toute sécurité. Car dès lors, la confidentialité, inhérente à la déontologie de la profession sera respectée. « Tout le monde peut appeler, en poste ou pas. C'est plus facile quand on a encore un emploi car on dispose d'une certaine zone de confort. Ceux qui sont en recherche d'emploi se dévalorisent plus facilement et hésitent parfois un peu. Ils ont tort. » Une seule condition, pour ne pas se discréditer : cibler la recherche et identifier le cabinet le plus pertinent dans son secteur et sa zone géographique. Autrement dit : ne pas chasser tous azimuts...

http://www.keljob.com/editorial/chercher-un-emploi/mener-sa-recherche-demploi/detail/article/comment-se-faire-reperer-par-un-cabinet-de-recrutement.html#xtor=CS2-1001

jeudi 5 septembre 2013

Europe : jouer à "Angry Birds" est bon pour l'emploi

Europe : jouer à "Angry Birds" est bon pour l'emploi
© Dougbellshaw/Flickr

Le jeune marché européen des applications mobiles a déjà contribué à créer près de 800 000 emplois, selon une étude parue le 4 septembre. Un domaine dans lequel l’Union européenne peut faire encore mieux, estiment les auteurs du rapport.

Par Sébastian SEIBT (texte)
Quel secteur d’activité a contribué, en ces temps de morosité économique, à la création de 794 000 emplois de façon directe ou indirecte en cinq ans dans l’Union européenne (UE) ? Celui des applications pour smartphones et tablettes tactiles, d’après l’Association for Competitive Technology (ACT), un lobby américain de développeurs de ces petits logiciels qu’on peut télécharger sur son téléphone. L'organisation a présenté mercredi 4 septembre, à Bruxelles, l’une des premières études, réalisée par les cabinets Vision Mobile et Plum Consulting, à évaluer l’impact économique dans l’UE de ce secteur depuis la création des premiers “App stores” en 2008.
Dans le détail, cette jeune industrie, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 10,2 milliards d’euros en 2012 dans l’Union européenne, a permis la création de 529 000 emplois directs (développeurs, marketing, graphistes) et de 265 000 emplois indirects dans d’autres branches comme les médias, l’éducation ou la santé. “C’est une sacrée performance pour un secteur qui n’existait même pas il y a encore quelques années”, a commenté Neelie Kros, vice-présidente de la Commission européenne et responsable de l’agenda digital de l’UE.
Et les auteurs de ce rapport prédisent encore quelques lendemains qui chantent. “Nous pensons que ce secteur va croître d’environ 10% encore pendant deux ou trois ans avec le développement de nouvelles technologies telles que la 4G et des appareils de plus en plus perfectionnés”, prévoit Brian Williamson, l’un des co-auteurs de l’enquête et associé à Plum Consulting, contacté par FRANCE 24.
22% du marché mondial
Certes, l’ACT a tout intérêt à peindre en rose la situation de cette industrie. “C’est vrai que 800 000 emplois, cela peut paraître beaucoup, surtout si on le compare aux 600 000 que le secteur a contribué à créer aux États-Unis, qui restent tout de même le pays en pointe dans ce domaine”, reconnaît à FRANCE 24 John Breslin, responsable du projet européen Eurapp qui étudie pour le compte de l’UE l’économie des applications pour mobiles. Ainsi, avec 22% de la production mondiale d’applications pour smartphones, l’Europe est loin derrière les États-Unis (42%), tout en devançant encore l’Asie (18%).
Pour autant, ce spécialiste juge l’impact en terme d’emplois “réaliste”. “Si on compare les populations [500 millions en Europe et 314 millions aux États-Unis, NDLR], et en se fondant sur ce que nous avons pu observer jusqu’à présent, ces estimations me semblent sérieuses”, souligne le responsable d’Eurapp qui doit sortir prochainement sa propre étude sur la question. Il souligne, en outre, que certaines des plus belles success-stories du secteur, notamment dans le jeu vidéo pour smartphones, telles que le Finlandais Rovio et ses "Angry Birds" ou le Français Gameloft, viennent du Vieux Continent.
Reste que les auteurs du rapport appellent à ne pas s’en tenir aux acquis. Certes, le syndrome Nokia, le géant déchu des télécoms qui après cinq ans de descente aux enfers économiques vient d’être racheté par Microsoft, ne menace pas pour l’heure ce secteur. Mais au vu de la vitesse à laquelle les technologies évoluent, l’étude demande à Bruxelles de prendre les devants pour éviter un décrochage avec les États-Unis ou de se faire rattraper par l’Asie. “La priorité devrait être d’étudier les réglementations secteur par secteur dans chaque pays pour les adapter à l’ère de la mobilité”, affirme Brian Williamson. Ainsi des incitations pour utiliser des applications pour smartphones dans le domaine de l’éducation ou de la santé pourraient favoriser les créations d’entreprises. Une plus grande flexibilité du marché du travail permettrait également à des start-up de se développer plus facilement. “Aujourd’hui, une jeune entreprise va hésiter à embaucher car en cas de difficultés financières elle aurait du mal à licencier des salariés”, souligne Brian Williamson.
John Breslin, de son côté, identifie d’autres priorités. “Les chefs d’entreprise que nous avons interrogés se plaignent surtout d’avoir du mal à trouver des fonds ou certains profils techniques à recruter”, souligne-t-il. Pour lui, il faudrait donc avant tout inciter les investisseurs et les banques à prêter davantage à ces jeunes entreprises et développer des formations mieux adaptées au marché.

http://www.france24.com/fr/20130905-emploi-europe-apps-smartphone-eurapp-act4apps-rapport-start-up?ns_campaign=editorial&ns_source=twitter&ns_mchannel=reseaux_sociaux&ns_fee=&ns_linkname=20130905_emploi_europe_apps_smartphone_eurapp_act4apps&utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

mercredi 4 septembre 2013

Franchise sociale : La Dcompte: Pourquoi les États-Unis veulent la guerre contre l...

Franchise sociale : La Dcompte: Pourquoi les États-Unis veulent la guerre contre la syrie : Deuxièmement :   Économiquement, le capitalisme mondial est dans la cinquième année de sa plus profonde crise depuis la Grande dépression, ...

Qu'en pensez-vous ?

http://franchisesociale.blogspot.fr/2013/09/pourquoi-les-etats-unis-veulent-la.html

Twitter et Jacques Froissant, CEO du cabinet de recrutement Altaïde

Franchise sociale : La Décompte: Pourquoi les États-Unis veulent la guerre contre l...

Franchise sociale : La Décompte: Pourquoi les États-Unis veulent la guerre contre l...: Deuxièmement :   Économiquement, le capitalisme mondial est dans la cinquième année de sa plus profonde crise depuis la Grande dépression, ... franchise sociale, emploi, business social, économie sociale et solidaire

Osez pensez et agir autrement

François Bouteille a créé le cabinet "L'art et la matière" après avoir occupé durant plus de 30 ans des fonctions de cadre dirigeant puis de directeur. Il conseille les dirigeants d'entreprise en qualité de consultant. Sur son blog vous trouverez des conseils sous le titre - Apparté Osez pensez et agir autrement - de l'article 1 à 158, autant de supports de réflexion nécessaires pour réussir son projet.

http://www.francoisbouteille.typepad.com/

vers une généralisation de l'aide au poste modulée ...



lundi 2 septembre 2013

Jean-Philippe Brun
" Un homme, une voix. "
Enghien-les-BainsFrance
Bonjour,

@ Localtis Info | 30.08.13 | by Michel Tendil | Insertion par l'activité économique : vers une généralisation de l'aide au poste modulée ...

|La réforme du financement des structures d'insertion par l'activité économique entrera en vigueur début 2014. Elle passera par une "aide au poste modulée", composée d'un montant socle variable en fonction de la nature des structures et d'une part modulable en fonction des publics, des missions et des résultats.|

Promise de longue date, la réforme du financement des structures de l'insertion par l'activité économique (IAE) est sur la point d'aboutir. Depuis des années, ces structures (entreprises ou associations), qui emploient quelque 120.000 personnes, se plaignent que leur mission d'insertion ne soit pas couverte par les financements publics. Ce que le Grenelle de l'insertion avait déjà mis en lumière… en 2008 !

Dans un bilan remis au gouvernement au mois d'avril, l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l'Inspection générale des finances (IGF) ont enfoncé le clou : manque de lisibilité, empilements des financeurs (Etat, collectivités et Europe) et des modes de financement (aides au poste pour les entreprises d'insertion et de travail temporaire, aides à l'accompagnement pour les chantiers d'insertion et les associations, contrats aidés, FSE, exonérations...).

Dans la lignée de ce rapport, Christiane Demontès, sénatrice du Rhône et nouvelle présidente du Conseil national de l'insertion par l'activité économique, a remis ses pistes de réforme au Premier ministre, au cœur de l'été. Qualifiant ce travail de "remarquable", Jean-Marc Ayrault a demandé aussitôt à ses ministres de préparer les textes permettant de mettre en œuvre les recommandations du CNIAE. Selon le ministre délégué à l'ESS Benoît Hamon, "ces orientations devraient trouver une première traduction au cours du second semestre 2013".

Concrètement, la sénatrice propose de généraliser l'aide au poste à toutes les structures quelle que soit leur nature, et de la moduler. Cette "aide au poste modulée" comprendrait un montant socle destiné à couvrir les frais liés aux missions d'insertion et un montant modulé, sorte de bonus pour les actions autres que les missions de base. La sénatrice propose en outre d'indexer les montants socles sur le Smic. Le montant de l'aide socle serait variable en fonction de la nature de la structure. : 10.000 euros pour les entreprises d'insertion (EI), 18.700 euros pour les ateliers et chantiers d'insertion (ACI), 4.250 euros pour les entreprises de travail temporaire d'insertion (ETTI) et enfin 1.300 euros pour les associations intermédiaires (AI). La part modulable tiendrait compte de trois critères : la situation des publics, les efforts d'insertion réalisés par la structure et les résultats obtenus (retour à l'emploi, entrée en formation…)...

... suite et fin de l'article de Michel Tendil, dans son contexte d'origine Localtis :http://tinyurl.com/pvlbuq8

(relayé par) JPh Brun

lundi 2 septembre 2013

Top language jobs

Bilingual People
Digital events and marketing manager, Bilingual People
London, Royaume-Uni
Language Recruitment Fair, Berlin, 14th September – Free tickets now available

Make a date in your diary to visit the Bilingual People Language Recruitment Fair in Berlin, at Marriott International Hotel on the 14th September!

This will be the 4th year we return to Berlin, offering you a chance to meet leading HR professionals and discuss employment opportunities with some of the largest recruiters in the UK and across Europe Face to Face.

The event offers bilingual and multilingual professionals access to hundreds of available positions from leading international companies and recruitment agencies based in Germany, and across Europe, in employment sectors such as Customer Service, Accountancy & Finance, IT, Sales, Marketing and Translating/Interpreting, plus many more.

If you are a bilingual or multilingual with the above languages and you are interested in finding a great job that meets your skills this is a ‘must-see’ event!!

Confirmed exhibitors include:

Top Language Jobs – Europe Wide
BASF – Germany
Infosys – Czech Republic
Northgate Arinso – Spain
Arvato Bertelsmann – Germany
PayPal – Ireland
Chiang Mai Lanna Business Services – Thailand
Delegate International Recruitment – UK
Concentrix – UK
ZIW Zeitarbeit GmbH – Germany
Booking.com – the Netherlands
Randstad Professionals – Germany
Sykes – Germany
IQPC – Germany
Shutterstock - Germany

Reasons why you should attend:

• The fair showcases National & International companies and recruitment agencies that are interested in recruiting people with language skills, both for positions in Germany, and also throughout Europe.
• There will be a wide range of positions across many industry specifications including Sales, Customer Service, IT, Tech Support, Accountancy/Finance, Marketing and many more
• You will be able to meet leading employers as well as Recruitment Agencies under one roof, saving you time and energy when looking for your new job!
• You will be able to talk to leading employers and agencies face-to-face and discuss a wide range of employment opportunities.
• Companies and Recruitment Agencies will be conducting interviews hoping to hire staff shortly after the event
• Bring your CV - this is essential and will be requested by most companies and recruitment agencies if you are interested in applying for active jobs

Free online entrance tickets for this event have now been released and will be allocated on a first come first serve basis.
For more information about the fair and to register for your FREE ticket visit:
http://www.bilingualpeople.de/candidate/register
We look forward to seeing you there!
Language Recruitment Fair, Berlin, 14th September – Free tickets now available

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