Traduction

Affichage des articles dont le libellé est web. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est web. Afficher tous les articles

jeudi 17 octobre 2013

mardi 15 octobre 2013

Un recrutement météoritique chez LG


Après Heineken et son fameux recrutement de stagiaire, c’est autour de LG de nous faire une belle video de recrutement à buzz. Plus de 9 millions de vues à ce jour pour ce recrutement que l’on va qualifier de « météoritique ». ;)


La video drôle sur le moment peut aussi être jugée d’un gout douteux. Se moquer des candidats dans le contexte actuel est-il pertinent ? Certes au départ c’est d’abord une publicité mais l’impact sur pour la marque employeur existe aussi. Je trouve la démarche Heineken plus subtile. A vous de juger !

Si vous voulez voir d’autres videos de recrutement réussies ou ratées le site de Qapa en propose quelques unes.

Pour revoir la video de recrutement chez Heineken c’est ici.

http://www.altaide.com/blog/un-recrutement-meteoritique-chez-lg/ 

lundi 30 septembre 2013

VIDEOS. Tous pour l'emploi : «Le Parisien»- «Aujourd'hui en France» se mobilise

«Le Parisien»-«Aujourd'hui en France» se mobilise pour l'emploi. Avec l'opération Tous pour l'emploi, en collaboration avec BFM Tv, chaque jour de la semaine retrouvez reportages, témoignages, conseils pratiques qui vous donnent les pistes pour identifier les secteurs, les métiers et les régions qui recrutent.

Catherine Gasté | Publié le 30.09.2013, 06h49
Chelles (Seine-et-Marne), le 8 novembre 2012. François Hollande à l’occasion de la signature des premiers contrats emplois d’avenir, destinés à lutter contre le chômage des jeunes.

Chelles (Seine-et-Marne), le 8 novembre 2012. François Hollande à l’occasion de la signature des premiers contrats emplois d’avenir, destinés à lutter contre le chômage des jeunes. | MaxPPP / Chesnot

Zoom
Inverser la courbe du à la fin de l’année… Tout juste élu en juillet 2012, a fait cette promesse. Malgré la hausse inexorable des demandeurs d’emploi, un chômage à plus de 10% explosant tous les records, lui et ses ministres s’entêtent. Chaque mois, ils martèlent : « On va y arriver car toutes nos forces sont tendues vers ce seul but. » Un message en boucle, comme pour conjurer le sort. Et faire taire les économistes rabat-joie, qui répètent à l’envi depuis des mois : pas de croissance, pas de baisse du chômage.

Alors s’inversera, s’inversera pas? Dans deux mois, une chose est sûre, François Hollande aura des comptes à rendre. « On est tout près du but », assure le chef de l’Etat. Et les 50000 chômeurs de moins en août sont « un chiffre encourageant » vu de l’Elysée.

Des métiers et des filières embauchent encore !

Hollande serait-il en train de gagner son pari? Une hirondelle ne fait pas le ont rétorqué les sceptiques. Pour qu’une inversion soit durable il faut qu’elle dure plusieurs mois. Et rien n’est moins sûr. Car le fait est que l’économie n’est pas en mesure, aujourd’hui, de faire baisser le chômage.

Alors d’où vient cette certitude présidentielle? Croissance ou pas, le gouvernement dispose d’un atout majeur : les contrats aidés qui vont tourner à plein régime d’ici à la fin de l’année. Une recette centrée sur le secteur non marchand (collectivités locales ou associations) et censée absorber une partie de la hausse du chômage quand les entreprises privées continuent à détruire des emplois. Mais ces fameux emplois aidés, de quoi s’agit-il précisément? Emplois d’avenir, contrat unique d’insertion, contrat de professionnalisation, contrat de génération, emplois francs… Comment ces dispositifs fonctionnent-ils? A qui s’adressent-ils? Dans le cadre de notre opération Tous pour l’emploi, menée avec BFMTV, notre journal vous aide à y voir plus clair et vous présentera tout au long de la semaine les diplômes, les métiers ou les filières qui constituent aujourd’hui un passeport pour l’emploi.

http://www.leparisien.fr/une/tous-pour-l-emploi-le-parisien-aujourd-hui-en-france-se-mobilise-30-09-2013-3182313.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter 

mardi 10 septembre 2013

Le premier forum libre et open source européen de Paris




jeudi 29 août 2013

Un réseau social est il un outil 1.0 dédié au monologue ou 2.0 au dialogue ?

jeudi 29 août 2013

 

Etes vous pret à vous connecter avec vos clients sur les réseaux sociaux ?
Lyon-Villeurbanne, France
Je viens de vivre une expérience intéressante sur l'usage des réseaux sociaux professionnels que je souhaiterai partager avec vous.

Je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience.

A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?

MONOLOGUE OU DIALOGUE : THAT IS THE QUESTION ?

Je suis allé poster sur un hub de ma région, dans un forum de discussion pour poser une question qui s'adressait aux entreprises :

- si elle considérait que leur présence sur les réseaux sociaux devait se faire sous la forme d'une communication classique 1.0, sous forme par exemple de communiqués de presse publiés quotidiennement (comme le journal les Echos, La Tribune par exemple),

- ou dédié au dialogue 2.0 par des forums, une sorte d'agora pour permettre une véritable participation et construction collective, favorisant des échanges de bonnes pratiques et à des actions collectives.

Il ne s'agissait qu'une question ?

Les résultats en quelques lignes :

Je n'étais pas le bienvenu, car l'administrateur du hub considéra vite qu'il est chez lui, et qu'il pouvait décider de parler de ce qu'il veut, lui convient ou non, et me demande même « d'arrêter cette discussion » dixit.

L'administrateur publie en effet, et c'est son choix, publie 3 à 4 communiqués de presse par jour (il n'y a que lui qui parle, aucun dialogue, ni partage 2.0), presqu'aucun commentaire sur la plus grande partie de ses posts, et voir même, on vous empêche même de lancer des discussions ou répondre à certains sujets, le comble ?

Certes, un petit nombre de membres de ce groupe conviennent que cela leur convient de seulement lire quelques communiqués de presse régulièrement et avouent ne pas pouvoir ni vouloir partager eux mêmes des informations, ou venir échanger.

C'est comme s'ils feuilletaient un journal.

Voici un constat personnel qui semble expliquer le peu d'activité sur les réseaux sociaux.

Car je me demande aussi, si l'on fait bien la différence entre :

- un site internet, un blog, un site de curation de contenus d'informations (comme l'AFP, Les Echos ou Scoopit...) qui peut diffuser régulièrement des communiqués de presse,

- un réseau social qui permet justement d'être une véritable agora, ouverte, tolérante

LES MARCHES SONT DES CONVERSATIONS

Il me semble que les réseaux sociaux, sont des outils 2.0, c'est à dire participatif, permettant justement les discussions, qui deviennent des communications multilatérales. C'est le destinataire du message qui discute, et qui parle de l'entreprise et de la marque.

Un réseau social permet à une entreprise de se faire re-connaitre, et non de se faire connaitre par de la pub.

L'entreprise ne doit pas se faire connaitre sur les réseaux sociaux par des communiqués de presse, de la publicité, mais se faire reconnaître par des conversations, c'est à dire recommander et faire en sorte que l'on parle de soi par l'animation des échanges autour de centres d'intérêts.

Je pense donc que cette pratique de monologue peut être à l'origine des désaffections des réseaux sociaux par les entreprises.

Car les entreprises ne pourront pas consacrer leur stratégie et leur budget communication pour être présent sur les réseaux, et n'avoir pas plus de 10 lectures pour leur posts et sans aucun commentaires ce qui peut avoir des conséquences au niveau de l'image de marque, de leur e-reputation de l'entreprise.

Le rapport investissement temps/rentabilité est contre productif et dissuadera les entreprises d'investir les réseaux sociaux professionnels.

Surtout que l'image de marque, l'e-reputation de l'entreprise en question peut être atteinte.

Qu'en pensez vous ?

NB : Je le rappelle, je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience et d'une interrogation que je souhaite partager.

A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?

Au moins, sur ce groupe, je sais que j'aurai le droit de m'exprimer librement sur ce que je pense.


Quand "Censure tu nous tiens" ?
 
 

vendredi 23 août 2013

Recherche d’un emploi : 33 causes d’échec les plus fréquentes à éliminer d’urgence

Article rédigé par   |  31 réactions

breaststroke

Découvrez les causes le plus souvent identifiées dans les échecs de recherche d’emploi

Les raisons d’échecs qui dépendent de vous sont nombreuses. C’est  une bonne nouvelle, car vous pouvez agir sur celles-ci.
Celles qui reviennent le plus couramment, partant du principe que leur gravité augmente avec leur nombre sont les suivantes :
  1. Le manque d’un but bien précis
  2. Le manque d’ambition
  3. Le manque de formation
  4. Le manque de maîtrise de soi. Avant  de maîtriser les circonstances, vous devez vous contrôler vous-même
  5. La mauvaise santé :  la vraie réussite appartient à celui qui est en bonne santé. La maîtrise de soi peut éliminer pas mal de maladies dont une alimentation trop riche
  6. L’habitude de penser négativement
  7. L’excès de prudence
  8. L’hésitation et le manque de persévérance
  9. Une personnalité négative qui repousse
  10. Le manque de décision et l’ajournement : préfèrer le compromis au combat, s’accommoder des difficultés au lieu de les vaincre, subir le chômage plutôt que d’exiger l’emploi
  11. La peur sous toutes ses formes, elle détruit vos atouts et dégage des ondes destructrices aux esprits de ceux qui vous entourent
  12. L’habitude de vous contenter des miettes des autres, l’indifférence à ce qui arrive : d’un poste modeste et d’un petit salaire
  13. L’erreur de vocation et la persistance
  14. La dispersion des efforts:  se concentrer sur un but unique
  15. L’habitude de dépenser sans compter
  16. Le manque d’enthousiasme
  17. L’intolérance, un  étroit d’esprit ne va jamais loin
  18. Un  poste non acquis par vos propres efforts
  19. L’égoïsme et la vanité, incompatibles avec le succès
  20. La paresse
  21. L’oubli de son  libre- arbitre :  mieux vaut juger par soi-même la réalité au lieu d’adopter les opinions toutes faites
  22. La mauvaise connaissance de soi. Pour bien vous vendre vous devez bien vous connaître
  23. Vouloir être payé pour ce que vous savez et non pour ce que vous faites
  24. Le manque d’imagination
  25. Le manque de loyauté
  26. La recherche d’un titre
  27. L’impossibilité de définir ce que vous voulez
  28. L’habitude de laisser les autres prendre la décision à votre place
  29. Le contentement de soi
  30. Négliger la chance qui se présente
  31. Souhaiter au lieu de vouloir
  32. Faire des compromis avec le chômage au lieu de vouloir un poste
  33. La peur d’être critiqué et du qu’en-dira-t-on

http://www.cadresetdirigeants-magazine.com/trouver-emploi-cadre/reussir-recherche-emploi/trouver-un-job/?goback=.gmp_3607825.gde_3607825_member_255889761

mercredi 21 août 2013

Métiers du digital : "les réseaux sociaux ont changé la donne"

 par Jacques Froissant (Altaïde)

 
 
 
 
 
 

tablet-largeIl y a 15 jours, je me rendais à la soirée blogueurs dite “Social drink up” de Adobe dans les superbes locaux de la maison du Danemark sur les Champs Elysées. La premère présentation fut celle de notre ami Jacques Froissant d’Altaïde qui nous a dressé un portrait particulièrement intéressant et éclairant en ces temps de crise de l’emploi, des nouveaux métiers du digital
Voici mes notes, prises en cours de réunion, sur ma précieuse tablette (et d’autant plus précieuse qu’elle me fut volée quelques jours plus tard). Grâce à Evernote, et au cloud computing, les voici sauvegardées, ressuscitées et commentées :
Les nouveaux métiers du digital en 2013
Jacques a “fait une étude quali en début d’année.  Il est dans les métier du recrutement depuis 20 ans et travaille avec les clients sur le digital depuis que sa société existe. ALTAIDE a été créée en 2008 et est spécialisée sûr les métiers du digital.
Evernote Snapshot 20130625 195421
Photo : Jacques Froissant lors de sa présentation à la soirée Adobe
Les facteurs de changement principaux, issus de cette étude, ont été décrits comme suit par Jacques Froissant :
  • Facteurs technologiques : accélération des technos ; il est possible de monter un site e-commerce très rapidement avec très peu de monde. Des standards sont en train de se dégager ;
  • Les réseaux sociaux ont changé la donne
  • Il y a aussi des facteurs sociétaux même si Jacques n’aime pas parler de génération Y. Le mélange de vie perso et pro est partout et il y a une volonté d’avoir un équilibre de vie plus important. On trouve partout cette Culture du web avec partage de l’instantané et on apprend beaucoup par le partage ;
  • Les cycles sont courts dans le digital et i ly a beaucoup de projets jetables; un projet à moyen terme c’est 18 mois “car penser à 10 ans comme avant ce n’est plus possible”. En conclusion, “les visions sont assez court-termistes” ;
Quelles conséquences sur les métiers du digital ? C’est là qu’on apprend le plus de choses, notamment sur la spécialisation de ces métiers, avec une hyper segmentation très pointue. Pas étonnant que les recruteurs “standard” et les DRH soient complètement perdus et aient tendance à se rassurer avec des choses connues – et donc des choix souvent assez approximatifs. A leur décharge, cet environnement devient de plus en plus difficile à lire pour les néophytes, d’où les cabinets spécialisés comme celui de Jacques. Voici les tendances :
  • Fort développement des freelances et des indépendants même dans des périodes où c’est difficile comme en ce moment, les freelances sont accrochés à ce statut car ils y trouvent aussi un équilibre de vie et une indépendance forte ;
  • Spécialisation forte des fonctions marketing digital (il n’y a plus besoin de généralistes) “On ne peut plus être directeur digital si on ne s’intéresse pas à la techno” a ajouté Jacques. “Car sinon, on ne pourra pas être à l’écoute des innovations. Il faut un vernis techno. Et notamment bien connaître les réseaux sociaux et savoir ce qu’on y fait” …
  • Le contenu est et reste le roi, les évolutions récentes de Google ne font que renforcer ces points ;
  • Les sites ecommerce sont de plus en plus drivés par les dataet le "data analyst" est la future star. C’est l’avènement du “big data” dont nous parlons souvent sur ce site pour en décrypter les tendances et le vrai du faux ;
  • “Il y a pénurie de postes experts dans les domaines : technos (java, php, .net, mobile) et spécialistes (SEO, SEM, data analysts, social, CRM…)”. Cette pénurie est durable et il est difficile de recruter ;
  • Il manque 50.000 environ développeurs en France ! “Si on les avait on pourrait tous les embaucher” a ajouté Jacques. “Il faudrait 59 écoles de Xavier Niel car le march” est de plus en plus demandeur” précise-t-il ;
  • La proximité de l’équipe technique et du marketing est indispensable donc les technos ne peuvent être à l’autre bout du monde, c’est bon signe pour ceux qui craignent la disparition de ces métiers et leur départ en Inde.

Quelles sont les fonctions digitales de demain ?
  • Le marketing de l’innovation (toutes les fonctions d’innovation) est au premier rang, ce qui va réjouir les lecteurs de Marketing & Innovation ;
  • La gestion de la marque : on l’a toujours fait mais cela change aujourd’hui et il y a des postes qui se développent autour de cette fonction qui prend de plus en plus d’importance ;
  • Le Story telling de contenu qui fait l’objet d’un développement parOlivier Cimelière dans notre futur ouvrage La communication digitale expliquée à mon boss
couverture_V3_com_digitale-
  • Les fonctions de Marketing relationnel : gestion de l’expérience client (ergonomie), social marketing, CRM fidélisation, digitalisation des points de vente … encore des sujets phares de ce blog, décidément, si vus cherchez un boulot, vous savez à quelle lettre d’infos il faut s’abonner ;
  • Buzz management (bon et mauvais) : l’essor des buzz et leur importance, en positif et en négatif, font qu’ en tant que manager on se doit de prendre en compte plusieurs phénomènes :
  • Les profils digitaux sont des passionnés et il faut parler d’agilité intellectuelle. Un manager aujourd’hui doit être capable d’orchestrer et embrasser de plus de métiers différents et devenir des veilleurs ;
  • Tous entrepreneurs : “si l’on n’est pas proactif on recule très vite”. Il faut donc de l’audace et de la créativité. La culture web est la culture de la version bêta. On sort d’une culture industrielle et on rentre dans une culture du test permanent.
  • Être curieux
  • Gérer l’incertitude et apprendre à faire et défaire … Et gérer les frustrations si le contexte a changé.
Que faut-il retenir ?
En résumé, nous dit Jacques, “la passion est importante”
  • Comment recruter digital ?
  • Les outils ont énormément évolué. L’approche recrutement d’Altaide est très proche du contenu digital (contenus, médias sociaux …)  ;
  • Les RH doivent aussi se transformer. Il faut devenir Community manager / recruteur  ;
  • La responsabilité du recrutement est aussi remise dans les mains des cadres. Il n’y a pas mieux qu’un directeur digital pour trouver un autre directeur digital ;
  • Il faut aussi rentrer dans une démarche d’auto-apprentissage ;
  • Présentation sur slideshare (voir ci-dessus) : il y a aussi des métiers qui vont disparaître (page 12/34 : “Leviers marketig externes (street,licences, …) Mécénat/Charity management) voilà des sujets qui mériteraient d’être creusés … ;
  • “Les RH dont démunis car ils  ne connaissent pas les profils et ils ont du mal à définir les fiches de postes sur les métiers qu’ils ne connaissent pas. Ils ont du mal à suivre les impacts et sont ignorants de ces métiers là”. C’est pour cela que ce sont souvent lesopérationnels qui recommandent ALTAIDE car les DRH ne connaissent pas le processus de recrutement et les critères d’évaluation de ces métiers. Il n’y a pas de filières de formation même si certaines se mettent en place. Et il y a des choses surprenantes comme “des gens de 22 ans et qui ont huit ans d’expérience en référencement” nous explique Jacques.
En conclusion, c’est à uune transformation radicale du paysage du recrutement que nous assistons, ausis bien du côté du marché que des RH, avec des impacts prévisibles à très court terme sur les formations et notamment les spécialisations en MBA sur le digital que nous voyons fleurir ici et là, comme à Mines Paristech, et à ESG, nous aurons bientôt l’occassion d’en reparler.

http://visionary.wordpress.com/2013/07/11/mtiers-du-digital-les-reseaux-sociaux-ont-change-la-donne-par-jacques-froissant-altaide/

vendredi 16 août 2013

Le numérique et son apprentissage, un remède contre le chômage


Si l'on en croit le dernier baromètre semestriel de l’Innovation Syntec Numérique réalisé par BVA, les éditeurs de logiciels sont en train de reprendre confiance, mais restent toutefois prudents.

En effet, la majorité des éditeurs (55%) ont confiance en l'avenir et sont à peu près rassurés quant à la situation du secteur. 55%, c'est bien, mais c'est aussi l’un des plus bas niveaux atteint depuis la création de ce baromètre. Les éditeurs se disent pourtant prêts à investir et anticipent dans 67% des cas de nouveaux projets dans les trois mois à venir.

"Le numérique est l'un des secteurs traditionnellement les plus porteurs de notre économie" souligne Bruno Vanryb, Président du Collège Editeurs de Syntec Numérique. "Mais pour que ces entreprises participent à la résorption du chômage, il faut donner les moyens à notre secteur de jouer son rôle de locomotive de notre économie. Il n’y a pas que les aides ou la fiscalité comme levier de soutien au numérique : agir sur la formation de nos jeunes, afin qu’ils s’orientent naturellement vers les secteurs en croissance qui sont en pénurie de main d’œuvre qualifiée, et faciliter leur embauche à travers divers dispositifs, de l’apprentissage à la formation continue, est aussi important qu’un crédit d’impôt ! Cela permettra aux jeunes actifs de trouver facilement des débouchés d’emplois et à nos entreprises de continuer à se développer" insiste-t-il.

D'où l'idée de placer les logiciels et les outils numériques au coeur des apprentissages scolaires. Une grande majorité des français (77%) estime d'ailleurs "prioritaire" l’apprentissage des logiciels de bureautique courants et la mise en place d'une éducation civique au numérique, sur la protection des données et de la vie privée notamment (74 %). Pour 50% des français, la formation des professeurs aux outils numériques apparait donc comme essentielle. "Il serait peut-être temps de voir le numérique comme une compétence en tant que telle : une compétence qui permettrait d’orienter spontanément les élèves vers une industrie en croissance et d’intégrer ceux en situation d’échec scolaire" précise toutefois Bruno Vanryb. Le plan e-Education du Ministre Vincent Peillon n'est pas suffisant. Une refonte complète de notre enseignement supérieur semble, en effet, nécessaire afin que le numérique occupe une place centrale dans la formation des jeunes.

dimanche 4 août 2013

Le Développement du Télétravail et de la Téléformation

18 ans de travail, et maintenant ?

Fondée en juillet 1994, l'ANDT -Association Nationale pour le Développement du Télétravail et de la Téléformation- fête sa 18e année, celle de sa majorité.

Pour bien comprendre le chemin parcouru, il faut se souvenir qu'en 1994, Internet n'était encore qu'un outil expérimental aux seuls bons soins de quelques universités. Ainsi, pour croire au télétravail, il fallait d'abord imaginer le développement des outils et des techniques de télécommunications, puis comprendre que le tertiaire pouvait changer nos organisations professionnelles. Evidente en 2012, l'idée que le tertiaire ne traite que des informations facilement numérisables et, donc, transportables par de simples lignes téléphoniques n'importe où et à grande vitesse, ne l'était pas, loin s'en faut, à l'époque. Le scepticisme était, pour ainsi dire, la règle. Mais avec les années, les conférences, les expérimentations, l'idée a fini par faire son chemin. 18 ans plus tard, tout le monde fait comme si le télétravail était une évidence. Nous avons aujourd'hui pratiquement tout ce que l'ANDT souhaitait à l'origine. Nous avons tout et, pourtant, rien ne fonctionne encore vraiment. Nous avons des tonnes de rapports, des Gigas Octets de bons conseils, une armée de vrais ou faux spécialistes, une vraie présence dans le code du travail ainsi que du haut et du très haut débit, mais rien de vraiment concret.

Le mardi 3 juillet 2012, grand jour à l'Assemblée Nationale, j'ai eu l'occasion de pouvoir discuter presque une heure avec une députée spécialiste de l'économie numérique. Pour elle, mes questions posent problème du fait de leur simplicité au regard de la complexité politique. Ainsi, quand je demande qui pourrait avoir en charge l'indispensable impulsion pour lancer de façon forte le développement du télétravail ... la réponse se fait attendre et finalement n'arrive pas, faute de la trouver.
Quand j'évoque les télécentres existants en soulignant que pratiquement tous ne peuvent vivre qu'avec des subventions, je n'ai pas de solutions alternatives, même si tout le monde comprend que l'austérité économique finira par avoir raison de ces subventions. Pourquoi ? Tout simplement parce que le retour sur investissement n'existe pas et que personne aujourd'hui ne peut démontrer le gain pour une région après 100 euros d'investissement dans le télétravail.

Comme avec l'Internet, trop d'acteurs (principalement les collectivités locales) se sont précipités sur le télétravail avec l'idée que tout pouvait fonctionner gratuitement ou presque. Si cette gratuité apparente fonctionne sur le Net (avec la publicité), elle n'a aucune chance de perdurer dans le milieu des télécentres.

Alors, après 18 ans de travail pour que le télétravail puisse procurer aux plus jeunes une alternative heureuse aux organisations traditionnelles que nous connaissons, j'ai ce curieux sentiment que seule la moitié du chemin a été parcourue. Je ne pense pas avoir encore 18 ans devant moi à consacrer à ce qui a été et est encore ma passion. J'ai donc besoin de trouver quelques bonnes volontés pour venir à ma rencontre et reprendre le paquet cadeau. Il y a une chose dont je suis certain c'est que, comme en 1994, si on laisse le télétravail aux seuls politiques, il n'avancera pas.

Gérard VALLET
Fondateur et Président de l'ANDT
 

lundi 29 juillet 2013

Comment utiliser l’IE pour sa recherche d’emploi

binocular business woman

CET ARTICLE DEJA PARU FAIT PARTIE DES PLUS LUS ET DES PLUS COMMENTES

Deux anciens élèves de l’Ecole de guerre économique (EGE) ont animé le 6 juin dernier pour les élèves de cette école spécialisée en intelligence économique (IE) une formation sur le thème « Les techniques d’IE appliquées à la recherche d’emplois ». César Volaire du cabinet de recrutement César Volaire & Partners et Philippe Dion, consultant en ressources humaines, ont rappelé lors de cette formation quelques règles simples à appliquer pour la recherche d’emploi. En voici les grandes lignes :

http://www.cadre-dirigeant-magazine.com/trouver-emploi-cadre/reussir-recherche-emploi/comment-utiliser-lie-pour-sa-recherche-demploi/?goback=.gde_2389859_member_261194043

Orange vous offre Viadeo gratuitement 2 mois et l’APEC 3 mois !


Viadeo offre un abonnement Premium de 2 mois aux 20 Millions de clients Orange

Orange et Viadéo viennent d’annoncer un partenariat qui devrait durer. Cela profitera en premier lieu aux clients Orange fixe et mobile, Sosh et Cloud pro. En effet, ces-derniers se verront offrir un abonnement Premium Viadéo pendant 2 mois à compter du 21 Aout 2013. A l’issu de ces deux mois, ils bénéficieront d’un tarif régressif sur l’abonnement Premium dont le tarif mensuel s’élève à 14,90 euros (déjà proposé aux clients de Viadeo donc pas vraiment un avantage). Cet abonnement permet de savoir qui a visité notre profil Viadéo, de pouvoir accéder à tous les profils, de procéder à des recherches avancées, d’annoncer des événements, d’entrer en relation avec des partenaires, prospecter de nouveaux clients ou encore se constituer la meilleure équipe de collaborateurs.

Un accord de bons procédés (surtout pour Viadeo ?)

Aujourd’hui, Viadéo regroupe près de 7 millions de membres en France. D’après le communiqué de presse c’est « une opportunité qu’Orange a su saisir. En effet, grâce à cet accord, Orange alimente encore une fois sa palette de services clients en permettant aux utilisateurs de dynamiser leur carrière et de gérer leurs opportunités d’affaire via le site web ou la nouvelle application Viadéo. De son côté, Viadéo se réjouit déjà de pouvoir accéder à la gigantesque base de clients Orange. »
C’est sur, en accédant à la base des 20 Millions de clients Orange, Viadeo s’ouvre une belle opportunité de maintenir son leadership français face à un Linkedin qui le rattrape à vitesse grand V.

Un accord positionnant Viadeo comme le réseau des non cadres ?

Dan Serfaty, co-fondateur et CEO de Viadéo déclare : « Cette association avec Orange est l’occasion de démontrer toute la puissance des réseaux sociaux et ce, à un public plus large. Accéder à un grand nombre de professionnels, où qu’ils se trouvent en France, est indispensable aujourd’hui pour construire et gérer sa carrière ou développer ses affaires»
En touchant 20 Millions de français Viadeo va toucher toutes les catégories professionnelles et s’éloigne du positionnement de Linkedin très centré sur les cadres. Va t’on vers un marché scindé en deux avec d’un coté Viadeo qui serait le Pole Emploi des réseaux sociaux professionnels, et Linkedin le réseau des cadres ?

Le social recrutement va t’il tuer complètement les sites emplois ?

En tous cas le point positif, c’est que les réseaux sociaux professionnels vont encore progresser en France. Au point de faire disparaitre les sites emplois classiques ? Je ne crois pas encore, surtout si ceux-ci amènent de la vraie intelligence. L’approche par le matching de Qapa.fr est à ce titre très intéressante et semble se démontrer dans les résultats spectaculaires de Qapa (trafic équivalent à Monster et Cadremploi à peine deux ans après la création (et sans pubTV).

L’APEC offre 3 mois d’abonnement Premium !

Quelques jours avant l’annonce Orange – Viadeo, on apprenait par un communiqué Viadeo – APEC que tous les inscrits à l’APEC se verrait proposer 3 mois d’abonnements Premium. Surprenant cette différence !
Et au fait Monsieur Viadeo, si je suis inscrit à l’APEC et client Orange, j’ai le droit à 5 mois d’abonnement gratuit ? Cela manque un peu de lisibilité tout cela.

Publié par : Jacques Froissant

http://www.altaide.com/blog/orange-vous-offre-viadeo-gratuitement-2-mois-et-lapec-3-mois/http://www.altaide.com/blog/orange-vous-offre-viadeo-gratuitement-2-mois-et-lapec-3-mois/ 

jeudi 11 juillet 2013

Pôle emploi et Viadeo s’associent


Partenariat Pôle emploi et Viadeo
Le réseau social Viadeo et Pôle emploi annoncent leur partenariat afin d’aider les demandeurs d’emploi à investir les réseaux sociaux et ainsi renforcer la transparence du marché du travail.

Si Pôle emploi a lancé un appel à candidatures au début de l’année pour encourager les demandeurs d’emploi à utiliser les réseaux sociaux, c’est parce que ces derniers souffrent souvent d’un manque de visibilité et passent à côté d’offres “cachées” que l’on ne trouve que sur certains sites.

Agrégation des offres
Après des mois de tests et d’analyses, c’est finalement Viadeo qui a été retenu. L’accord prévoit deux volets. Premièrement, l’agrégation et la diffusion des offres sur le site de Pôle emploi. À l’inverse, une sélection d’annonces de Pôle emploi sera diffusée sur le réseau social, notamment dans des secteurs en pénurie de candidats comme l’hôtellerie, la restauration, la santé ou le BTP.

Un partenariat public/privé
Le second volet concerne lui la multidiffusion des CV. Un demandeur d’emploi pourra étendre son réseau en créant son profil Viadeo à partir de son CV Pôle emploi et réciproquement. “Pôle emploi dispose du savoir-faire pour identifier les populations les moins autonomes sur les outils digitaux, nous avons l’expérience d’une plateforme simple d’accès et riche d’opportunités”, explique Dan Serfaty, co-fondateur et PDG de Viadeo.
- See more at: http://www.courriercadres.com/emploi/les-entreprises-qui-recrutent/pole-emploi-et-viadeo-s-associent#sthash.By0zaCyy.dpuf

jeudi 4 juillet 2013

Burn out : une réalité mortelle dans les SSII

Par Marie Varandat le 05/06/2013 - indexel.net
 
Burn-out

Dans un ouvrage consacré au burn out, une jeune cadre revient sur la souffrance au travail, phénomène de plus en plus répandu dans les entreprises françaises.

 
Effets collatéraux des 35 heures (faire plus en moins de temps), forfait jour (explosion du nombre d'heures), accélération du rythme et disparition entre vie privée et professionnelle induites par les outils modernes de communication (mail, périphériques mobiles, etc.), combinaison de différents facteurs... le burn out fait des ravages. Symptôme consécutif à l'exposition à un stress permanent et prolongé, il est particulièrement présent dans les SSII où les consultants sont ballotés d'entreprise en entreprise et soumis au régime du forfait jour. Pour preuve, un représentant de la fédération FO à l'occasion d'une matinée consacrée à cet état de santé déclarait il y a quelques mois : "Dans une SSII, nous avons recensé deux AVC et un infarctus en six mois qui se sont soldés par deux morts".

Identifier les symptômes

"Quand le travail vous tue : histoire d'un burn out et de sa guérison", ouvrage d'Aude Selly, revient sur ce phénomène qui touche de plus en plus de personnes. Si le récit n'est pas un témoignage en soi, il n'en souligne pas moins à quel point la souffrance au travail est une réalité qui pourrait être enrayée si les entreprises se donnaient les moyens de "voir". En tirant les leçons d'incidents et de situations concrètes, cette jeune cadre propose une grille de lecture pour identifier les symptômes de cet épuisement professionnel. Maladie professionnelle non reconnue par la sécurité sociale, le burn out peut en effet prendre différentes formes, pas forcément évidentes à identifier si les managers ne sont pas attentifs, avant que le salarié n'implose.

Exercer sa responsabilité d'employeur

Même non reconnu par la sécurité sociale, le burn out relève de la responsabilité des entreprises comme le souligne Frédéric Chhum (photo), avocat au barreau de Paris : "L'employeur a une obligation de résultat vis-à-vis de la santé des salariés et différents arrêts de la cour de cassation ont entériné le fait que cette obligation ne s'arrête pas à l'entretien annuel. Dès lors, et même si ce n'est pas toujours facile, faire reconnaitre le burn out en tant que maladie professionnelle est possible". Consultation de la médecine du travail, des délégués du personnel, contrôle régulier de la charge de travail (entretiens, réunions, etc.) avec comptes-rendus écrits utilisables en cas de conflit, Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT)... doivent devenir autant de réflexes pour élaborer des politiques en vue d'anticiper les risques et faire en sorte que le burn out ne soit plus un sujet tabou. Car si la sécurité sociale n'a rien prévu, elle n'en traite pas moins les demandes et apprécie au cas par cas. Sans compter que le malade peut saisir le Conseil des prud'hommes pour faire établir le lien entre son activité professionnelle et son surmenage.
En d'autres termes, au-delà du mal-être des collaborateurs qui en soi devrait être une motivation suffisante pour faire réagir les entreprises, le burn out peut coûter cher...

http://www.indexel.net/actualites/burn-out-une-realite-mortelle-dans-les-ssii-3837.html
Subscribe