Traduction

jeudi 3 octobre 2013

Mon image est le contraire de ce que je suis


"Je ne suis pas très à l'aise en entretien de recrutement, j'ai souvent l'impression d'être le contraire de ce que l'on imagine.. J'ai l'air sûr de moi et pourtant, je ressens chaque doute comme une aiguille plantée dans ce qu'il y a de plus fragile en moi... J'ai l'air de maîtriser mon sujet et pourtant, plus j'avance dans mon expertise et plus mes fondements, mes certitudes semblent fondre comme neige au soleil... J'ai l'air de savoir ce que je veux, et pourtant, je suis incapable de l'exprimer clairement, c'est confus, sans but..."

Cela vous dit quelque chose ? Oui ? Alors bienvenue chez les humains ! Avez-vous remarqué comme nous sommes attirés par ce que nous repoussons, comme nous repoussons ce qui nous attire.. eh oui, l'un fonctionne souvent avec l'autre, rendant parfois difficile la lecture de nos objectifs, de nos décisions, de nos pensées... Finalement, c'est plutôt bon signe !

Ce qui nous rend unique, c'est souvent ce savant mélange, une formule composée de moteurs, d'obstacles et de motivations : MOM


  • Les moteurs proviennent souvent de notre culture, notre éducation (merci papa, merci maman), de ce que nous croyons grâce ou à cause de notre expérience, ou de l'image que nous en retenons...
  • Les obstacles touchent notre propre personne, ce qui nous fait peur, la façon dont on s'organise, l'environnement que l'on se constitue..
  • Les motivations : elles tournent autour de ce qui nous attire, c'est le carburant, une forme d'énergie pure, surtout si elle est bien utilisée..


Vous admettrez que cette formule peut être composée d'éléments paradoxaux, contraires mêmes.. Des petites choses que l'on se cache parfois, occultant tel ou tel aspect. Je vous invite à accepter de faire le point et de vous pencher sur tous les éléments de votre MOM, ceux là mêmes qui vous mettent en mouvement, en arrêt mais aussi en phase ou en décalage avec ce que vous voulez faire de votre vie, vous savez, là, au creux du vente...

L'enjeu est bien là, avoir les idées suffisamment claires pour arrêter de se mentir et ne plus risquer  d'enchaîner les échecs, quel qu'en soit le niveau. N'oublions pas qu'un positionnement a toujours plusieurs conséquences, les unes directes (ennui, suractivité, "ramollissement" intellectuel...), les autres, indirectes (conflits, tensions, colère, démission..) et ce, tant sur le plan professionnel que personnel.
Vous voulez vous rendre service ? Observez sereinement ce que vous êtes, accueillez vos paradoxes et prenez conscience, en responsabilité, de votre fondement authentique pour construire votre projet professionnel plutôt que sur l'image convenue envoyée à tout ce qui vous entoure.

Haut les Coeurs !!!

* N"hésitez pas à me contacter au 06 51 75 66 05 pour tout travail d'approfondissement. A bientôt !


mercredi 2 octobre 2013

Pourquoi le recrutement ne devrait plus exister ?

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En matière de recrutement, les innovations ne manquent pas pour tenter d’en améliorer tantôt l’efficacité, tantôt le vécu, si possible les deux… Et pourtant la satisfaction n’est pas au rendez-vous, côté recruteur et candidat.
La multiplication des espaces de recherche (on line et on land) ou encore des outils de sélection conduit à un sentiment de complexité accrue pour une efficacité équivalente.
Nous avons relevé plusieurs explications possibles :
- les améliorations proposées sont partielles. Elles ne concernent qu’une partie du processus et sont donc insuffisantes pour en percevoir la valeur ajoutée.
- les innovations sont essentiellement liées aux outils et ne modifient pas en profondeur l’approche. On fait du neuf avec du vieux…
Ou encore : Les recruteurs et les candidats n’ont pas les mêmes besoins en matière de recrutement. Sont-ils si divergents qu’ils ne permettent pas d’élaborer cette solution optimale ?
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Quels sont les besoins des candidats ?

Globalement,
- Un accès facilité à une information qualifiée (opportunités d’emplois)
- Un dépôt de candidature simple et guidé (réussir la première étape de la sélection)
- Des méthodes de sélection explicitées (critères, délais pour évaluer ses chances, se projeter)
- Un retour sur l’évaluation de sa candidature (équité de traitement, employabilité, ajustement de la recherche…)
- Une relation humaine (des informations contextualisées,  mieux argumenter et valoriser sa candidature dans le cadre d’un échange, utilité de l’effet miroir, reconnaissance…).
Les besoins des candidats en matière de recrutement se caractérisent selon nous par : la facilitation, la relation humaine.

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Quels sont les besoins des recruteurs ?

- Attirer les bons profils (plus que les rechercher)
- Sécuriser la performance future du candidat (évaluation)
- Des modes opératoires reproductibles (diversité, coût…)
Les besoins des recruteurs en matière de recrutement se caractérisent, selon nous, par : l’efficacité et la standardisation.
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La véritable innovation ?

Nous avons donc d’un côté des besoins qui se caractérisent par la facilitation et la relation humaine et de l’autre par l’efficacité et la standardisation. Pour le moins difficiles à concilier ??
Tout l’enjeu d’innovation en matière de recrutement nous semble résider soit dans une solution qui rejoint ces 4 dimensions, soit dans la transformation des besoins pour une meilleure convergence.
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Le recrutement via les réseaux sociaux avait pris, nous semble-t-il, le chemin de ces deux hypothèses en capitalisant à grande échelle sur la mécanique du réseau : coopération, confiance, proximité et donc efficience. Les faire converger en les faisant évoluer.
Deux éléments nous semblent avoir fait échouer à la fois la tentative de convergence et de refondation :
- les réflexes, voire l’éducation, des candidats construits sur des années de e-recrutement très codés et donc leur difficulté à appréhender une démarche réseau moins prévisible et plus engageante…
- les réflexes, voire la culture, des entreprises et des intermédiaires du recrutement basés sur la posture de l’offrant et du sélectionneur et donc leur difficulté à mettre en place les dispositifs de gestion d’une nouvelle relation, plus diverse, plus ouverte, elle aussi moins prévisible et plus engageante…
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La solution n’est-elle pas plus radicale ?
L’incertitude et la complexité qui caractérisent l’environnement de travail peuvent-elles rimer avec facilité et standardisation ? Rien n’est moins sur…
En revanche, les collaborations continues et qui se recomposent sont probablement une piste pour une bonne réponse.
La démarche de recrutement ne nous semble plus répondre aux besoins de recruter ou de chercher un emploi.
Ne faut-il pas abandonner l’idée même de recruter ou de rechercher un emploi ? Au profit d’une démarche de collaboration professionnelle plus large qui couvrira entre autres cet objectif ?
En somme, une nouvelle matrice des pratiques professionnelles à construire pour des objectifs Business et RH ?
De la science fiction ? Je ne crois pas des éléments dans d’autres domaines convergent vers une refondation du monde professionnel. Et vous qu’en pensez-vous ?
Auteur : Marie-Pierre FLEURY

7 réponses à “Pourquoi le recrutement ne devrait plus exister ?”

  1. [...] la même veine sur une remise à plat des pratiques, Marie-Pierre Fleury se demande même si le recrutement ne devrait plus exister…des pratiques peu innovantes mais difficiles à standardiser, une équation impossible [...]
  2. Stephane dit :
    Avec l’explosion de l’utilisation des réseaux sociaux, les recruteurs sont aussi confronté au problème du tri : quelles sont les vraies candidatures et celles qui sont là pour avoir une présence « au cas où ».
    D’un côté, les recruteurs ont plus de données à traiter, de l’autre on demande de plus en plus souvent des candidats polyvalent sans compensation financière, après tout le savoir faire se paye. Dans ce contexte, les candidats entament leurs recherches avec un certaine méfiance, ce qui complexifie encore le travail du recruteur concernant les motivations. C’est dommage car c’est bien ces motivations qui poussent le recruteur à choisir un candidat plutôt qu’un autre, parfois même au détriment des compétences.
  3. Marie-Pierre FLEURY dit :
    Bonsoir Thierry, Merci d’avoir enrichi la réflexion par ces 2 éléments pertinents : le temps et le moment, si justes !
    Le premier est un constat qu’il serait intéressant de creuser davantage au-delà effectivement du recrutement, si on continue à recruter des salariés…
    Les choses peuvent changer si les logiques de missions se développent, une évolution peu favorable aux personnes individuellement, à l’exception de celles détenant des compétences rares ???
    Je crains que vous n’ayez raison sur le second… en dépit de la pression mise par les individus via les média sociaux ??
    A suivre et à poursuivre, merci pour votre contribution !
  4. Bonjour Marie-Pierre,
    Derrière l’accroche polémique, une vraie réflexion sur la refondation des rapports entre candidats et entreprises. 2 écueils toutefois : le temps et le moment.
    Le temps de l’entreprise qui est difficilement compatible avec le temps du candidat (2 mns pour candidater vs 3 semaines de traitement / Un besoin de compétences et de résultat immédiat vs l’investissement à moyen terme dans un potentiel / etc… ) et le moment de crispation autour de l’emploi, pas forcément favorable à la mise à plat mais plutôt à la fuite en avant…On peut le regretter et penser que c’est au milieu des crises que naissent les grandes disruptions. Je crains que celle-ci ne conforte le conservatisme…
  5. lecairn dit :
    Whaou merci Jean Marc , si à 40 berges t’es pas cité aux cotés d’Edgar Morin et de Christian Fauré sur le blog d’id carrières tu as vraiment raté ta vie…
    Quelques éléments complémentaires de réflexion :
    Arrêtons de penser produits finis quand on parle de recrutement , recrutons sur la capacité à faire et la capacité d’apprentissage plutôt que sur la connaissance et le savoir faire à un instant T , cela permet de se positionner dans une logique d’investissement long terme avec la personne recrutée et non sur une logique de « coup ».
    Dans la même logique, visons à faire de nos anciens salariés un vivier pour réintégrer une fois qu’ils auront pu faire un détour et étoffer leurs parcours ailleurs au lieu de considérer toute sortie comme définitive . En tous cas merci Jean-Marc pour cette minute de gloriole personnelle ;0) Vincent
  6. Marie-Pierre FLEURY dit :
    Bonjour Jean-Marc,
    Merci, impressionnée par les références citées et les compléments de réflexions apportées.
    Mon approche converge vers ta réflexion inspirée de Morin : stratégie et programme.
    Approcher un certain nombre de sujets en tenant compte des effets du réseau décuplés grâce aux TIC est une voie intéressante de recherche de nouvelles solutions…
    L’exemple que tu donnes est intéressant et pertinent. J’avais d’ailleurs fait une proposition à Pôle emploi dans ce sens en 2010… .
    Je rajouterai une précision : à condition que l’étape de préparation et notamment l’approche de type Bilan de compétences soit réalisée comme chez nous avec un esprit d’ouverture et de la créativité, pour ne pas enfermer le candidat mais au contraire pour qu’elles lui permettent d’explorer toutes les voies d’emploi possibles et cohérentes…
    Un grand merci à toi. Bonne journée !
    Si ces sujets vois intéressent, le blog de Jean-Marc : Code Formation http://code-formation.overblog.com/
  7. JmarcFJ dit :
    Bonjour Marie-Pierre
    Tout d’abord bravo pour cette invitation à la réflexion !
    9 Millions de personnes en situation de difficulté face à l’emploi
    5 Millions de chômeurs
    500 000 ou plus ou moins d’offres non pourvues
    Et pourtant comme tu le soulignes, chaque intermédiaire progresse, développe des solutions aussi bien du coté des candidats (les buzz CV, formation et conseil en recherche d’emploi, …) que des entreprises et les intermédiaires du recrutement (speed emploi, techniques des habiletés, recrutement social, mobile, etc…).
    Et le constat ? ben pas terrible aussi bien aux dires des entreprises que des candidats.
    Edgar Morin sort de mon corps !
    Il y a peu j’ai écris un article sur le prestige de la formation professionnelle, qui est plus qu’en berne, et ma conclusion Macro est celle de Morin :
    La stratégie doit prévaloir sur le programme. Le programme établit une séquence d’actions qui doivent être exécutées sans variation dans un environnement stable, mais, dès qu’il y a modification des conditions extérieures, le programme est bloqué. La stratégie, par contre, élabore un scénario d’action en examinant les certitudes et incertitudes de la situation, les probabilités, les improbabilités. Le scénario peut et doit être modifié selon les informations recueillies, les hasards, contretemps ou bonnes fortunes rencontrés en cours de route. Nous pouvons, au sein de nos stratégies, utiliser de courtes séquences programmées, mais, pour tout ce qui s’effectue dans un environnement instable et incertain, la stratégie s’impose. Elle doit tantôt privilégier la prudence, tantôt l’audace et, si possible, les deux à la fois. La stratégie peut et doit souvent effectuer des compromis. Jusqu’où ? Il n’y a pas de réponse générale à cette question, mais, là encore, il y a un risque, soit celui de l’intransigeance qui conduit à la défaite, soit celui de la transigeance qui conduit à l’abdication. C’est dans la stratégie que se pose toujours de façon singulière, en fonction du contexte et en vertu de son propre développement, le problème de la dialogique entre fins et moyens.
    L’une des erreurs à mon sens, cette fois d’un point de vue Micro et Meso est le recours aux méthodes agiles comme point d’appui à une standardisation des pratiques que tu soulignes et dont je partage le même avis et cette fois c’est Christian Fauré qui a pris possession de mon esprit :
    « L’explication est presque mécanique : quand on est dans des logiques d’itération très rapides, avec des sprint de deux semaines, plus on multiplie les intervenants plus le rythme des itérations et la synchronisation nécessaire entre les individus devient ingérable ». Christian Fauré
    Appréhender la complexité croissance du recrutement en omettant ces deux points me semble conduire à un échec assuré ou du moins à la génération de déchets de part et d’autres.
    Une approche Bio (c’est à la mode pourquoi pas) serait le recyclage mais autant penser en amont pour limiter les déchets générés par les recrutements et les candidatures actuels sauf si l’on souhaite tirer profit en créant des filiales d’insertion sources de nouveaux profits mais pas de meilleurs candidats ni de meilleurs moyens pour recruter(c’est un peu codé comme message mais bon, j’ose)
    Du fossé que nous constatons tous entre les théories scientifiques pour mieux recruter et pour mieux faire acte de candidature, la formation ne sera pas (Pourtant je me déclare professionnel de la formation) l’unique solution et même avec le complément Coaching ou accompagnement cela ne sera toujours pas suffisant pour réduire les écarts que chacun constate malheureusement en dépit de ses connaissances, de ses envies, etc…
    Il faut aussi savoir laisser du temps au temps, il sait faire son œuvre.
    La solution existe-t-elle ?
    Oui. Penser stratégie et non programme ! Cela demande plus d’énergie au départ mais c’est plus rentable à l’arrivée et plus économique pour toutes les parties prenantes.
    Un exemple concret, peut-être ?
    Imaginons un instant, juste quelques secondes, que l’entreprise propose non pas des tests, des entretiens et toutes les innovations créées par les intermédiaires pour d’abord assurer leur CA (je n’ai pas pu m’en empêcher) mais un bilan de pré-embauche (Les outils ID-carrière bilan de compétences sont à recommander et font très bien l’affaire).
    L’entreprise dispose alors de toutes les informations nécessaires à un bon recrutement mais aussi pour déjà identifier la projectoire (pour reprendre l’expression de Vincent Rostaing alias lecairn) du candidat en adéquation avec l’évolution anticipée de l’entreprise.
    Le candidat lui indépendamment d’être pris ou non dispose alors d’informations lui permettant de mieux rebondir ou d’agir et non d’attendre 10 ans encore après que l’on réponde à son acte de candidature spontané ou suite à une annonce. La solution idéale n’existe pas mais c’est pas une raison pour maintenir des solutions dont on connait les échos sur le web (Marque Employeur, e-reputation, etc…)
    Cette synergie créée entre l’acte de candidature, les organismes d’aide à l’emploi supprimeront des redondances (certes parfois nécessaires) mais qui aujourd’hui exaspèrent toutes les parties.
    C’est une des solutions car comme disait Aristote : Il n’y pas une méthode pour étudier les choses.
    Voilà ma contribution
    Cette formalisation me permet d’avancer aussi et c’est grâce à ton invitation à la contribution
    Merci Marie-Pierre

    http://www.id-carrieres.com/blog/2013/06/11/pourquoi-le-recrutement-ne-devrait-plus-exister/ 

mardi 1 octobre 2013

Trouver un emploi ou une formation adéquate grâce au multimédia et aux nouvelles technologies



Trouver un emploi ou une formation adéquate grâce au multimédia et aux nouvelles technologies


Médiation et insertion :


 Espace de collaboration et d’entraide pour les demandeurs d’emploi ou les personnes en reconversion professionnelle.

Dans les locaux de R2K (anciennement Réseau 2000) avec l’association Assistance services (aide aux personnes, aux associations et aux entreprises).

 Nous vous invitons à participer à l’atelier « Trouver un emploi ou une formation adéquate grâce au multimédia et aux nouvelles technologies », en expérimentation.

 Elle est ouverte à tous, quel que soit le niveau d’études et la branche professionnelle, avec ou sans expérience au préalable.
C’est l’occasion de progresser dans vos démarches professionnelles, notamment en utilisant le web. Et  connaître vos besoins dans le domaine de l’insertion (financiers, de formation et de compétences, de suivi, de  matériels spécifiques…).

Être membre vous donne accès à :
- Des ateliers en présentiel et en ligne.
- des réunions et contacts avec d’autres organismes de recrutement ou employeurs (en création).
- Des supports d’informations et d’échanges avec des personnes qui travaillent dans le secteur d’activités qui vous intéresse, et avec des demandeurs d’emploi.

Le plus grand incubateur du monde bientôt à Paris

crédits : ©Wilmotte & Associés SA 
Le plus grand incubateur au service du développement de l’écosystème numérique
Ce nouvel incubateur qui représente le plus grand incubateur au monde accueillera 1 000 start-ups innovantes, tous secteurs confondus. Ces start-ups bénéficieront d’un espace de travail unique, sur plus de 30 000 mpour émerger et transformer leurs projets innovants en véritables entreprises de rang mondial.
Ce projet inédit qui représente une 1ère mondiale a pour objectif de permettre le développement d’une nouvelle génération d’entreprises qui seront les succès de demain et dont la France a besoin pour rayonner à l’international et renforcer sa compétitivité.
En favorisant les partages d’expériences et de connaissance, ce nouvel incubateur vise à encourager le développement d’un écosystème numérique.  Le numérique est un véritable accélérateur de croissance et un facteur clef de la compétitivité française.
Ce nouveau projet va donc permettre à la France de séduire les nouveaux talents, les créateurs et les investisseurs, et ainsi de rayonner dans le paysage numérique international.

http://1000startupsparis.fr/

lundi 30 septembre 2013

VIDEOS. Tous pour l'emploi : «Le Parisien»- «Aujourd'hui en France» se mobilise

«Le Parisien»-«Aujourd'hui en France» se mobilise pour l'emploi. Avec l'opération Tous pour l'emploi, en collaboration avec BFM Tv, chaque jour de la semaine retrouvez reportages, témoignages, conseils pratiques qui vous donnent les pistes pour identifier les secteurs, les métiers et les régions qui recrutent.

Catherine Gasté | Publié le 30.09.2013, 06h49
Chelles (Seine-et-Marne), le 8 novembre 2012. François Hollande à l’occasion de la signature des premiers contrats emplois d’avenir, destinés à lutter contre le chômage des jeunes.

Chelles (Seine-et-Marne), le 8 novembre 2012. François Hollande à l’occasion de la signature des premiers contrats emplois d’avenir, destinés à lutter contre le chômage des jeunes. | MaxPPP / Chesnot

Zoom
Inverser la courbe du à la fin de l’année… Tout juste élu en juillet 2012, a fait cette promesse. Malgré la hausse inexorable des demandeurs d’emploi, un chômage à plus de 10% explosant tous les records, lui et ses ministres s’entêtent. Chaque mois, ils martèlent : « On va y arriver car toutes nos forces sont tendues vers ce seul but. » Un message en boucle, comme pour conjurer le sort. Et faire taire les économistes rabat-joie, qui répètent à l’envi depuis des mois : pas de croissance, pas de baisse du chômage.

Alors s’inversera, s’inversera pas? Dans deux mois, une chose est sûre, François Hollande aura des comptes à rendre. « On est tout près du but », assure le chef de l’Etat. Et les 50000 chômeurs de moins en août sont « un chiffre encourageant » vu de l’Elysée.

Des métiers et des filières embauchent encore !

Hollande serait-il en train de gagner son pari? Une hirondelle ne fait pas le ont rétorqué les sceptiques. Pour qu’une inversion soit durable il faut qu’elle dure plusieurs mois. Et rien n’est moins sûr. Car le fait est que l’économie n’est pas en mesure, aujourd’hui, de faire baisser le chômage.

Alors d’où vient cette certitude présidentielle? Croissance ou pas, le gouvernement dispose d’un atout majeur : les contrats aidés qui vont tourner à plein régime d’ici à la fin de l’année. Une recette centrée sur le secteur non marchand (collectivités locales ou associations) et censée absorber une partie de la hausse du chômage quand les entreprises privées continuent à détruire des emplois. Mais ces fameux emplois aidés, de quoi s’agit-il précisément? Emplois d’avenir, contrat unique d’insertion, contrat de professionnalisation, contrat de génération, emplois francs… Comment ces dispositifs fonctionnent-ils? A qui s’adressent-ils? Dans le cadre de notre opération Tous pour l’emploi, menée avec BFMTV, notre journal vous aide à y voir plus clair et vous présentera tout au long de la semaine les diplômes, les métiers ou les filières qui constituent aujourd’hui un passeport pour l’emploi.

http://www.leparisien.fr/une/tous-pour-l-emploi-le-parisien-aujourd-hui-en-france-se-mobilise-30-09-2013-3182313.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter 

Les avocats se mobilisent pour les TPE-PME parisiennes !



Pour la 2e année consécutive, les Avocats du Barreau de Paris vont à la rencontre des citoyens de la capitale. Cette année, une opération spéciale est menée auprès des dirigeants de TPE et de PME parisiennes. Au programme : 500 diagnostics juridiques au domicile de l’entreprise offerts et 3 soirées pour s’informer et se rencontrer autour des nouvelles problématiques juridiques des PME !
Souvent les TPE-PME ne comptent aucun juriste dans leurs équipes, et ne font appel aux conseils d’un avocat que lorsque leur situation se dégrade. Or, le Barreau de Paris bénéficie d’une véritable connaissance de l’écosystème des TPE et PME parisiennes et des problématiques transversales de l’entreprise. Les avocats peuvent aussi être pour les dirigeants de véritables partenaires au quotidien, leur permettant notamment d’optimiser financements, compétences, innovations, et de réduire les dépenses et les risques.
C’est pourquoi, dans une période difficile pour les entreprises, les Avocats du Barreau de Paris ont choisi de proposer un accompagnement unique aux TPE-PME de la capitale.
Autant de moments au cours desquels les dirigeants auront la possibilité de s’informer, d’échanger avec des avocats experts et d’autres chefs d’entreprise, de se voir proposer des solutions ou tout simplement d’avancer dans leur parcours d’entrepreneur en maîtrisant le mieux possible leur environnement juridique.

http://avocatcite.org/pro/fiche/quest.jsp;jsessionid=UK8hmnzMmlXq-8wTwI-lSTOy.gl2?pg=1000010336 
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