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lundi 2 septembre 2013

Le CV d’un blogueur, community manager et concepteur rédacteur web

Le CV d’un blogueur, community manager et concepteur rédacteur web

pieds-florentins
Extrait du livre « Le Passant Florentin »,
dessin de Koffi Apenou.
2 passants font un pas…
l’un vers l’autre.
 
Commençons par une définition : Je suis un Passant Florentin.

Le Passant Florentin est le titre de mon premier livre publié en 2002. Je me suis identifié à mon protagoniste romanesque qui un beau jour d’automne met les pieds à Florence (Firenze). Ses premiers pas dans la capitale de la Renaissance vont complètement transformer sa vie. L’histoire de ce livre est tout simplement le récit de cette métamorphose : comment et pourquoi Denis Gentile est devenu le Passant Florentin.
Il va découvrir des choses dont il n’imaginait même pas l’existence. Il a de nombreux points communs avec des personnages que nous connaissons bien comme Candide, Socrate ou le Petit Prince. Sur son chemin, il rencontre Dante, Michel-Ange, Brunelleschi et tous les génies qui ont rendu ce lieu unique.
A son tour, il veut laisser une trace et contribuer à la mesure de son talent à rendre unique ce qu’il fait.
C’est cette philosophie qui me guide et que l’on retrouve dans mon parcours : passé, présent et bien sûr futur.
C’est comme si tout commençait par cette idée : « Avant d’arriver ici, je ne savais pas que cela existait ! » La transformation peut alors s’opérer.

Pour relever les défis de la conquête économique des pays du nouveau monde.

jeudi 11 juillet 2013
Frederic Lacave
Haut Fonctionnaire, Administrateur Civil des Ministères économiques et financier
PARIS, France
« La force d’inertie d’une haute fonction publique corporatiste, archaïque et arrogante -"Noblesse d'Etat" post révolutionnaire arc-boutée sur ses privilèges - constitue le principal frein à la compétitivité de la France, principalement à l’international.
Il faut réformer au plus vite le modèle de formation des élites de notre pays en osant supprimer l'exception culturelle dépassée de l’Ecole Nationale d’Administration et en imaginant un « Harvard » européen au cœur de la stratégie et de l'innovation compétitive pour réhabiliter l'entreprise et mieux relever les défis de la conquête économique des pays du nouveau monde. »
Frédéric LACAVE Ex Coordonnateur Ministériel à l'Intelligence Economique

Vos avis ?
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F I E S : Découvrez des entrepreneurs qui changent le monde

Franchise européenne de l'innovation environnementale, sociale et économique: Découvrez des entrepreneurs qui changent le monde: Des exemples d'entrepreneurs dans l'économie sociale et solidaire qui prouvent que ce secteur représente l'avenir et est une alternative à la morosité ambiante.

Des hommes et des femmes qui n'ont pas comme seul souci, le profit mais intègrent aussi la dimension sociale.

vendredi 30 août 2013

Cinq façons de se griller au téléphone auprès d’un recruteur



Que ce soit à l’occasion d’une relance ou d’une candidature spontanée, il est malheureusement très facile de commettre certains impairs en appelant un recruteur. Parfois même sans s’en rendre compte…

1 - Le manque de discrétion

« Beaucoup de recruteurs sont surpris de voir des candidats se griller dès le standard ! », explique Philippe Hemmerlé, directeur du cabinet CV First. Manque de politesse ou de savoir-vivre ? Même pas. « En fait, il y a une question à laquelle ils ne sont jamais préparés. Quand on leur demande machinalement leur nom, société et l’objet de leur appel, ne sachant que dire, beaucoup oublient toute confidentialité élémentaire au risque de mettre le recruteur dans l’embarras. » Il peut être gênant, par exemple, de lâcher à la standardiste ‘J’appelle pour le poste de directeur commercial’ alors que certains salariés de l’entreprise ne sont pas au courant. « Pour faire bonne impression, surtout s’il s’agit d’une relance, il faut rester pro et s’en tenir au strict minimum. Dites juste ‘Je suis untel et j’appelle suite à notre rendez-vous.’ » Le recruteur, souvent, appréciera votre discrétion.

2 - Se montrer impatient

Nadia Boutaleb ne fait pas un métier facile. « On connaît la conjoncture et ce n’est jamais agréable de ne pas être rappelé par un recruteur. Mais concrètement nous n’en avons pas toujours le temps. Et il est difficile, quand on n’a pas eu le temps de rappeler quelqu’un, de l’entendre pester que vous l’avez oublié », observe cette associée au cabinet Alterview. Or, culpabiliser un recruteur est très contre-productif. « Dans le même genre, alors que je recherchais un profil rare, un autre candidat, jeune diplômé, m’a aussi lancé ‘Si vous ne me donnez pas ma chance, qui le fera ?’. Je compatis, mais ça n’arrange pas les choses. Il vaut mieux demander des conseils et montrer sa motivation pour garder une chance d’être rappelé une autre fois. » Car même si on n’est pas pris, on peut se faire remarquer… en bien.

3 - Se montrer prêt à tout

La motivation, c’est bien... à condition de ne pas en faire trop. « Il faut trouver la juste mesure et se montrer déterminé sans être insistant, analyse Pierre Bultel, consultant et directeur du cabinet PBRH. Typiquement, le candidat qui se dit ‘prêt à tout’ paraît plus désespéré que motivé. De même, celui qui n’a ‘pas d’autre piste’ perd un peu de son charme. » Ce consultant compare l’entretien téléphonique à un jeu de rôles. « Il ne faut pas tomber le masque trop vite. Il faut montrer son expérience et une réelle envie, mais aussi se laisser approcher par le recruteur. »

4 - Se fermer soi-même des portes

Mais, parfois, il suffit de poser – mal - une question banale. « Un candidat peut se griller illico en posant une question fermée », poursuit Pierre Bultel. Exemple : vous appelez un recruteur dans l’espoir de décrocher un rendez-vous. « Dans ce cas, évitez les questions du genre « On peut se rencontrer ? », pas sur le fond mais sur la forme. Grammaticalement, cette question appelle une réponse affirmative – ou, le plus souvent, négative - et donnera une porte de sortie toute trouvée au recruteur. En revanche, si vous formulez une question ouverte comme ‘Quand auriez-vous un moment pour me rencontrer ?’, vous rendez, psychologiquement, l’échappatoire plus compliquée et vous aurez plus de chance de décrocher un entretien. »

5 - Se montrer trop stressé

Enfin il est possible de réduire ses chances à néant… sans rien dire du tout. « Un candidat peut vite paraître désagréable parce qu’il a mal préparé son appel », résume Karine Averseng, auteure du livre Ces 5 minutes qui comptent dans un entretien d’embauche. En cause : la façon de s’exprimer. « La plupart des candidats sont stressés, ont peur de déranger le recruteur. Ils bégayent ou laissent planer des silences gênés. Or cette angoisse s’entend et véhicule une image inconsciemment très négative. C’est comme si le candidat s’excusait d’exister et c’est désastreux. Or, à l’inverse, un candidat qui s’entraîne à parler avec le sourire communique une forme de bonne humeur et d’envie. » Comme celle de le rappeler.
Céline Chaudeau © Cadremploi.fr / Crédit photo © François Bouchon / Le Figaro

http://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-candidature/detail/article/cinq-facons-de-se-griller-au-telephone-aupres-dun-recruteur.html

jeudi 29 août 2013

Un réseau social est il un outil 1.0 dédié au monologue ou 2.0 au dialogue ?

jeudi 29 août 2013

 

Etes vous pret à vous connecter avec vos clients sur les réseaux sociaux ?
Lyon-Villeurbanne, France
Je viens de vivre une expérience intéressante sur l'usage des réseaux sociaux professionnels que je souhaiterai partager avec vous.

Je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience.

A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?

MONOLOGUE OU DIALOGUE : THAT IS THE QUESTION ?

Je suis allé poster sur un hub de ma région, dans un forum de discussion pour poser une question qui s'adressait aux entreprises :

- si elle considérait que leur présence sur les réseaux sociaux devait se faire sous la forme d'une communication classique 1.0, sous forme par exemple de communiqués de presse publiés quotidiennement (comme le journal les Echos, La Tribune par exemple),

- ou dédié au dialogue 2.0 par des forums, une sorte d'agora pour permettre une véritable participation et construction collective, favorisant des échanges de bonnes pratiques et à des actions collectives.

Il ne s'agissait qu'une question ?

Les résultats en quelques lignes :

Je n'étais pas le bienvenu, car l'administrateur du hub considéra vite qu'il est chez lui, et qu'il pouvait décider de parler de ce qu'il veut, lui convient ou non, et me demande même « d'arrêter cette discussion » dixit.

L'administrateur publie en effet, et c'est son choix, publie 3 à 4 communiqués de presse par jour (il n'y a que lui qui parle, aucun dialogue, ni partage 2.0), presqu'aucun commentaire sur la plus grande partie de ses posts, et voir même, on vous empêche même de lancer des discussions ou répondre à certains sujets, le comble ?

Certes, un petit nombre de membres de ce groupe conviennent que cela leur convient de seulement lire quelques communiqués de presse régulièrement et avouent ne pas pouvoir ni vouloir partager eux mêmes des informations, ou venir échanger.

C'est comme s'ils feuilletaient un journal.

Voici un constat personnel qui semble expliquer le peu d'activité sur les réseaux sociaux.

Car je me demande aussi, si l'on fait bien la différence entre :

- un site internet, un blog, un site de curation de contenus d'informations (comme l'AFP, Les Echos ou Scoopit...) qui peut diffuser régulièrement des communiqués de presse,

- un réseau social qui permet justement d'être une véritable agora, ouverte, tolérante

LES MARCHES SONT DES CONVERSATIONS

Il me semble que les réseaux sociaux, sont des outils 2.0, c'est à dire participatif, permettant justement les discussions, qui deviennent des communications multilatérales. C'est le destinataire du message qui discute, et qui parle de l'entreprise et de la marque.

Un réseau social permet à une entreprise de se faire re-connaitre, et non de se faire connaitre par de la pub.

L'entreprise ne doit pas se faire connaitre sur les réseaux sociaux par des communiqués de presse, de la publicité, mais se faire reconnaître par des conversations, c'est à dire recommander et faire en sorte que l'on parle de soi par l'animation des échanges autour de centres d'intérêts.

Je pense donc que cette pratique de monologue peut être à l'origine des désaffections des réseaux sociaux par les entreprises.

Car les entreprises ne pourront pas consacrer leur stratégie et leur budget communication pour être présent sur les réseaux, et n'avoir pas plus de 10 lectures pour leur posts et sans aucun commentaires ce qui peut avoir des conséquences au niveau de l'image de marque, de leur e-reputation de l'entreprise.

Le rapport investissement temps/rentabilité est contre productif et dissuadera les entreprises d'investir les réseaux sociaux professionnels.

Surtout que l'image de marque, l'e-reputation de l'entreprise en question peut être atteinte.

Qu'en pensez vous ?

NB : Je le rappelle, je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience et d'une interrogation que je souhaite partager.

A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?

Au moins, sur ce groupe, je sais que j'aurai le droit de m'exprimer librement sur ce que je pense.


Quand "Censure tu nous tiens" ?
 
 

mercredi 28 août 2013

La réussite, ça se décide !

Des places pour la rentrée 2013-2014 sont encore disponibles dans nos  écoles localisées :



YVELINES

CFA d’Alembert (78)
Bac +2 à Bac +3

www.cfa.uvsq.fr

ESMAE  (78)
Bac +3 à Bac +3

www.esmae.fr

ESSYM (78)
Bac +2 à Bac +5

www.essym.fr

Sup de V (78)
Bac à Bac +5

www.supdev.fr

IFA Delorozoy (78)
CAP à Bac +3

www.ifa.delorozoy.fr

ITEDEC (78)
CAP à Bac +3

www.itedec.fr

Groupe ISIPCA (78)
Post-Bac à Bac +5

www.isipca.fr

TECOMAH
CAP à Bac +5

www.tecomah.fr


VAL D’OISE

GESCIA (95)
Bac à Bac +3

www.gescia.fr 

IFA de la Restauration
CAP 

 www.ifa-restauration.fr

IFA Chauvin (95)
Pré-apprentissage au Bac +3

www.ifa-chauvin.fr

ITESCIA (95)
Bac à Bac +5

www.itescia.fr


PARIS

CFA UPMC (75)
Bac +2 à Bac +5 et cursus ingénieur

 www.cfa.upmc.fr

CFI – Centre des formations industrielles (75)
Pré-apprentissage à Bac +2

www.cfi-formations.fr


HAUTS-DE-SEINE

CFI – Centre des formations industrielles (92)
Pré-apprentissage à Bac +2

www.cfi-formations.fr


VAL-DE-MARNE (94)

CFI – Centre des formations industrielles (94)
Pré-apprentissage à Bac +2

www.cfi-formations.fr

http://www.campus.cci-paris-idf.fr/la-reussite-ca-se-decide/#ancre1http://www.campus.cci-paris-idf.fr/la-reussite-ca-se-decide/#ancre1

mardi 27 août 2013

Franchise européenne de l'innovation environnementale, sociale et économique: Découvrez des entrepreneurs qui changent le monde

Franchise européenne de l'innovation environnementale, sociale et économique: Découvrez des entrepreneurs qui changent le monde: Des exemples d'entrepreneurs dans l'économie sociale et solidaire qui prouvent que ce secteur représente l'avenir et est une ... franchise sociale, emploi, business social, économie sociale et solidaire

Paris pour l'emploi fête ses 10 ans !

Ne ratez pas les 10 ans du   forum professionnel.  "Paris pour l'Emploi 2013 "

         Paris pour l'emploi 2013 les 3 et 4 octobre place de la Concorde à Paris

2 000 responsables des ressources humaines issus de 500 entreprises et collectivités se mobilisent pour recruter à la Concorde (Paris 8e) lors de la 11e édition de "Paris pour l'Emploi" du 3 au 4 octobre 2013


Cet événement annuel est ouvert à tous, quel que soit le niveau de qualification et l’expérience. Tous les métiers sont représentés. Il est conseillé de préparer son cv et d’en avoir suffisamment pour ne pas perdre une occasion. Cependant, des conseillers à l’emploi (2000) sont prêts à vous aider.

500 entreprises proposent des postes, également à l’étranger ou aux personnes handicapées.

Le secteur de l’économie sociale et solidaire est particulièrement représenté cette année.
Pour en savoir plus : http://www.parisemploi.org. -
 
La vidéo sur youtube  http://www.youtube.com/v/vem-11_LDe8?version=3&hl=fr_FR
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