Extrait du livre « Le Passant Florentin », dessin de Koffi Apenou. 2 passants font un pas… l’un vers l’autre.
Commençons par une définition : Je suis un Passant Florentin.
Le Passant Florentin est le titre de mon premier livre
publié en 2002. Je me suis identifié à mon protagoniste romanesque qui
un beau jour d’automne met les pieds à Florence (Firenze). Ses premiers
pas dans la capitale de la Renaissance vont complètement transformer sa
vie. L’histoire de ce livre est tout simplement le récit de cette
métamorphose : comment et pourquoi Denis Gentile est devenu le Passant
Florentin. Il va découvrir des choses dont il n’imaginait même pas l’existence.
Il a de nombreux points communs avec des personnages que nous
connaissons bien comme Candide, Socrate ou le Petit Prince. Sur son
chemin, il rencontre Dante, Michel-Ange, Brunelleschi et tous les génies
qui ont rendu ce lieu unique.
A son tour, il veut laisser une trace et contribuer à la mesure de son talent à rendre unique ce qu’il fait.
C’est cette philosophie qui me guide et que l’on retrouve dans mon parcours : passé, présent et bien sûr futur.
C’est comme si tout commençait par cette idée : « Avant d’arriver ici, je ne savais pas que cela existait ! » La transformation peut alors s’opérer.
Frederic Lacave Haut Fonctionnaire, Administrateur Civil des Ministères économiques et financier PARIS, France
«
La force d’inertie d’une haute fonction publique corporatiste,
archaïque et arrogante -"Noblesse d'Etat" post révolutionnaire
arc-boutée sur ses privilèges - constitue le principal frein à la
compétitivité de la France, principalement à l’international.
Il
faut réformer au plus vite le modèle de formation des élites de notre
pays en osant supprimer l'exception culturelle dépassée de l’Ecole
Nationale d’Administration et en imaginant un « Harvard » européen au
cœur de la stratégie et de l'innovation compétitive pour réhabiliter
l'entreprise et mieux relever les défis de la conquête économique des
pays du nouveau monde. »
Frédéric LACAVE Ex Coordonnateur Ministériel à l'Intelligence Economique
Que ce soit à l’occasion d’une relance ou d’une candidature spontanée, il est malheureusement très facile de commettre certains impairs en appelant un recruteur. Parfois même sans s’en rendre compte…
1 - Le manque de discrétion
« Beaucoup de recruteurs sont surpris de voir des candidats se griller dès le standard ! », explique Philippe Hemmerlé, directeur du cabinet CV First. Manque de politesse ou de savoir-vivre ? Même pas. « En fait, il y a une question à laquelle ils ne sont jamais préparés. Quand on leur demande machinalement leur nom, société et l’objet de leur appel, ne sachant que dire, beaucoup oublient toute confidentialité élémentaire au risque de mettre le recruteur dans l’embarras. » Il peut être gênant, par exemple, de lâcher à la standardiste ‘J’appelle pour le poste de directeur commercial’ alors que certains salariés de l’entreprise ne sont pas au courant. « Pour faire bonne impression, surtout s’il s’agit d’une relance, il faut rester pro et s’en tenir au strict minimum. Dites juste ‘Je suis untel et j’appelle suite à notre rendez-vous.’ » Le recruteur, souvent, appréciera votre discrétion.
2 - Se montrer impatient
Nadia Boutaleb ne fait pas un métier facile. « On connaît la conjoncture et ce n’est jamais agréable de ne pas être rappelé par un recruteur. Mais concrètement nous n’en avons pas toujours le temps. Et il est difficile, quand on n’a pas eu le temps de rappeler quelqu’un, de l’entendre pester que vous l’avez oublié », observe cette associée au cabinet Alterview. Or, culpabiliser un recruteur est très contre-productif. « Dans le même genre, alors que je recherchais un profil rare, un autre candidat, jeune diplômé, m’a aussi lancé ‘Si vous ne me donnez pas ma chance, qui le fera ?’. Je compatis, mais ça n’arrange pas les choses. Il vaut mieux demander des conseils et montrer sa motivation pour garder une chance d’être rappelé une autre fois. » Car même si on n’est pas pris, on peut se faire remarquer… en bien.
3 - Se montrer prêt à tout
La motivation, c’est bien... à condition de ne pas en faire trop. « Il faut trouver la juste mesure et se montrer déterminé sans être insistant, analyse Pierre Bultel, consultant et directeur du cabinet PBRH. Typiquement, le candidat qui se dit ‘prêt à tout’ paraît plus désespéré que motivé. De même, celui qui n’a ‘pas d’autre piste’ perd un peu de son charme. » Ce consultant compare l’entretien téléphonique à un jeu de rôles. « Il ne faut pas tomber le masque trop vite. Il faut montrer son expérience et une réelle envie, mais aussi se laisser approcher par le recruteur. »
4 - Se fermer soi-même des portes
Mais, parfois, il suffit de poser – mal - une question banale. « Un candidat peut se griller illico en posant une question fermée », poursuit Pierre Bultel. Exemple : vous appelez un recruteur dans l’espoir de décrocher un rendez-vous. « Dans ce cas, évitez les questions du genre « On peut se rencontrer ? », pas sur le fond mais sur la forme. Grammaticalement, cette question appelle une réponse affirmative – ou, le plus souvent, négative - et donnera une porte de sortie toute trouvée au recruteur. En revanche, si vous formulez une question ouverte comme ‘Quand auriez-vous un moment pour me rencontrer ?’, vous rendez, psychologiquement, l’échappatoire plus compliquée et vous aurez plus de chance de décrocher un entretien. »
Etes vous pret à vous connecter avec vos clients sur les réseaux
sociaux ? Lyon-Villeurbanne, France
Je viens de vivre une expérience intéressante sur l'usage des
réseaux sociaux professionnels que je souhaiterai partager avec vous.
Je
ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience.
A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous
souhaiterez ?
MONOLOGUE OU DIALOGUE : THAT IS THE QUESTION ?
Je
suis allé poster sur un hub de ma région, dans un forum de discussion pour poser
une question qui s'adressait aux entreprises :
- si elle considérait que
leur présence sur les réseaux sociaux devait se faire sous la forme d'une
communication classique 1.0, sous forme par exemple de communiqués de presse
publiés quotidiennement (comme le journal les Echos, La Tribune par exemple),
- ou dédié au dialogue 2.0 par des forums, une sorte d'agora pour
permettre une véritable participation et construction collective, favorisant des
échanges de bonnes pratiques et à des actions collectives.
Il ne
s'agissait qu'une question ?
Les résultats en quelques lignes :
Je
n'étais pas le bienvenu, car l'administrateur du hub considéra vite qu'il est
chez lui, et qu'il pouvait décider de parler de ce qu'il veut, lui convient ou
non, et me demande même « d'arrêter cette discussion »
dixit.
L'administrateur publie en effet, et c'est son choix, publie 3 à 4
communiqués de presse par jour (il n'y a que lui qui parle, aucun dialogue, ni
partage 2.0), presqu'aucun commentaire sur la plus grande partie de ses posts,
et voir même, on vous empêche même de lancer des discussions ou répondre à
certains sujets, le comble ?
Certes, un petit nombre de membres de ce
groupe conviennent que cela leur convient de seulement lire quelques communiqués
de presse régulièrement et avouent ne pas pouvoir ni vouloir partager eux mêmes
des informations, ou venir échanger.
C'est comme s'ils feuilletaient un
journal.
Voici un constat personnel qui semble expliquer le peu
d'activité sur les réseaux sociaux.
Car je me demande aussi, si l'on fait
bien la différence entre :
- un site internet, un blog, un site de
curation de contenus d'informations (comme l'AFP, Les Echos ou Scoopit...) qui
peut diffuser régulièrement des communiqués de presse,
- un réseau
social qui permet justement d'être une véritable agora, ouverte,
tolérante
LES MARCHES SONT DES CONVERSATIONS
Il me semble que les
réseaux sociaux, sont des outils 2.0, c'est à dire participatif, permettant
justement les discussions, qui deviennent des communications multilatérales.
C'est le destinataire du message qui discute, et qui parle de l'entreprise et de
la marque.
Un réseau social permet à une entreprise de se faire
re-connaitre, et non de se faire connaitre par de la pub.
L'entreprise ne
doit pas se faire connaitre sur les réseaux sociaux par des communiqués de
presse, de la publicité, mais se faire reconnaître par des conversations, c'est
à dire recommander et faire en sorte que l'on parle de soi par l'animation des
échanges autour de centres d'intérêts.
Je pense donc que cette pratique
de monologue peut être à l'origine des désaffections des réseaux sociaux par les
entreprises.
Car les entreprises ne pourront pas consacrer leur
stratégie et leur budget communication pour être présent sur les réseaux, et
n'avoir pas plus de 10 lectures pour leur posts et sans aucun commentaires ce
qui peut avoir des conséquences au niveau de l'image de marque, de leur
e-reputation de l'entreprise.
Le rapport investissement temps/rentabilité
est contre productif et dissuadera les entreprises d'investir les réseaux
sociaux professionnels.
Surtout que l'image de marque, l'e-reputation de
l'entreprise en question peut être atteinte.
Qu'en pensez vous
?
NB : Je le rappelle, je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est
juste le récit d'une expérience et d'une interrogation que je souhaite partager.
A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?
Au moins, sur ce groupe, je sais que j'aurai le droit de m'exprimer
librement sur ce que je pense.
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