Que ce soit à l’occasion d’une relance ou d’une candidature spontanée, il est malheureusement très facile de commettre certains impairs en appelant un recruteur. Parfois même sans s’en rendre compte…
1 - Le manque de discrétion
« Beaucoup de recruteurs sont surpris de voir des candidats se griller dès le standard ! », explique Philippe Hemmerlé, directeur du cabinet CV First. Manque de politesse ou de savoir-vivre ? Même pas. « En fait, il y a une question à laquelle ils ne sont jamais préparés. Quand on leur demande machinalement leur nom, société et l’objet de leur appel, ne sachant que dire, beaucoup oublient toute confidentialité élémentaire au risque de mettre le recruteur dans l’embarras. » Il peut être gênant, par exemple, de lâcher à la standardiste ‘J’appelle pour le poste de directeur commercial’ alors que certains salariés de l’entreprise ne sont pas au courant. « Pour faire bonne impression, surtout s’il s’agit d’une relance, il faut rester pro et s’en tenir au strict minimum. Dites juste ‘Je suis untel et j’appelle suite à notre rendez-vous.’ » Le recruteur, souvent, appréciera votre discrétion.
2 - Se montrer impatient
Nadia Boutaleb ne fait pas un métier facile. « On connaît la conjoncture et ce n’est jamais agréable de ne pas être rappelé par un recruteur. Mais concrètement nous n’en avons pas toujours le temps. Et il est difficile, quand on n’a pas eu le temps de rappeler quelqu’un, de l’entendre pester que vous l’avez oublié », observe cette associée au cabinet Alterview. Or, culpabiliser un recruteur est très contre-productif. « Dans le même genre, alors que je recherchais un profil rare, un autre candidat, jeune diplômé, m’a aussi lancé ‘Si vous ne me donnez pas ma chance, qui le fera ?’. Je compatis, mais ça n’arrange pas les choses. Il vaut mieux demander des conseils et montrer sa motivation pour garder une chance d’être rappelé une autre fois. » Car même si on n’est pas pris, on peut se faire remarquer… en bien.
3 - Se montrer prêt à tout
La motivation, c’est bien... à condition de ne pas en faire trop. « Il faut trouver la juste mesure et se montrer déterminé sans être insistant, analyse Pierre Bultel, consultant et directeur du cabinet PBRH. Typiquement, le candidat qui se dit ‘prêt à tout’ paraît plus désespéré que motivé. De même, celui qui n’a ‘pas d’autre piste’ perd un peu de son charme. » Ce consultant compare l’entretien téléphonique à un jeu de rôles. « Il ne faut pas tomber le masque trop vite. Il faut montrer son expérience et une réelle envie, mais aussi se laisser approcher par le recruteur. »
4 - Se fermer soi-même des portes
Mais, parfois, il suffit de poser – mal - une question banale. « Un candidat peut se griller illico en posant une question fermée », poursuit Pierre Bultel. Exemple : vous appelez un recruteur dans l’espoir de décrocher un rendez-vous. « Dans ce cas, évitez les questions du genre « On peut se rencontrer ? », pas sur le fond mais sur la forme. Grammaticalement, cette question appelle une réponse affirmative – ou, le plus souvent, négative - et donnera une porte de sortie toute trouvée au recruteur. En revanche, si vous formulez une question ouverte comme ‘Quand auriez-vous un moment pour me rencontrer ?’, vous rendez, psychologiquement, l’échappatoire plus compliquée et vous aurez plus de chance de décrocher un entretien. »
Etes vous pret à vous connecter avec vos clients sur les réseaux
sociaux ? Lyon-Villeurbanne, France
Je viens de vivre une expérience intéressante sur l'usage des
réseaux sociaux professionnels que je souhaiterai partager avec vous.
Je
ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est juste le récit d'une expérience.
A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous
souhaiterez ?
MONOLOGUE OU DIALOGUE : THAT IS THE QUESTION ?
Je
suis allé poster sur un hub de ma région, dans un forum de discussion pour poser
une question qui s'adressait aux entreprises :
- si elle considérait que
leur présence sur les réseaux sociaux devait se faire sous la forme d'une
communication classique 1.0, sous forme par exemple de communiqués de presse
publiés quotidiennement (comme le journal les Echos, La Tribune par exemple),
- ou dédié au dialogue 2.0 par des forums, une sorte d'agora pour
permettre une véritable participation et construction collective, favorisant des
échanges de bonnes pratiques et à des actions collectives.
Il ne
s'agissait qu'une question ?
Les résultats en quelques lignes :
Je
n'étais pas le bienvenu, car l'administrateur du hub considéra vite qu'il est
chez lui, et qu'il pouvait décider de parler de ce qu'il veut, lui convient ou
non, et me demande même « d'arrêter cette discussion »
dixit.
L'administrateur publie en effet, et c'est son choix, publie 3 à 4
communiqués de presse par jour (il n'y a que lui qui parle, aucun dialogue, ni
partage 2.0), presqu'aucun commentaire sur la plus grande partie de ses posts,
et voir même, on vous empêche même de lancer des discussions ou répondre à
certains sujets, le comble ?
Certes, un petit nombre de membres de ce
groupe conviennent que cela leur convient de seulement lire quelques communiqués
de presse régulièrement et avouent ne pas pouvoir ni vouloir partager eux mêmes
des informations, ou venir échanger.
C'est comme s'ils feuilletaient un
journal.
Voici un constat personnel qui semble expliquer le peu
d'activité sur les réseaux sociaux.
Car je me demande aussi, si l'on fait
bien la différence entre :
- un site internet, un blog, un site de
curation de contenus d'informations (comme l'AFP, Les Echos ou Scoopit...) qui
peut diffuser régulièrement des communiqués de presse,
- un réseau
social qui permet justement d'être une véritable agora, ouverte,
tolérante
LES MARCHES SONT DES CONVERSATIONS
Il me semble que les
réseaux sociaux, sont des outils 2.0, c'est à dire participatif, permettant
justement les discussions, qui deviennent des communications multilatérales.
C'est le destinataire du message qui discute, et qui parle de l'entreprise et de
la marque.
Un réseau social permet à une entreprise de se faire
re-connaitre, et non de se faire connaitre par de la pub.
L'entreprise ne
doit pas se faire connaitre sur les réseaux sociaux par des communiqués de
presse, de la publicité, mais se faire reconnaître par des conversations, c'est
à dire recommander et faire en sorte que l'on parle de soi par l'animation des
échanges autour de centres d'intérêts.
Je pense donc que cette pratique
de monologue peut être à l'origine des désaffections des réseaux sociaux par les
entreprises.
Car les entreprises ne pourront pas consacrer leur
stratégie et leur budget communication pour être présent sur les réseaux, et
n'avoir pas plus de 10 lectures pour leur posts et sans aucun commentaires ce
qui peut avoir des conséquences au niveau de l'image de marque, de leur
e-reputation de l'entreprise.
Le rapport investissement temps/rentabilité
est contre productif et dissuadera les entreprises d'investir les réseaux
sociaux professionnels.
Surtout que l'image de marque, l'e-reputation de
l'entreprise en question peut être atteinte.
Qu'en pensez vous
?
NB : Je le rappelle, je ne détiens et n'impose aucune vérité, c'est
juste le récit d'une expérience et d'une interrogation que je souhaite partager.
A vous seul, d'en tirer les enseignements que vous souhaiterez ?
Au moins, sur ce groupe, je sais que j'aurai le droit de m'exprimer
librement sur ce que je pense.
Ne ratez pas les 10 ans du forum professionnel. "Paris pour l'Emploi 2013 "
2 000 responsables des ressources humaines issus
de 500 entreprises et collectivités se mobilisent pour recruter à la Concorde
(Paris 8e) lors de la 11e édition de "Paris pour l'Emploi" du 3 au 4 octobre 2013
Cet événement annuel est ouvert à tous, quel que soit le
niveau de qualification et l’expérience. Tous les métiers sont représentés. Il est
conseillé de préparer son cv et d’en avoir suffisamment pour ne pas perdre une
occasion. Cependant, des conseillers à l’emploi (2000) sont prêts à vous aider.
500 entreprises proposent des postes, également à l’étranger
ou aux personnes handicapées.
Le secteur de l’économie sociale et solidaire est
particulièrement représenté cette année.
Certaines
initiatives en faveur de l’emploi sont couronnées de succès. Comme la
Préparation opérationnelle à l’emploi (POE). 6 bénéficiaires sur 10 ont
retrouvé un emploi depuis leur sortie de formation, d’après une étude
d’Opcalia.
La formation favorise le retour à l’emploi.
C’est notamment ce que montre l’étude réalisée par Opcalia sur les
dispositifs de Préparation opérationnelle à l’emploi (POE) qu’elle a
accompagnés. 6 bénéficiaires sur 10 ont retrouvé du travail suite à
cette formation.
Contrats stables
Selon
Opcalia, la POE est plébiscitée par les entreprises qui la considèrent
comme un outil de pré-qualification et de pré-recrutement. Elle permet à
un demandeur d’emploi de bénéficier d’une formation adaptée au poste de
travail pour lequel il est pressenti. Les 6 bénéficiaires sur 10 qui
ont retrouvé du travail ont même obtenu majoritairement des contrats
stables (59 % de CDI ou CDD supérieur ou égal à 6 mois).
Sans bac ou avec
Dans
un cas sur deux, le bénéficiaire d’une POE est un demandeur d’emploi de
longue durée. Mais, il existe deux dispositifs, la POE collective
(POEC) et la POE individuelle (POEI) qui touchent des publics
différents. Ainsi les deux-tiers des bénéficiaires d’une POEC ont un
niveau de qualification inférieur au bac avant leur entrée en formation.
Tandis que ceux qui ont utilisé la POEI étaient plus nombreux à
disposer d’un diplôme de l’enseignement supérieur avant la formation (21
% contre 13 % pour la POEC).
Découvrez les causes le plus souvent identifiées dans les échecs de recherche d’emploi
Les raisons d’échecs qui dépendent de vous sont nombreuses. C’est une bonne nouvelle, car vous pouvez agir sur celles-ci.
Celles qui reviennent le plus couramment, partant du principe que leur gravité augmente avec leur nombre sont les suivantes :
Le manque d’un but bien précis
Le manque d’ambition
Le manque de formation
Le manque de maîtrise de soi. Avant de maîtriser les circonstances, vous devez vous contrôler vous-même
La mauvaise santé : la vraie réussite appartient à celui qui est en bonne santé. La maîtrise de soi peut éliminer pas mal de maladies dont une alimentation trop riche
L’habitude de penser négativement
L’excès de prudence
L’hésitation et le manque de persévérance
Une personnalité négative qui repousse
Le manque de décision et l’ajournement : préfèrer le compromis au combat, s’accommoder des difficultés au lieu de les vaincre, subir le chômage plutôt que d’exiger l’emploi
La peur sous toutes ses formes, elle détruit vos atouts et dégage des ondes destructrices aux esprits de ceux qui vous entourent
L’habitude de vous contenter des miettes des autres, l’indifférence à ce qui arrive : d’un poste modeste et d’un petit salaire
L’erreur de vocation et la persistance
La dispersion des efforts: se concentrer sur un but unique
L’habitude de dépenser sans compter
Le manque d’enthousiasme
L’intolérance, un étroit d’esprit ne va jamais loin
Un poste non acquis par vos propres efforts
L’égoïsme et la vanité, incompatibles avec le succès
La paresse
L’oubli de son libre- arbitre : mieux vaut juger par soi-même la réalité au lieu d’adopter les opinions toutes faites
La mauvaise connaissance de soi. Pour bien vous vendre vous devez bien vous connaître
Vouloir être payé pour ce que vous savez et non pour ce que vous faites
Le manque d’imagination
Le manque de loyauté
La recherche d’un titre
L’impossibilité de définir ce que vous voulez
L’habitude de laisser les autres prendre la décision à votre place
Le contentement de soi
Négliger la chance qui se présente
Souhaiter au lieu de vouloir
Faire des compromis avec le chômage au lieu de vouloir un poste